Coronavirus : les hospitalisations des moins de 15 ans pour motif psychiatrique en hausse de 80%

Invitée ce lundi sur France Inter, Angèle Consoli, pédopsychiatre et membre du Conseil scientifique, a déclaré que les hospitalisations des jeunes de moins de 15 ans pour motif psychiatrique sont « en hausse de 80% » depuis le début de l’épidémie de coronavirus.

Les hospitalisations des jeunes de moins de 15 ans pour motif psychiatrique sont « en hausse de 80% » a déclaré ce lundi  sur France Inter Angèle Consoli, pédopsychiatre et membre du Conseil scientifique. Une réunion doit se tenir ce lundi à Matignon avec le Premier ministre Jean Castex et le ministre de la Santé Olivier Véran consacrée aux enjeux de la santé mentale des Français à l’aune de l’épidémie de coronavirus

La médecin pointe également une tendance à la dépression marquée chez les 12-17 ans. Angèle Consoli s’appuie sur « les retours du terrain, de l’ensemble des collègues, qui montrent une demande de soins (à la suite) d’idées suicidaires et de crises suicidaires » et de « symptômes dépressifs » des plus jeunes, liées au contexte sanitaire actuel.

« Dans le champ de la petite enfance, il y a une vigilance à avoir, on a vu augmenter le nombre de consultations pour des retards de langage, pour des troubles du sommeil et des conflits intra-familiaux » chez les 0-3 ans, avertit également la pédopsychiatre. La spécialiste évoque une liste des signes qui doivent alerter les parents : irritabilité, pleurs, changement de comportement brutal, etc. Elle indique que « l’une des réponses » à apporter peut être de « se projeter vers l’avenir« .

« La crise Covid ne fait qu’exacerber les tensions du système » hospitalier, explique Angèle Consoli. « Les préoccupations (du gouvernement) pour la santé mentale sont fortes » assure la médecin.

Source : Coronavirus : les hospitalisations des moins de 15 ans pour motif psychiatrique en hausse de 80%


Les taux de dépressions, notamment sévères, parmi les salariés ont explosé, un an après le début de la crise sanitaire et le premier confinement, selon un « baromètre de la santé psychologique des salariés français en période de crise », réalisé par OpinionWay et présenté mardi.

Si la détresse psychologique des salariés français reste importante et touche 45 % d’entre eux (–5 points par rapport à décembre 2020) dont 20 % de détresse psychologique élevée (identique), « le taux de dépression nécessitant un accompagnement chez les salariés explose. Il passe de 21 % à 36 % (+15 points par rapport à décembre 2020) tandis que le nombre de dépressions sévères a doublé en un an (21 % en mars 2021 contre 10 % en avril 2020) », a précisé Christophe Nguyen, à la tête du cabinet franco québécois Empreinte Humaine, spécialisé dans la prévention des risques psychosociaux (burn-out, dépressions, suicides…), en présentant la sixième vague de ce baromètre depuis le début de la crise.

« La détresse psychologique (indicateur de santé mentale utilisé pour diagnostiquer les troubles mentaux, NDLR) c’est l’antichambre de troubles mentaux plus sévères dont la dépression, et on voit que les gens sombrent », a-t-il ajouté, indiquant que « 63 % des salariés » déclarent « voir de plus en plus de collègues en détresse psychologique ».

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Les populations « les plus à risques » restent « les moins de 29 ans », dont 62 % sont en détresse psychologique avec un risque de dépression accru pour près de quatre sur dix. Les femmes sont également très touchées avec 53 % d’entre elles en détresse psychologique contre 38 % pour les hommes.

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Les salariés n’étant pas en télétravail ne pourront compter sur le temps du déjeuner pour se ressourcer

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Nouvelle mise à jour du protocole sanitaire en entreprise. Lundi soir, les nouvelles règles en matière de télétravail et de restauration d’entreprise ont été présentées aux partenaires sociaux par le secrétaire d’État chargé des Retraites et de la Santé du travail, Laurent Pietraszewski. Avec plusieurs changements en perspective, notamment à l’occasion des repas.

[…] Désormais, un salarié pourra continuer de se rendre dans les cantines d’entreprise mais devra être seul à table avec 8 m2 de libre autour de soi. Cet espacement devra aussi être respecté s’il choisit de manger à son bureau.

Le texte demande aussi d’adapter « systématiquement » les plages horaires d’ouverture et évoque la mise en place, « dans la mesure du possible, de paniers à emporter et à consommer sur le poste de travail pour tout ou partie des convives ». Ces règles s’appliqueront dès ce mardi après-midi à l’ensemble des entreprises du territoire national.

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Source : bfmtv.com

Un étudiant en médecine a été retrouvé mort, jeudi dernier, à Nantes en Loire-Atlantique. Âgé de 24 ans, il avait été vacciné avec AstraZeneca le 8 mars, d’après un document retrouvé par les policiers dans son appartement. Après enquête, Pierre Sennès, le procureur de la République de Nantes a confirmé, ce mardi midi, cette information.

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Les résultats de l’autopsie ont conclu que le jeune homme était décédé après une « hémorragie interne due à une thrombose », rapporte la presse locale. Le procureur de la République est plus prudent ce mardi midi : « Afin de préciser les causes et les circonstances de la mort, il est apparu nécessaire de procéder à des analyses complémentaires. En l’état, il convient d’attendre les conclusions de ces expertises pour déterminer avec certitude les causes du décès. »

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La famille «  se pose des questions autour du vaccin » assure toujours le frère. Et pour cause : l’étudiant n’avait « aucun antécédent médical, aucune maladie, rien. Il était en parfaite santé. » […]

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Lire l’intégralité de l’article sur 20minutes.fr

via E&R

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