You Won’t Believe What They’re Planning To Do With “Vaccines” : The Corbett Report
Rejoice! The vaccine is nearly ready!
In case you didn’t see the big news this week, Pfizer has announced that the preliminary results from the “Phase 3, late-stage study” of their COVID-19 vaccine show that it is “more than 90% effective in preventing COVID-19 in participants without evidence of prior SARS-CoV-2 infection in the first interim efficacy analysis.”
Yay! As Dissembler-in-Chief Trump notes, this is a BIG WIN that was only made possible thanks to his COURAGEOUS LEADERSHIP in helping to WARP SPEED the wonderful vaccines directly into everyone’s veins (with the help of the US military, of course):
STOCK MARKET UP BIG, VACCINE COMING SOON. REPORT 90% EFFECTIVE. SUCH GREAT NEWS!
. . . Except for just a couple of teensy-weensy little problems. Like the fact that this announcement is just that: an announcement. There is no data to scrutinize here, nothing presented for public review (let alone peer review). This is a press release—literal corporate PR and nothing more.
And the fact that, as even their own “trust us, it works” statement goes on to note (buried 310 words into this lesson in propaganda), “As the study continues, the final vaccine efficacy percentage may vary.” In other words: “We’re irresponsibly releasing preliminary results that don’t tell us anything because they make our future product look good and will generate a lot of excited media headlines in the mainstream corporate media that we fund with our advertising dollars.”
And there’s the fact that, right after the announcement (and subsequent media extravaganza), Pfizer’s CEO and executive vice president both sold millions of dollars worth of stock in the company. Nothing suspicious at all here, you crazy conspiracy theorists!
And then there’s the fact that the coronavirus vaccine trials themselves are a documented sham. As I discussed with James Evan Pilato on New World Next Week recently, the vaccine candidates are not even being measured on the basis of whether or not they can prevent infection, but whether they can reduce symptoms such as coughs and headaches in patients who have already tested positive. As even Forbes.com contributor Walter Hasseltine notes: “These trials seem designed to prove their vaccines work, even if the measured effects are minimal.”
But disregarding all of that, there’s one other major issue that has been glossed over in all the breathless coverage of this new miracle cure that is about to deliver us from the COVID plague: This “vaccine” is not a vaccine in the traditional sense. It is an experimental injectable technology that has never been used before in humans.
Learn more about Pfizer’s experimental vaccine in this week’s edition of The Corbett Report Subscriber.
To access the full newsletter and to support this website, please become a member today.
For free access to this editorial, please CLICK HERE.
Au cas où vous n’auriez pas vu les grandes nouvelles cette semaine, Pfizer a annoncé que les résultats préliminaires de «l’étude de phase 3, stade avancé» de leur vaccin COVID-19 montrent qu’il est «efficace à plus de 90% dans la prévention du COVID -19 chez les participants sans preuve d’infection antérieure par le SRAS-CoV-2 dans la première analyse d’efficacité intermédiaire.
Yay! Comme le note le Dissembler en chef Trump, il s’agit d’un GRAND GAGNANT qui n’a été rendu possible que grâce à son LEADERSHIP COURAGEUX en aidant à WARP SPEED les merveilleux vaccins directement dans les veines de tout le monde (avec l’aide de l’armée américaine, bien sûr):
Oh oui, monsieur le président, monsieur! TELLE GRANDE NOUVELLE!
. . . Sauf pour quelques petits problèmes minimes. Comme le fait que cette annonce n’est que cela: une annonce. Il n’y a pas de données à examiner ici, rien de présenté pour examen public (encore moins examen par les pairs). Ceci est un communiqué de presse – des relations publiques d’entreprise au sens propre et rien de plus.
Et le fait que, comme même leur propre déclaration «faites-nous confiance, ça marche» se poursuit (enfoui 310 mots dans cette leçon de propagande), «Au fur et à mesure que l’étude se poursuit, le pourcentage final d’efficacité du vaccin peut varier.» En d’autres termes: «Nous publions de manière irresponsable des résultats préliminaires qui ne nous disent rien, car ils donnent une belle apparence à notre futur produit et généreront de nombreux titres dans les médias grand public que nous finançons avec nos dollars publicitaires.»
Et il y a le fait que, juste après l’annonce (et l’extravagance médiatique qui a suivi), le PDG et le vice-président exécutif de Pfizer ont tous deux vendu pour des millions de dollars d’actions de la société. Rien de suspect ici, fous théoriciens du complot!
Et puis il y a le fait que les essais de vaccins contre le coronavirus en eux-mêmes sont un simulacre documenté. Comme j’en ai discuté avec James Evan Pilato sur New World la semaine prochaine récemment, les candidats vaccins ne sont même pas mesurés sur la base de savoir s’ils peuvent ou non prévenir l’infection, mais s’ils peuvent réduire les symptômes tels que la toux et les maux de tête chez les patients qui ont déjà testé positif. Comme le note même Walter Hasseltine, contributeur de Forbes.com : «Ces essais semblent conçus pour prouver que leurs vaccins fonctionnent, même si les effets mesurés sont minimes.»
Mais sans tenir compte de tout cela, il y a un autre problème majeur qui a été passé sous silence dans toute la couverture essoufflée de ce nouveau remède miracle qui est sur le point de nous délivrer de la peste COVID: ce «vaccin» n’est pas un vaccin au sens traditionnel du terme. Il s’agit d’une technologie injectable expérimentale qui n’a jamais été utilisée auparavant chez l’homme.
