Bretagne : 3000 euros d’amende pour avoir manifesté contre les migrants musulmans auteurs d’agression sexuelle
Ronan Le Gall, président du parti nationaliste et indépendantiste breton ADSAV !, a été condamné à 3000 euros d’amende dont 2000 avec sursis par le gouvernement français.
Une décision éminemment politisée de la part de l’État Français qui fait suite à une mobilisation populaire, le 14 novembre 2016, contre l’implantation illégale sur le territoire breton de migrants clandestins musulmans.
Présents sur la commune d’Arzon (Vannetais) devant le bâtiment réquisitionné par Paris pour abriter les allogènes, Ronan Le Gall et d’autres manifestants avaient tenu à dénoncer les agressions sexuelles commises peu avant par des clandestins soudanais contre deux Bretonnes résidant dans les environs (voir ici).
Soucieux d’empêcher toute opposition populaire à cette entreprise coloniale inédite, le gouvernement français a donc infligé une peine d’amende et de prison avec sursis aux patriotes bretons présents sur place.
Ronan Le Gall a rappelé qu’il n’était pas l’organisateur de la manifestation – interdite par le gouvernement français – mais avait jugé légitime et nécessaire de répondre à l’appel. Sans succès. Il devrait faire appel de ce jugement illégitime. Deux autres personnes ont été condamnées à des peines d’amende et de prison avec sursis.
Au moins un des agresseurs soudanais avait été exfiltré par l’État Français tandis qu’il lançait la répression contre l’opposition populaire.