LE GAUCHISME IMMIGRATIONNISTE DE LA MARCHANDISE ATTAQUE TOUJOURS LA POLICE POUR MIEUX DISSIMULER QU’IL N’ATTAQUERA JAMAIS L’ÉTAT

En 1871, le prolétariat in-disciplinable des profondeurs historiques françaises voulait – contre la dictature étatique de la valeur d’échange – faire surgir un autre monde débarrassé de toutes les impostures du marché…

Aujourd’hui, toutes les cliques gouvernementalistes, à la remorque culturelle des rackets sociétaux de l’extrême gauche du Capital, entendent dissoudre le prolétariat des territoires périphériques dans un grand magma arc-en-ciel de soumission consommatoire généralisée, assujetti aux mégapoles mondialistes de l’in-distinction des foules écolos-bobos privilégiées et de leurs clientèles immigrées… 

La mystification anti-raciste des boutiques contre-révolutionnaires du cosmopolitisme capitaliste est le contraire de l’internationalisme prolétarien vers le communisme !

Que faut-il être incultivé et stupide pour beugler À bas l’État policier et non aux lois scélérates ! Comme s’il existait des États non-policiers et des lois non-misérables… Quant aux clowns ignares qui braillent que tout le monde déteste la police, ils ne sont là comme pitoyable diversion contrôlée et protégée que pour empêcher que l’on vomisse l’argent et que l’on exige l’Abolition du salariat et de l’État

Lorsque l’État a mutilé durant de longs mois les Gilets Jaunes, le spectacle médiatique du mensonge marchand ne s’en scandalisait guère. Mais lorsqu’on bouscule des figurants migrateurs dans la machination d’un mauvais film parisien qui veut légitimer le remplacement du prolétariat radical par le réfugié, moderne idole intouchable de toutes les multinationales du profit ou quand l’on rosse un producteur de rap stupéfiant, et qui plus est de couleur, l’ensemble de la caste politico-journalistique du Capital s’indigne en bloc, feint de ne pas connaître le CV judiciaire de ce dernier et nous propose une fois de plus, avant même que toute investigation ait véritablement commencé, l’inepte Union sacrée anti-flics de commande pour farder et rénover l’imposture gouvernementaliste de la domestication démocratique sans fin

Dans la domination désormais pleinement réalisée de la dictature démocratique du faux omni-présent, les journalistes incultes sont devenus les pires flics du monde et les flics les pires sont devenus les journalistes de l’inculture mondaine la plus en vue… Tous les journalistes sont – par essence – larbins étatiques de la marchandise et ne sont reconnus médiatiquement que par cette opération fétichiste d’inversion aliénatoire qui transforme spectaculairement le vrai en faux et le faux en vrai… 

Pour avoir l’attention des réseaux médiatiques de la falsification et de l’IGPN, il vaut assurément mieux être immigré ou de couleur que banal prolétaire réfractaire de base… C’est normal, le fétichisme de la marchandise soigne et favorise les populations dont il a besoin pour faire fonctionner la servilité des mille commerces et trafics de sa reproduction et gère sans ménagement celles dont la contestation risque de déboucher sur l’insubordination sauvage au règne du marché inéluctable… Ainsi, lorsqu’un clandestin est victime d’un croche-pied ou quand un extra-européen subit des violences durant une intervention policière, l’administration du politiquement correct peut pondre des rapports en moins de 48 heures afin de complaire aux plus hauts sommets de la crapulerie dirigeante et en satisfaisant là aux dogmes commerciaux de promotion et de protection de la diversité. Les Gilets Jaunes, eux,  n’ont point cette chance, ils ne constituent pas un bon produit publicitaire à la mode pour l’institutionnalisation de l’État de droit du fallacieux toujours davantage renforcé… Ils attendent toujours en nombre, deux ans après les faits, alors même que les responsables des tirs qui les ont systématiquement estropiés et éborgnés sont pourtant parfaitement identifiés…

Aujourd’hui, la colère prolétaire ne cesse de monter et elle finira évidemment par s’affirmer de plus en plus comme récusation inévitable, profonde et durable de tous les diktats capitalistes du Ministère de la Vérité Officielle… La crise intensive généralisée de la dictature mondialiste de la marchandise et le dépérissement des machinations répétées de la duperie sanitaire étatiquement orchestrée  – pour dissimuler le vaste effondrement économique en cours – vont progressivement tout faire furieusement vaciller…

Le dérivatif des comédies, maquillages et contorsions autour des violences policières toujours mises en scène en permanente géométrie variable pour valoriser l’idéologie de l’anti-racisme de la marchandise et nous éloigner de la sorte du seul terrain qui fasse peur à la classe capitaliste ; celui du surgissement communiste du prolétariat historique, doit être dénoncé radicalement pour ce qu’il est en vérité ; un putride et pitoyable leurre contre-révolutionnaire… 

La liberté politique est un simulacre et le pire esclavage possible ; cette liberté fictive est le pire asservissement. Il en va de même de l’égalité politique : c’est pourquoi, il faut réduire en pièces la démocratie aussi bien que n’importe quelle autre forme de gouvernement…

Engels, De la réforme sociale sur le continent

GUERRE À LA MARCHANDISE MONDIALE, GUERRE À L’ÉTAT DE L’IMPOSTURE CORONAVIRALE ET DU MENSONGE ANTI-RACISTE, GUERRE A TOUS LES GANGS POLITIQUES, DE L’EXTRÊME DROITE A L’EXTRÊME GAUCHE DU CAPITAL !

POUR UN MONDE SANS ARGENT NI ÉTAT, VIVE LA COMMUNE UNIVERSELLE !

Source : Guerre de Classe

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