Quand la LDJ se réjouit des menaces sur Alain Soral par le voyou Jo Dalton

La loi Avia ne passe pas ? Un lobby s’adresse directement aux GAFA pour virer Alain Soral et E&R de YouTube et de VK ! La garde à vue d’Alain Soral ne débouche pas sur un emprisonnement ? On envoie des voyous (ici Jo Dalton et Mathias Cardet) à sa porte pour l’agresser !

[…]

La logique est toujours la même : faire faire le sale boulot par un tiers, un intermédiaire, un idiot utile. Et quand ce n’est pas l’État français, ce sont les délinquants ethniques qui sont « mandatés ».

Démonstration par la triangulation

Que ce soit Black Lives Matter, le comité Traoré ou les « cousins » Jo Dalton et Mathias Cardet, aucun n’est autonome. Tous sont inféodés et utilisés comme des serpillères dans des combats qui les dépassent.

– Black Lives Matter : né en 2013 aux États-Unis, le mouvement milite officiellement contre le « racisme systémique envers les Noirs ». À cela près que l’histoire et les finances de cette organisation ramènent sempiternellement à la communauté juive et non à la communauté afro-américaine…

Directement soutenu par le club de donateurs progressistes Democracy Alliance qui, selon Wikipédia, « comprend certains des plus grands soutiens financiers du Parti démocrate, comme Paul Egerman et le milliardaire Tom Steye » (tous deux juifs), Black Lives Matter est au centre d’une galaxie de groupes « antiracistes et intersectionnels » financée par l’Open Society Foundations du milliardaire juif George Soros.

Les grands médias et les multinationales « progressistes » qui poussent Black Lives Matter ne sont pas non plus contrôlés par des Afro-Américains… Deux exemples parmi les plus probants et les plus actifs : la plateforme Facebook de Mark Zuckerberg et la chaîne de télévision américaine Black Entertainment Television (BET) de Sumner Redstone (de son vrai nom Rothstein).

Quant aux « fondatrices » du mouvement, l’Afro-Américaine « queer » (en couple avec un transgenre) Alicia Garza Schwartz « s’identifie comme juive » (par son beau-père d’adoption…) et Patrisse Khan-Cullors (afro et « queer » elle aussi) a été élevée comme Témoin de Jéhovah (elle a également bénéficié de la très sélective bourse Fulbright, programme subventionné par le département d’État des États-Unis en 2011)… La troisième cofondatrice, Opal Tometi, est une militante associatif nigériane-américaine parrainée par des universités privées et l’Institut Aspen (think tank américain officiellement atlantiste).

Pour terminer le portrait d’ensemble, soulignons que le mouvement Black Lives Matter est né à la suite de la mort de Trayvon Martin, un adolescent noir tué en Floride par un certain… George Zimmerman !

– le comité Traoré : également financé par l’Open Society de George Soros, via notamment l’European Network Against Racism (ENAR) et la Ligue des droits de l’homme, le comité Traoré a bénéficié en France d’une impressionnante couverture médiatique et d’une mansuétude étatique à toute épreuve…

Comme démontré par Youssef Hindi, « le comité Adama et sa « pasionaria » racialiste, Assa Traoré, sont le énième produit du vieux mariage entre la banque juive et les réseaux d’extrême gauche » indigénistes et antiracistes. Ce qui explique sa couverture.

Plus précisément, Assa Traoré était salariée de Johan Zittoun et de l’Œuvre de protection des enfants juifs (OPEJ, de son nom complet OPEJ-Baron Edmond de Rothschild car il bénéficie du soutien « généreux » de la fondation Rothschild…) jusqu’en décembre 2019 (ce qui induit qu’elle a pu « militer » pendant un an, au moins, alors qu’elle était officiellement en arrêt maladie).

– Jo Dalton et Mathias Cardet : de son vrai nom Jérémie Maradas-Nado, Jo Dalton est un Centrafricain établi en France et aujourd’hui âgé de 52 ans. Professeur de Taekwondo au club municipal Le Cercle de Taekwondo des Archers d’Ivry-sur-Seine, Jo Dalton est une ancienne figure du gang des « chasseurs de skins » Black Dragons, parrainé dans l’ombre par Julien Dray via « l’antifasciste » Julien Terzic. Bref un ancien voyou utilisé par le PS et SOS Racisme, devenu éducateur de banlieue payé par une mairie PCF et probablement contrôlé par les services de renseignement…

Au « palmarès » de Jo Dalton (en plus d’innombrables embrouilles avec la moitié des rappeurs de France), soulignons son soutien affiché à la Ligue de défense noire africaine et surtout son arrestation par la police pour « tentative d’extorsion de fonds » envers Dieudonné en 2014.

 

Lire l’article en entier : Quand la LDJ se réjouit des menaces sur Alain Soral par le voyou Jo Dalton – Egalite et Réconciliation

Print Friendly, PDF & Email

Laisser un commentaire