Commission d’enquête sur l’extrême droite : une Brigande dénonce un « tribunal bolchevique »

On se demande encore pourquoi le pouvoir a peur des Brigandes, cette communauté de filles chapeautées par un producteur (le vilain gourou) qui vivent de leur musique dans leur coin sans emmerder personne. Les médias dominants de gauche ont pris ces chanteuses en grippe, qui n’ont jamais fait de mal à personne malgré un chapelet d’accusations délirantes. L’ordure manipulée Nick Conrad a moins d’emmerdes avec ses appels au meurtre des Français. Et en plus, il est invité dans les médias pour se défendre !

 

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Attention, ceci n’est pas une jolie Brigande mais Muriel, député LFi du pouvoir profond en charge de la censure pro-Système

 

Alors, on repose la question : pourquoi cette haine des agents du Système contre les Brigandes ?

La réponse réside peut-être dans le totalitarisme culturel de la gauche qui sent que tout est en train de basculer sur l’Internet. Les autorités ont beau avoir obtenu la fermeture du compte YouTube des chanteuses, la censure a eu un effet pervers : désormais, tout le monde connaît les Brigandes. Cependant, il est difficile d’en faire des monstres, surtout quand on voit les anges (des brunes, en majorité) que c’est.

Bon, à part cette incise un peu sexiste, il suffit de comparer la violence des paroles des rappeurs à la douceur des textes des Brigandes pour comprendre qu’il y a un truc qui cloche. Chanter qu’on aime la France est un crime, chanter (mal) qu’on la hait est autorisé. Et autorisé par qui ? Le pouvoir profond, évidemment, qui a tout intérêt à multiplier les déchirements horizontaux pour mieux régner.

Marianne, le journal qui se dit de gauche patriote, ou du moins républicaine, prend donc parti contre les Eva Braun de la culture.

« Si « les Brigandes » avancent toujours masquées, elles se jouent volontiers du patronyme des autres… Ce groupe musical identitaire, composé de femmes cachées derrière un loup, s’est fait connaître par ses clips sulfureux aux paroles racistes et ses chants d’anniversaire à Jean-Marie Le Pen. Il est également l’objet de plaintes d’anciens membres pour abus de faiblesse et violences volontaires. Surtout, « les Brigandes » sont désormais dans l’œil de la commission d’enquête parlementaire dirigée par la députée France insoumise Muriel Ressiguier, qui se penche sur les groupuscules d’extrême droite dans le but d’améliorer l’arsenal juridique capable de leur clouer le bec. »

Quel esprit de tolérance ! Si l’on n’est pas de gauche, alors on est obligatoirement hitlérien, si l’on suit la logique de ces censeurs. Mais les Brigandes, convoquées au tribunal de la République maçonne (ça les fait chier qu’on écrive ça, alors on l’écrit) ont répliqué vertement.

 

« Interrogées dans le cadre de la commission d’enquête sur les groupuscules d’extrême droite, « les Brigandes », grandes admiratrices de Jean-Marie Le Pen (notamment), tentent de discréditer la présidente LFI de la commission, Muriel Ressiguier, en visant sa famille. »

Franchement, on ne devrait même pas répondre à ces collabos du pouvoir profond. C’est quand même insultant de devoir s’expliquer sur son amour de la France ! Imaginez ça aux États-Unis…

 

« « Les Brigandes » étaient au menu de la commission le jeudi 25 avril. C’était au tour d’Irène Seignez de se plier à l’exercice. Si l’audition s’est déroulée à huis clos, la « brigande » en a profité pour dénoncer un « tribunal bolchévique » et remettre en question les intentions de l’élue héraultaise. Surtout, ce 17 mai, lors d’une conférence de presse surréaliste emmenée par la Ligue du Midi, autre groupuscule dans le collimateur de la commission, la militante a cherché à discréditer la présidente de la commission. La cible ? Le père de Muriel Ressiguier. »

S’ensuit un règlement de comptes sur fond d’histoire de famille qui a mis la présidente LFi de la commission dans l’embarras. En passant, on note que la Muriel, toute révolutionnaire LFi qu’elle est, cachetonne dans l’officine de censure politique numéro un du système parlementaire. Quand on est contre le Système, ça craint du boudin. La défense des Brigandes a évidemment fait hurler les loups bien-pensants, qui ont sorti leurs qualificatifs préférés, dont le très usité « ignoble ».

Décidément, la gauche de collaboration n’arrivera à rien en trahissant le peuple patriote. On est sûrs qu’avec des Muriel Ressiguier, soumise au pouvoir profond des loges et des lobbies, (PPLL, ou P2L2, à retenir) La France insoumise n’arrivera jamais au pouvoir.

 

Muriel est mandatée par le pouvoir profond pour limiter la montée du nationalisme français en l’accusant de violences imaginaires :

 

On attend avec impatience la constitution d’une commission d’enquête parlementaire sur les groupuscules identitaires sionistes ou d’extrême droite sioniste. Muriel sera-t-elle de la partie ? Non ? Y aurait-il une bonne et une mauvaise extrême droite ?

via Commission d’enquête sur l’extrême droite : une Brigande dénonce un « tribunal bolchevique » – Egalite et Réconciliation

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