Paris : Envahis par les migrants et les toxicomanes, les taxis évitent la Porte de la Chapelle

Paris, « ville lumière » ? Plutôt « ville poubelle » de l’aveu même des taxis qui évitent désormais certains secteurs de la capitale de l’Hexagone pour ne pas « choquer » les touristes.

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En arrivant de l’aéroport de Roissy, certains chauffeurs racontent prendre un itinéraire bis pour ne pas montrer aux touristes « l’état du secteur » de la porte de la Chapelle. D’autres optent pour la pédagogie
« La première image que les touristes ont, en arrivant à Paris, plus belle ville du monde, ce sont les tentes, les réfugiés, les toxicos… Quand je peux, j’évite au maximum de passer par la Porte de la Chapelle », affirme Mordi, 53 ans, chauffeur de taxi entre l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle et la capitale, depuis plus de vingt ans.
« Depuis un an, je privilégie la porte de Clichy ou la porte d’Asnières, surtout le soir et la nuit », poursuit-il, avant de préciser auprès de 20 Minutes : « Quand je n’ai vraiment pas le choix, je passe par la porte de la Chapelle, mais je vois que les touristes ne sont pas rassurés, qu’ils ont peur. Moi aussi finalement. Il y a une certaine agressivité des gens à la rue. Ce n’est agréable pour personne », déplore-t-il. Un cas isolé ?

En se repeuplant progressivement de colons africains et orientaux mais aussi sud-américains, Paris, qui absorbe 40% des migrants extra-européens, prend progressivement l’aspect d’une grande ville du tiers-monde dans de plus en plus d’endroits.

Un phénomène qui fait inexorablement tâche d’huile.

Les Bretons peuvent méditer sur l’avertissement d’Olier Mordrel, « Tant que notre pays suivra la France, le sort d’Aubervilliers nous guette ».

 

via Paris : Envahis par les migrants d’Afrique, les taxis évitent la Porte de la Chapelle pour ne pas que les touristes voient la réalité du Grand Remplacement |

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