«Brown-out» : quand le travail perd tout son sens

Un quotidien absurde, rythmé par des réunions sans intérêt, dans lesquelles on parle un jargon corporate grotesque pour masquer le néant. «On switche en anglais à tout bout de champ. On ne réduit pas, on stretche. On ne surveille pas l’heure, on timekeep. Nous n’avons pas des données, mais des inputs», écrit-il notamment. Marc Estat évoque également les «consultants brasseurs de vent», ces «piloteurs de réunions», ou encore ces «ressources humaines zombiesques»… «On passe une grande partie de son travail à des tâches inutiles, voire contre-productives»,

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