A défaut de nous laisser libres de nos mouvements, laissez-nous au moins (et laissez nos enfants) respirer !

Les lectrices et lecteurs de ce blog sont habitués à ce constat : pour lutter contre une épidémie respiratoire virale nouvelle, nous avons pris des mesures d’une lourdeur sans précédent, qui n’avaient jamais été prévues  dans les plans de lutte contre les pandémies (et sont même contraires à ce qu’ils recommandaient), à l’utilité douteuse et ne reposant sur aucune base scientifique solide !

La peur (entretenue par un pilonnage anxiogène des consciences depuis des mois) semble faire le reste : la population accepte des restrictions et des atteintes sans précédents aux droits fondamentaux, subit la destruction insensée de ses conditions de vie et pour beaucoup de leurs moyens de subsistance, se trouve sous le joug d’une dictature sanitaire qui a pris le pouvoir sur toute autre considération et tout contre-pouvoir et met en échec le simple bon-sens.

Parmi les mesures destructrices et hautement discutables figure l’imposition du port du masque, qui constitue une grave atteinte à l’intégrité corporelle et simplement à la liberté de respirer.

Avec -ÉVIDEMMENT- des effets adverses, individuels et collectifs, nocifs :

Pour les personnes, tout conduit à penser aujourd’hui que cela affaiblit l’immunité et que l’exposition au bouillon de cultures de bactéries, de levures et de virus qu’est le masque porté dans la vie de tous les jours AUGMENTE en fait le nombre de pathologies respiratoires. C’est aujourd’hui l’hypothèse forte au sujet de la non-publication suspecte de la grande étude danoise réalisée sur l’utilité du port du masque, refusée par les plus grandes revues médicales et toujours en attente de publication pour des conclusions « non-conformes » au dogme sécuritaire !

Quant à l’effet protecteur des populations, l’examen des courbes de prévalence de l’infection au Sars-CoV-2 ne plaide pas en la faveur de cette théorie : les pays qui ont masqué le plus strictement et le plus tôt (dès cet été) à l’intérieur comme à l’extérieur sont bien plus mal pris que ceux qui n’ont pas cédé à cette invraisemblable lubie de MASQUER UNE POPULATION EN PLEINE SANTÉ, ce qui est -à nouveau- contraire à tous les principes en la matière !

La propagande et la logique totalitaire n’en sont pas moins parvenues (ici encore) à faire basculer et à inverser les repères du bon sens : ce sont désormais les citoyennes et citoyens (dont bien sûr les parents inquiets de la maltraitance infligée par les autorités à leur progéniture) qui doutent le plus légitimement du monde de cette mesure que l’on fait passer pour des irresponsables et des égoïstes ! Il serait temps comme je l’ai déjà écrit que le fardeau de la honte soit renversé.

Ce qui sera très difficile. Comme dans toutes les manipulations perverses, les abuseurs jouent des scrupules et de la conscience des manipulés en leur faisant croire qu’ils sont eux-mêmes la cause de la violence qui leur est faite. Buvant un café avant que le Conseil d’État genevois impose à nouveau des mesures scélérates, j’ai été interpelé par un pauvre bougre masqué m’expliquant que si nous étions obligés de reconfiner, c’était en fait à cause de nous (la population) parce que nous n’avions pas fait assez attention !

Ce qui est ignoble à tous égards : la résurgence du virus n’a rien à voir avec une quelconque relâchement, c’est un processus relevant de la saisonnalité, comme pour tous les coronavirus.

Si vous avez des doutes à ce sujet, consultez de grâce l’analyse du Pr Ivor Cummins (en anglais) sur la situation britannique et vous comprendrez la réalité – toute inconcevable qu’elle paraisse au regard de la propagande officielle : il n’y a bel et bien pas de deuxième vague, nous ne sommes plus en situation épidémique et les mesures autoritaires (masques et confinement) ne jouent aucun rôle dans la progression ou le ralentissement de la mortalité globale -en fait elles l’aggravent à moyen terme !

Ensuite parce que la population, bien au contraire, a accepté sans moufter et de bonne grâce des restrictions néfastes et arbitraires, jouant avec bonne foi un jeu terriblement coûteux imposé par les autorités. Tout cela pour se voir aujourd’hui blâmée et de plus en plus culpabilisée pour des phénomènes qui ne relèvent en rien d’elle !

Bref, il est temps de mettre en échec cette mécanique de la violence et de la terreur que nos autorités agissent depuis une année. Et de nous en protéger.

Je partage ici avec les lectrices et lecteurs de ce blog quatre textes éclairants :

– La lettre d’un médecin-réanimateur, le Dr Henry Boret, au préfet et au maire de sa commune.

– Ensuite, l’idée géniale de Mme Hélène Brousseau, masso-kinésithérapeute diplômée. Cette idée s’adresse aux parents souhaitant contester le port du masque en milieu scolaire infligé aux enfants.

– Puis la lettre de M. Eric Remacle au directeur d’école de sa fille.

– Enfin, la synthèse des études sur la pertinence du port du masque telle qu’elle figure sur l’excellent site de référence Swiss Polical Research.

Bonne lecture et de plus en plus hélas : bon courage !

Dr Henry BORET

Anesthésiste-Réanimateur en Hôpital Public

A Saint-Raphaël le 1er novembre 2020

Objet : A défaut de nous laisser libres de nos mouvements, laissez-nous au moins respirer

Monsieur le Préfet,

Anesthésiste-réanimateur, travaillant au bloc opératoire à l’hôpital, je souhaitais par ce courrier témoigner de mon opposition à l’extension du port du masque, par arrêté préfectoral, à l’ensemble des lieux publics, notamment sur la voie publique et les espaces publics de plein air, dans de nombreuses communes du Var.

Votre temps est précieux, et j’imagine aisément que votre charge de travail ne vous permet pas toujours d’aller chercher les informations à la source. Aussi je serai bref car je ne comprends pas sur quels arguments vous avez pu prendre une décision aussi éloignée de notre culture latine, en dehors d’un bref avis de l’ARS PACA du 29/10/2020 qui ne cite aucune étude (!) :

1- l’OMS recommande le port du masque (hors milieu hospitalier) lorsque la distanciation physique ne peut être assurée, en particulier en milieu peu ou mal ventilé. Ce n’est pas le cas dans les rues de nos villes (1).

2- l’OMS recommande le port du masque pour les personnes à risque… lorsqu’elles ne peuvent assurer une distanciation physique de plus d’un mètre (1). Pourquoi donc ne pas recommander à ces personnes de le porter, si elles le souhaitent, plutôt que de l’imposer à toute une population ?

3- Au plus fort de la première vague épidémique, en avril 2020, le Centre Européen de Contrôle des Maladies (European CDC) précisait que « L’utilisation de masques faciaux au sein de la communauté pourrait être envisagée, notamment pour se rendre dans des endroits clos et fréquentés, tels que les supermarchés ou les centres commerciaux, ou pour utiliser les transports en commun, etc. » (2). L’utilisation en espaces ouverts et aérés n’était pas mentionnée.

4- L’European CDC ajoute en outre que « Les recommandations relatives à l’utilisation des masques faciaux au sein de la communauté devraient attentivement prendre en considération les lacunes en matière de preuves, la situation de l’approvisionnement ainsi que les éventuelles répercussions négatives » (2).

5- Hors de vos compétences je le sais, le sujet du masque à l’école pose aussi problème. En effet, les recommandations de la Société française de Pédiatrie (3) sont que : « Le port du masque par les collégiens et lycéens est utile. Il peut être allégé dans les classes où la distanciation physique est possible ». Il n’est pas fait mention de l’école primaire. Pauvres petits de 6 à 11 ans déjà victimes du principe de précaution !

Où est passée notre humanité Monsieur le Préfet ? Lorsque je marche dans les rues, je croise dorénavant des « visages » masqués. Où sont les sourires ? Les rires ? Je voudrais lire la joie, et pas seulement dans le regard. Je voudrais respirer… tout simplement. A défaut de pouvoir me déplacer librement dans des espaces en plein air où, même en croisant 20 promeneurs, je ne risquerais absolument pas de me contaminer Comment a-t-on pu en arriver là ? Masqués, anxieux, méfiants, distants. Ce n’est pas notre culture. Ce n’est pas l’image que je voudrais donner de l’humanité à mes enfants.

En espérant que ce courrier vous conduira à revenir sur votre récent arrêté préfectoral, montrant ainsi la voie à d’autres, je vous prie d’accepter, Monsieur le Préfet, l’expression de mes sentiments les plus respectueux.

Dr Henry BORET

(1) https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/question-and-answers-

hub/q-a-detail/q-a-on-covid-19-and-masks

(2) https://www.ecdc.europa.eu/en/publications-data/using-face-masks-community-reducing-covid-19-transmission

(3) https://www.sfpediatrie.com/actualites/rentree-scolaire-covid19-propositions-actualisees-sfp

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Proposition de Mme Hélène Brousseau :

« Je m’appelle Hélène Brousseau, je suis masso-kinésithérapeute diplômée en France et en Allemagne, exerçant en libéral dans le Puy de Dôme, ayant pratiqué dans des services hospitaliers de pneumologie et réanimation médicale. Je réfléchissais donc à la question des masques. Nous utilisons au cabinet de kiné un saturomètre portatif de 5 cm environ. Tous les enfants dès l´âge de 6 ans peuvent l´utiliser.

Mon idée est la suivante faire équiper les enfants qui le souhaitent et qu´ils prennent eux-mêmes leur saturation à l´école ou à l´entrée dans l´établissement et à la sortie. Cette saturation pourrait être refusée dans l´enceinte de l´établissement mais rien ne vous interdit de le faire en déposant votre enfant et en le récupérant. Vous lui passez au doigt quand il porte le masque et en 1 minute vous aurez une saturation associée à une fréquence cardiaque.

Pour être précis, il faudrait marquer le jour, l’heure et le lieu par exemple en prenant une photo de votre enfant masqué devant l´école saturomètre au doigt avec le chiffre bien visible. Le chiffre le plus marquant devant être celui de la sortie de l´école. Une saturation normale est de 98% à 100% sans pathologie associée. Un site pour trouver des saturomètres portatifs : https://www.pharma-gdd.com/fr/search?q=saturom%C3%A8tre+portatif

Je rappelle que les enfants n’ont aucune pause de port du masque même en récréation alors qu´un adulte peut faire une pause de masque pour fumer une cigarette dehors ! Cela bien-sûr n´apporte pas de solution immédiate mais peut questionner sur la santé des enfants (et de toute personne en général) portant un masque de manière prolongée sans pause.

Pour résumer, prouver une désaturation quotidienne pour des enfants et des adultes permettrait de poser la question de la pertinence du port du masque sur de nombreuses heures et sans pause. »

Document pour le relevé de la saturation en oxygène de votre enfant : cliquer ici.

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Déclaration de parents d’élèves, rédigée par Me Araujo-Recchia, concernant le port du masque notamment : télécharger ici.

Agir ensemble – Respirer librement, action collective au sujet du port du masque en France

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Lettre de M. Eric REMACLE

Voici ma lettre au directeur de l’école de ma fille pour lui signifier mon refus du port obligatoire du masque que j’assimile à de la maltraitance au vu de la raison médicale et des droits humains.

Elle pourra peut-être vous être utile si vous êtes dans la même situation que moi. Je me suis inspiré d’une lettre existante qu’a fait une maman à Genève dont j’ai légèrement modifié le contenu et de la contribution d’une autre maman du Valais.

J’ai supprimé tous les noms dans la lettre exprès pour ce partage.

Demande concernant mon enfant en suite au port obligatoire du masque pour les élèves

Monsieur,

Pour donner suite à la décision des autorités cantonales compétentes, de rendre le port du masque obligatoire pour tous les élèves du cycle d’orientation dans le canton du Valais, je vous demande que mon enfant puisse être libérée du port obligatoire du masque facial au cours de ses journées d’école.

Toute obligation du port du masque par les professeurs est inacceptable et dommageable tel que plusieurs scientifiques experts médicaux et l’OMS l’expliquent. J’en appelle à votre conscience et votre humanisme.

En effet selon les chiffres de mortalité et d’hospitalisation et d’après les critères qui déterminent une pandémie définis par l’OMS, il paraît totalement disproportionné d’imposer une telle mesure. Il est surtout de mon devoir et de ma responsabilité en tant que parent que de protéger la santé et le bien-être de mon enfant et ceci, même si cela va à l’encontre du dictat officiel.

Comme vous le savez si la Déclaration universelle des droits de l’homme affirme que l’éducation est un droit humain fondamental pour tous (ONU, 1948), la Convention des droits de l’enfant (Unicef, 1989), approuvée par l’assemblée fédérale en 1996, a pour principe fondamental le droit au respect de l’intérêt supérieur de l’enfant.

Cela signifie que, selon l’article 3 de ladite Convention, « chaque fois que l’on prend des décisions susceptibles d’avoir des conséquences pour les enfants, l’intérêt supérieur de l’enfant (son bien) prévaut. Ceci est valable aussi bien au sein de la famille qu’au niveau de l’action de l’État » (Unicef). Par ailleurs, la Convention précise en son article 24 que l’enfant a le droit de jouir de la meilleure santé possible et que l’État a l’obligation de favoriser l’abolition des pratiques préjudiciables à sa santé. Enfin, en son article 28, il est dit que la discipline scolaire doit être appliquée en respectant la dignité de l’enfant.

La responsabilité fondamentale qui m’incombe en tant que parent, toujours selon ladite Convention, en ce qui concerne la protection de mon enfant, prévaut car elle place en premier l’intérêt supérieur, la santé et le bien-être de mon enfant, lesquels sont menacés par la décision des autorités compétentes d’imposer le masque facial à tous les élèves du cycle.

Nous vous rappelons que l’autorité parentale sert le bien de l’enfant au sens de art. 296 al. 1 code civil. Les enfants et les jeunes ont droit à une protection particulière de leur intégrité et à l’encouragement de leur développement selon l’art. 11 al. 1 de la Constitution fédérale.

Partant du principe de base que le masque facial est un dispositif médical, l’utilisation prolongée de ce dernier d’une manière inadaptée ne présente aucun avantage et se révèle même être contre-productif, voire dangereux. De plus, il présente chez certaines personnes des effets secondaires notables non négligeables ayant un impact sur la santé physique et psychique que personne ne peut ignorer. C’est à ce sens que l’ordonnance fédérale destinée à lutter contre l’épidémie de Covid-19 prévoit l’exemption au port du masque obligatoire pour « les personnes ne pouvant pas porter de masque facial pour des raisons particulières, notamment médicales » (Confédération suisse, 2020).

A ce sujet, l’Organisation mondiale de la santé (OMS, 2020) liste les effets désagréables et néfastes que peut représenter le port du masque par des personnes en bonne santé, en particulier au sein d’une population jeune comme les enfants et les adolescents :

– mal de tête, difficultés respiratoires et somnolence entraînant la baisse des capacités cognitives à commencer par une baisse de l’acuité visuelle. Ces symptômes limitent les fonctions cérébrales et peuvent entraîner des malaises, des vertiges, une difficulté à se concentrer, de la fatigue et enfin de la confusion.

Une des plus récentes études publiées par le Center for Disease Control and Prevention aux États-Unis (CDC, juin 2020) confirme ces symptômes suite notamment à l’augmentation de la production de dioxyde de carbone augmentant déjà après une heure de port de masque.

Selon une autre étude publiée par le département pédiatrique de l’école de médecine de Yong Loo Lin à Singapour en 2019 portant sur des enfants de 7 à 14 ans, il est dit qu’après seulement 5 minutes de port de masque, 7% des enfants indiquent ressentir des difficultés respiratoires et une élévation du rythme cardiaque résultant de l’augmentation de la production de CO2 inspiré et expiré (annexe 2) :

– risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux et le visage avec des mains contaminées

– auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes tels que champignons et bactéries

– lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque

– difficulté de communiquer clairement

De plus, selon Maria Van Kerkhove, épidémiologiste à l’OMS, quel que soit l’âge, « il semble rare que des personnes asymptomatiques transmettent le virus » (OMS, 8 juin 2020). Aussi, sur environ 3700 articles médicaux ayant pour sujet l’étude de l’enfant et du SARS-Cov2 répertoriés par Pubmed au mois d’août 2020 et sur les 70 articles spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission entre enfants ou d’un enfant à un adulte dans le monde.

Sur plus de 21 millions de cas répertoriés par l’OMS, aucune observation publiée n’a démontré formellement qu’un enfant pouvait contaminer un autre enfant ou un adulte. Si une telle transmission ne peut théoriquement être exclue, elle serait rarissime.

Par ailleurs, chez les élèves, les problèmes dentaires, tels que les traitements orthodontiques, la chaleur de la salle de classe et le manque d’aération suffisent pour mouiller un masque. L’utilisation est donc non conforme aux recommandations de l’usage du masque et, je me permets de la rappeler, toujours selon l’OMS (2020), « le fait de mal utiliser un masque peut en réalité accroitre le risque de transmission au lieu de le réduire ». Aussi, vous conviendrez que le corps enseignant n’est pas formé à la manipulation correcte de ce dispositif médical, et par conséquent inapte à faire respecter les règles préconisées en milieu hospitalier pour garantir le protocole de sécurité en matière de placement, de port et d’enlèvement du masque. La manipulation correcte du masque n’étant pas envisageable ni réaliste pour de si jeunes individus en milieu scolaire, les masques deviennent de ce fait potentiellement infectieux et dangereux.

Dès lors, il est fortement contestable d’imposer le masque de façon systématique aux enfants et aux adolescents sans tenir compte des risques que cette utilisation prolongée présente et de surcroît, en contradiction avec les bonnes pratiques décrites par l’OMS notamment.

Au vu de ce qui est avancé au paragraphe 2 de la page 1 de ce courrier, il est de mon devoir et de ma responsabilité de m’opposer à la mise en péril du bien-être de mon enfant et garantir sa sécurité et sa santé envers et contre tout.

De votre côté, êtes-vous prêt à engager votre responsabilité et à certifier sur l’honneur que le port du masque ne présente aucune conséquence négative sur la santé et que vous êtes prêt à assumer votre décision et ses conséquences si mon enfant venait à rencontrer des problèmes de santé (physique et/ou psychique) par la suite ?

Je vous informe également que je refuse catégoriquement que mon enfant soit soumis à quelque test médical que ce soit ainsi qu’à toute ingérence de type médical ou sanitaire par quelque tiers que ce soit, sans mon accord écrit et exprès préalable. Cette interdiction est valable non seulement pendant les heures de cours mais également lorsque mon enfant est sous la responsabilité de votre établissement scolaire que cela soit à l’intérieur de celui-ci ou ailleurs.

Si mon enfant devait présenter des symptômes grippaux, j’exige d’être averti sans délai et avant toute démarche médicale que vous pourriez entreprendre à mon insu, notamment sur requête du médecin scolaire et/ou du médecin cantonal.

Tous mes droits ainsi que ceux de mon enfant demeurent réservés pour le surplus.

Si malgré tout vous exigiez et contraigniez mon enfant à porter le masque de façon continue sans choix de sa part dans l’enceinte du périmètre scolaire pendant ses études, je vous demanderai, après avoir lu attentivement ce courrier de prendre également connaissance de l’intégralité du document annexe intitulé « attestation de fait et de droit » établi et signé par le Dr. iur. Heinz Raschein, et de contresigner le document en double dont vous conserverez un exemplaire. Si vous refusiez cependant de signer ledit document, je me verrais malheureusement contraint de déposer une plainte pénale pour coercition auprès du ministère public du canton du Valais.

Au vu de son contenu, la présente vous est adressée par email et par pli recommandé. Le Conseiller d’État en charge du département de formation monsieur nous lit en copie.

En espérant sincèrement ne pas avoir à en arriver à une telle situation, dans l’attente de votre retour et comptant sur votre bon sens et votre humanisme, je vous adresse, monsieur mes salutations.

Annexe 1 :

Attestation de fait et de droit par le Dr en droit Heinz Raschein, télécharger ici

Références citées :

ONU, 1948, https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

Unicef, 2020, https://www.unicef.ch/…/convention-relative-aux-droits…

Confédération suisse, 2020, https://www.admin.ch/…/classified…/20201774/index.html

OMS, juin 2020, https://apps.who.int/…/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4…

OMS, 8 juin 2020, https://www.youtube.com/watch?v=3-mVxsE6BoE

OMS, 16 août 2020, https://www.who.int/…/20200816-covid-19-sitrep-209.pdf…

CDC, juin 2020, https://blogs.cdc.gov/niosh…/2020/06/10/ppe-burden/…

Références scientifiques :

1 Maria Van Kerkhove le 8 juin 2020.

2 Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 Avril; 382 (14): 1370-1371

3 Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2

4 Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.

5 Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648

6 Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.

7 Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020

8 Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)

9 LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9

10 Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print

11 Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

12 Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.

13 Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020; 58: 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics

14 Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020

15 OMS Coronavirus disease (COVID-19) Situation Report – 209

16 Society for Hospital Hygiene (DGKH), La société allemande de pédiatrie Maladies infectieuses (DGPI), l’Académie allemande de médecine de l’enfant et de l’adolescent (DAKJ), le Society for Hygiene, Environmental Medicine and Preventive Medicine (GHUP))

17 Small droplet aerosols in poorly ventilated spaces and SARS-CoV-2 transmission, The Lancet Respiratory Medicine, 1 Juillet 2020

It is Time to Address Airborne Transmission of COVID-19, par Lidia Morawska et Donald K Milton, 2020, Published by Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

18 « Conseils relatifs au port du masque dans les espaces collectifs », le 03.05.2009.

19 Liste non-exhaustive :

Rancourt, DG (2020) « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 », ResearchGate, 11 avril 2020 (review);

Long, Y et al (2020) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe : une revue systématique et une méta-analyse », J Evid Based Med. 2020 ; 1 – 9 : « Au total, six ECR impliquant 9 171 participants ont été inclus. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des maladies de type grippal en utilisant des respirateurs N95 et des masques chirurgicaux. La méta-analyse a indiqué un effet protecteur des respirateurs N95 contre la colonisation bactérienne confirmée en laboratoire ».

Bartoszko, JJ et al (2020) « Masques médicaux vs respirateurs N95 pour prévenir la COVID19 chez les travailleurs de la santé : une revue systématique et une méta-analyse des essais Randomisés », Influenza Other Respir Viruses, 2020;14(4):365-373 : « Quatre ECR ont fait l’objet d’une méta-analyse en tenant compte du regroupement. Par rapport aux respirateurs N︎95 , l’utilisation de masques médicaux n’a pas augmenté les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire (y compris les coronavirus) ou les maladies respiratoires cliniques ».

20 Professeur Beda Stadler au sujet du port du maque dans les transports publiques. GHI 21.07.2020.

21 The effects of social deprivation on adolescent development and mental health, The Lancet Child & Adolescent Health, Volume 4, Issue 8, 1 Août 2020.

22 Baumeister RF Leary MR. The need to belong: desire for interpersonal attachments as a fundamental human motivation. Psychol Bull. 1995 ; 117 : 497-529

23 Hawkley LC, Cacioppo JT. Loneliness matters: a theoretical and empirical review of consequences and mechanisms. Ann Behav Med. 2010; 40: 218-227

24 Sawyer SM, Azzopardi PS, Wickremarathne D, Patton GC. The age of adolescence. Lancet Child Adolesc Health. 2018; 2: 223-228

25 Mask mandates may affect a child’s emotional, intellectual development, Dr Mary Gillis, 23 Juillet 2020.

26 Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !, 21 Août 2020, par les docteurs G Delépine, chirurgien oncologue et N Delépine, pédiatre cancérologue.

27 Septante médecins flamands demandent l’abolition du masque dans les écoles: « Une menace sérieuse pour leur développement »

Annexe 2 :

OMS, effets secondaires du port du masque :

Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :

  • Risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées ; (48, 49)
  • Auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;
  • Mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ;
  • Lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ; (50)
  • Difficulté de communiquer clairement ;
  • Sensation possible d’inconfort ; (41, 51)
  • Fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ;
  • Port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ;
  • Problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;
  • Difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale
  • Désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par :

– les enfants

– les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales,

– les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives,

– les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques,

– les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillo-faciale,

– ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.

Annexe 3 :

Risques pour la santé liés à des couvertures bucco-nasales et augmentation du taux de CO2 dans le sang :

« L’augmentation du CO2 derrière les masques chirurgicaux minces est déjà mesurable dans le sang après quelques respirations » : Thèse de doctorat à l’Université technique de Municha Sommer Butz, Ulrike (2005):

Réinspiration de dioxyde de carbone lors de l’utilisation de masques chirurgicaux comme masque facial hygiénique pour les professionnels de la santé, Université technique de Munich, p. 32, 35, 43.

« Le résultat de cette étude montre que l’un des deux types de masque examinés augmente significativement la pression partielle du dioxyde de carbone dans le sang des sujets. Les valeurs de CO2 artériel mesurées par voie transcutanée ont augmenté jusqu’à 5,5 mmHg. Cette augmentation a été causée par la perméabilité limitée au CO2 des masques. »

L’étude et la mesure de l’augmentation du Co2 ont été réalisées sur des adultes en bonne santé.

Une autre étude, publiée en 2012, a évalué l’effet du port prolongé du masque chirurgical sur la santé de 53 chirurgiens turcs.

Il s’agissait de personnes en bonne santé préalable.

Ils ont constaté une augmentation de la fréquence cardiaque et une diminution de saturation pulsée en oxygène (SpO2 reflet de la saturation artérielle) dès après la première heure de port du masque, en les comparant aux valeurs prises sans masque. Une faible variation en saturation en oxygène (SpO2-SaO2) peut refléter une large variation de la pression partielle du sang en oxygène (PaO2).

(© L’oxymètre de pouls)

Cette courbe est la courbe de dissociation de l’hémoglobine. La pression partielle en oxygène dans le sang artériel (PaO2) détermine la saturation (SpO2). Une baisse de SpO2 de 10 (100 à 90 %) correspond à une baisse de PaO2 de 40 (100 à 60 mm Hg).

Les chercheurs concluent que leurs résultats montrent l’impact clinique potentiel du port prolongé du masque sur la respiration. Jean-Dominique MICHEL, 17.09.2020

Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery, A Beder & al, Neurocirugia, 2008, 19, pp 121-126

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Les masques faciaux sont-ils efficaces? Les données probantes

Mis à jour : 25 octobre 2020; Publié: 30 juillet 2020

Un aperçu des données actuelles concernant l’efficacité des masques faciaux.

Source : Swiss Policy Research

1. Études sur l’efficacité des masques faciaux

Jusqu’à présent, la plupart des études ont trouvé peu ou pas de preuves de l’efficacité des masques en tissu dans la population générale, ni en tant qu’équipement de protection individuelle ni en tant que contrôle à la source.

  1. Une méta-étude de mai 2020 sur la grippe pandémique publiée par les CDC américains a révélé que les masques faciaux n’avaient aucun effet, ni en tant qu’équipement de protection individuelle ni en tant que contrôle à la source. ( Source )
  2. Un examen de juillet 2020 par l’ Oxford Center for Evidence-Based Medicine a révélé qu’il n’y avait aucune preuve de l’efficacité des masques en tissu contre l’infection ou la transmission virale. ( Source )
  3. Une étude transnationale sur Covid-19 à l’ Université d’East Anglia a révélé que l’exigence d’un masque n’était d’aucun avantage et pouvait même augmenter le risque d’infection. ( Source )
  4. Un examen d’avril 2020 par deux professeurs américains en maladies respiratoires et infectieuses de l’ Université de l’Illinois a conclu que les masques faciaux n’ont aucun effet dans la vie quotidienne, ni en tant qu’autoprotection ni pour protéger des tiers (soi-disant contrôle à la source). ( Source )
  5. Un article du New England Journal of Medicine de mai 2020 est venu à la conclusion que les masques en tissu n’offrent que peu ou pas de protection dans la vie quotidienne. ( Source )
  6. Une revue Cochrane d’ avril 2020 (pré-impression) a révélé que les masques faciaux ne réduisaient pas les cas de syndrome grippal (SG), ni dans la population générale ni chez les travailleurs de la santé. ( Source )
  7. Un examen d’avril 2020 de la Norwich School of Medicine (pré-impression) a révélé que « les preuves ne sont pas suffisamment solides pour soutenir l’utilisation généralisée des masques faciaux », mais soutiennent l’utilisation de masques par « des personnes particulièrement vulnérables dans des situations transitoires à risque élevé ». ( Source )
  8. Une étude de juillet 2020 menée par des chercheurs japonais a révélé que les masques en tissu «n’offrent aucune protection contre le coronavirus» en raison de leur grande taille de pores et de leur ajustement généralement médiocre. ( Source )
  9. Une étude réalisée en 2015 dans le British Medical Journal BMJ Open a révélé que les masques en tissu étaient pénétrés par 97% des particules et pouvaient augmenter le risque d’infection en retenant l’humidité ou en une utilisation répétée. ( Source )
  10. Un examen d’août 2020 par un professeur allemand de virologie, d’épidémiologie et d’hygiène a révélé qu’il n’y avait aucune preuve de l’efficacité des masques en tissu et que l’utilisation quotidienne inappropriée de masques par le public pouvait en fait entraîner une augmentation des infections. ( Source )

Aspects supplémentaires

  1. Il y a de plus en plus de preuves que le coronavirus SRAS-2 est transmis, au moins dans des environnements intérieurs, non seulement par des gouttelettes mais aussi par des aérosols plus petits . Cependant, en raison de leur grande taille de pores et de leur mauvais ajustement, les masques en tissu ne peuvent pas filtrer les aérosols (voir l’analyse vidéo ci-dessous): plus de 90% des aérosols pénètrent ou contournent le masque et remplissent une pièce de taille moyenne en quelques minutes.
  2. L’ OMS a admis à la BBC que sa mise à jour de la politique des masques de juin 2020 n’était pas due à de nouvelles preuves mais à un «lobbying politique» : «Diverses sources nous avaient dit que le comité de l’OMS examinant les preuves n’avait pas soutenu les masques, mais ils les recommandaient en raison du lobbying politique. . Ce point a été soumis à l’OMS qui n’a pas nié. (D. Cohen, correspondant médical de la BBC).
  3. Une analyse du CDC américain a révélé que 85% des personnes infectées par le nouveau coronavirus ont déclaré porter un masque «toujours» (70,6%) ou «souvent» (14,4%). Par rapport au groupe témoin de personnes non infectées, toujours porter un masque n’a pas réduit le risque d’infection.
  4. Le Japon , malgré son utilisation généralisée des masques faciaux, a connu sa plus récente épidémie de grippe avec plus de 5 millions de personnes tombées malades il y a à peine un an, en janvier et février 2019. Cependant, contrairement au SRAS-CoV-2, le virus de la grippe se transmet facilement par les enfants aussi.
  5. De nombreux États qui ont introduit des masques faciaux obligatoires dans les transports en commun et dans les magasins au printemps, comme Hawaï , la Californie , l’ Argentine , l’ Espagne , la France , le Japon et Israël , ont vu une forte augmentation des infections à partir de juillet, indiquant une faible efficacité des politiques de masques. ( Plus d’exemples )
  6. Des scientifiques autrichiens ont constaté que l’introduction, la rétraction et la réintroduction d’un mandat de masque facial en Autriche n’avaient aucune influence sur le taux d’infection à coronavirus.
  7. Dans l’ État américain du Kansas , les 90 comtés sans mandat de masque avaient des taux d’infection à coronavirus inférieurs à ceux des 15 comtés avec des mandats de masque. Pour cacher ce fait, le département de la santé du Kansas a tenté de manipuler les statistiques officielles et la présentation des données.
  8. Contrairement aux idées reçues, des études dans les hôpitaux ont montré que le port d’un masque médical par les chirurgiens pendant les opérations ne réduisait pas les infections bactériennes postopératoires chez les patients.
  9. Au cours de la fameuse pandémie de grippe de 1918 , l’utilisation de masques en tissu dans la population générale était répandue et dans certains endroits obligatoire, mais cela n’a fait aucune différence .
  10. Les pays asiatiques où les taux d’infection et de mortalité par les covidés sont faibles n’ont pas bénéficié de masques faciaux, mais principalement de la fermeture précoce des frontières . Cela est confirmé par des pays scandinaves comme la Norvège, la Finlande et le Danemark, qui n’ont pas introduit de mandat de masque, mais ont fermé les frontières tôt et ont également enregistré des taux d’infection et de mortalité très faibles.
  11. Des chercheurs de l’Université du Minnesota ont découvert que la dose infectieuse de SRAS-CoV-2 n’est que de 300 virions (particules virales), alors qu’une seule minute de parole normale peut générer plus de 750000 virions , ce qui rend les masques en tissu peu susceptibles d’empêcher une dose infectieuse. .
  12. À ce jour, le seul essai contrôlé randomisé sur l’efficacité des masques faciaux contre l’infection à covid en milieu communautaire a été réalisé au Danemark. Selon les rapports de presse, il n’a trouvé aucun effet des masques faciaux, mais la publication de l’étude  a été refusée par trois grandes revues .

Développement de cas après imposition des masques

Dans de nombreux États, les infections ont commencé à augmenter après l’introduction des mandats de masque. Le graphique suivant montre l’exemple très typique de la France. D’autres exemples incluent la Californie, la Floride, Hawaï, l’Argentine, le Pérou, les Philippines, l’Espagne, l’Italie, le Royaume-Uni, Israël, le Japon, la Suisse et bien d’autres .

France: Masques et infections ( SPF / RG )

Le Dr. Theodore Noel explique le problème des aérosols des masques faciaux https://videopress.com/embed/4egEyh2b?hd=1&loop=0&autoPlay=0&permalink=1

2. Etudes affirmant que les masques faciaux sont efficaces

Certaines études récentes ont fait valoir que les masques en tissu sont en effet efficaces contre le nouveau coronavirus et pourraient au moins prévenir l’infection d’autres personnes. Cependant, la plupart de ces études souffrent d’une méthodologie médiocre et montrent parfois le contraire de ce qu’elles prétendent.

En règle générale, ces études ignorent l’effet d’autres mesures, le développement naturel du nombre d’infections, les changements dans l’activité des tests ou elles comparent des pays aux conditions très différentes.

Un aperçu:

  1. Une méta-étude dans la revue Lancet , commandée par l’ OMS , a affirmé que les masques «pourraient» conduire à une réduction du risque d’infection, mais les études ont principalement considéré les respirateurs N95 en milieu hospitalier, et non les masques en tissu en milieu communautaire, la force des preuves a été qualifiée de «faible» et les experts ont découvert de nombreuses lacunes dans l’étude . Le professeur Peter Jueni, épidémiologiste à l’Université de Toronto, a qualifié l’étude de l’OMS d ‘ «essentiellement inutile» .
  2. Une étude de la revue PNAS a affirmé que les masques avaient entraîné une diminution des infections dans trois points chauds mondiaux (y compris la ville de New York), mais l’étude n’a pas pris en compte la diminution naturelle des infections et d’autres mesures simultanées. L’étude était si imparfaite que plus de 40 scientifiques ont recommandé que l’étude soit retirée .
  3. Une étude allemande a affirmé que l’introduction de masques faciaux obligatoires dans les villes allemandes avait entraîné une diminution des infections. Mais les données ne soutiennent pas cette affirmation: dans certaines villes, il n’y a pas eu de changement, dans d’autres une diminution, dans d’autres une augmentation des infections (voir graphique ci-dessous). La ville d’Iéna était une «exception» uniquement parce qu’elle introduisait simultanément les règles de quarantaine les plus strictes en Allemagne, mais l’étude ne l’a pas mentionné.
  4. Une étude américaine a affirmé que les masques obligatoires avaient entraîné une diminution des infections dans 15 États, mais l’étude n’a pas tenu compte du fait que le taux d’infection était déjà en baisse dans la plupart des États à cette époque, et aucune comparaison avec d’autres États n’a été effectuée. Après la publication de l’étude, les infections ont commencé à augmenter dans les États ayant des mandats de masque (par exemple en Californie, en Floride et à Hawaï).
  5. Une étude canadienne a affirmé que les pays dotés de masques obligatoires avaient moins de décès que les pays sans masques obligatoires. Mais l’étude a comparé des pays d’Afrique, d’Amérique latine, d’Asie et d’Europe de l’Est avec des taux d’infection et des structures de population très différents.
  6. Un petit examen de l’ Université d’Oxford a affirmé que les masques faciaux sont efficaces, mais il était basé sur des études sur le SRAS-1 et dans les établissements de soins de santé, pas dans les milieux communautaires.
Masques obligatoires dans les villes allemandes: aucun impact significatif. ( IZA 2020 )

Risques associés aux masques faciaux

Le port de masques pendant une période prolongée n’est pas inoffensif, comme le montrent les preuves suivantes:

  1. L’ OMS met en garde contre divers «effets secondaires» tels que des difficultés respiratoires et des éruptions cutanées.
  2. Des tests menés par l’ hôpital universitaire de Leipzig en Allemagne ont montré que les masques faciaux réduisent considérablement la résilience et les performances des adultes en bonne santé.
  3. Une étude psychologique allemande menée auprès d’environ 1000 participants a révélé des «conséquences psychosociales graves» dues à l’introduction de masques faciaux obligatoires en Allemagne.
  4. L’ Institut environnemental de Hambourg a mis en garde contre l’ inhalation de composés chlorés dans les masques en polyester ainsi que des problèmes liés à l’élimination des masques faciaux.
  5. Le système européen d’alerte rapide RAPEX a déjà rappelé 70 modèles de masques car ils ne répondaient pas aux normes de qualité de l’UE et pourraient entraîner des «risques graves».
  6. En Allemagne, deux enfants de 13 ans sont décédés subitement en portant un masque pendant une période prolongée; les autopsies ne pouvaient exclure une intoxication au CO2 ou un arrêt cardiaque soudain.
  7. En Chine, plusieurs enfants qui devaient porter un masque pendant les cours de sport se sont évanouis et sont morts ; les autopsies ont trouvé un arrêt cardiaque soudain comme cause probable du décès.
  8. Aux États-Unis, un conducteur de voiture portant un masque N95 (FFP2) s’est évanoui et s’est écrasé contre un poteau.

Conclusion

Les masques en tissu dans la population générale pourraient être efficaces, du moins dans certaines circonstances, mais il existe actuellement peu ou pas de preuves à l’appui de cette proposition. Si le virus SRAS-2 est effectivement transmis via des aérosols intérieurs, les masques en tissu ne seront probablement pas protecteurs. Les autorités sanitaires ne doivent donc pas supposer ni suggérer que les masques en tissu réduiront le taux ou le risque d’infection.

Source : Antropologiques

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