COVIDOSE à la GENEVOISE : LA HONTE !

« Perseverare diabolicum« , que dire d’autre ?!

Voici des mois que les autorités genevoises s’emballent dans une fuite en avant pour imposer des mesures de plus en plus coercitives et destructrices, dont l’inefficacité crève les yeux.

Au lieu de se préparer à l’augmentation des cas qu’elles nous annoncent depuis des mois en évitant les mesures inutiles, voilà qu’elles partent en vrille dans le « toujours plus de la même chose quels qu’en soient le prix et l'(absence de) résultats » !

Je l’ai écrit et décliné ici sous toutes ses formes : la science (la vraie, pas celle des lobbies et des corrompus) MONTRE que le confinement ne sert à rien et même qu’il ne fait qu’aggraver les choses.

Comme nos pauvres autorités restent convaincues – à tort – que la décrue du mois d’avril était due à cette mesure, elles s’empressent de repartir dans cette direction malgré les analyses aussi probantes qu’il est possible en la matière -et la recommandation de l’OMS de l’éviter !

Le port du masque n’a pas non plus d’effet protecteur avéré alors qu’il présente de nombreux effets toxiques. Son imposition n’a donc PAS DE BALANCE COÛTS / BÉNÉFICES PROBANTE en population générale et s’avère même maltraitant et toxique sur les enfants et les jeunes !

Nous avons maintenant le recul pour comparer la situation entre les pays et voir notamment que l’Espagne et la France, qui ont durci les mesures tôt cet été « pour prévenir la résurgence de l’épidémie » sont en pleine panade, ce qui montre bien l’inutilité préventive de ces mesures alors que la Suède, qui n’a jamais masqué ni confiné, connaît une situation aujourd’hui exceptionnellement enviable.

Le Pr Christophe de Brouwer le dit avec la sagacité qui manque à nos comités d’experts :

« Et voilà, nos gouvernements ont pris des décisions qui, j’en ai la conviction, mèneront notre (nos) pays de catastrophe en catastrophe, pas seulement sur le plan socio-économique et individuel, mais aussi sur le plan sanitaire.
À force de vouloir contrarier la marche naturelle d’une épidémie, on en a, en quelque sorte, créé une. »

Combien de temps allons-nous encore écouter des comités scientifiques corrompus puisque pétris de conflits d’intérêts ?!

Des comités qui ont mis en échec (et continuent de la faire) le traitement hydroxychloroquine / azothromycine, flingué par une campagne de dénigrement criminelle, portée entre autres par des Universités suisses et les « plus grandes revues médicales au monde », avec la complicité active de nos hôpitaux et de nos autorités de santé.

Des comités qui ont réussi à imposer un médicament inefficace et toxique, accrédité à la va-vite par Swissmedics, assurant à son producteur, le laboratoire Gilead, qui arrose l’ensemble du système de santé suisse et romand, des centaines de millions de dollars de bénéfices au prix de la santé et même de la vie de nombreux patients !

Des comités qui verrouillent des mesures inefficaces et homicides en dictant leur conduite et leurs décisions à des politiciens ignares et paniqués !

Jusqu’à quand subirons-nous passivement cette immense cacade, doublée d’une arnaque détestable, qui détruit nos enfants et nos anciens, massacre notre économie, commence à réduire à l’indigence des populations entières trahies par leurs gouvernants qui ne sont plus que de vagues pantins aux ordres des pharmas et des GAFAM ?!

 

Nous appelons à une insurrection des consciences.

 

Les mesures imposées sont délétères, abusives, brutales, absurdes, crapuleuses et folles.

« Ah oui, et que feriez-vous à la place ? » me demande-ton souvent. Comment convient-il d’agir ? Mais c’est simple au possible !

Ce que la plupart des gens ignorent (les médias et les autorités y veillent), c’est que les plans pandémie dont nous disposions n’ont simplement pas été appliqués depuis le mois de janvier. Alors qu’ils contiennent la description des bonnes mesures. Au lieu de s’y référer et de les appliquer, les irresponsables qui nous gouvernent (à l’échelon mondial, les autorités nationales et locales n’en sont ici que les relais serviles) ont sorti de leur chapeau des mesures invraisemblables, qui n’ont jamais été préconisées ni même envisagées comme le confinement de populations entières ou l’imposition du port du masque à des gens en bonne santé !

Écoutons l’analyse de trois sociologues spécialistes des catastrophes au sujet du couvre-feu :

« Cette annonce inspire un sentiment de déjà-vu. Elle ressemble, par bien des points, à l’annonce du confinement il y a sept mois.
D’abord, aucune des deux ne faisait partie de l’arsenal des mesures prévues pour gérer une crise sanitaire. Aucune des deux ne constitue à proprement parler une mesure de santé publique.
Ensuite, ce sont deux mesures sur lesquelles on ne dispose que de très peu de connaissances, qu’il s’agisse de leurs effets pour contrôler une épidémie, ou de leurs « effets secondaires », sanitaires, économiques ou sociaux. C’est d’autant plus surprenant que la science est mise en avant pour justifier ces décisions, sans qu’elles n’aient jamais été véritablement testées ou étudiées. »

Je donne infra la marche à suivre, la seule qui convienne, celle qui doit être appliquée dans de pareils cas et à laquelle on a renoncé pour des raisons dont la vraie mise en lumière relèvera, ici et ailleurs, du droit pénal.

Je cite encore trois commentaires d’observateurs avisés, décrivant avec la lucidité qui a déserté nos gouvernements, le véritable visage du problème !

 

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« Synthèse du système de décision gouvernemental :
1) Les cas augmentent.
2) Urgence! Il faut des masques!!! Il faut des fermetures!!!
3) Les cas continuent à augmenter, comme si de rien n’était.
4) Urgence! Il faut davantage de masques et davantage de fermetures!!!
(…on répète ad libitum les points 3 et 4…)
5) Les cas arrivent au 100%, puis chutent.
6) Vous avez vu? Les cas ont chuté! On avait raison à imposer des masques et des fermetures! »
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Le député au Grand Conseil genevois Yvan Zweifel a publié ceci ce jour sur un réseau social. Je le rejoins entièrement :
« Depuis juillet, le Conseil d’État a imposé de nombreuses contraintes aux commerces et entreprises genevois, ceci alors que la situation épidémiologique de cette époque ne le justifiait pas.
Ces entreprises ont mis en place des plans de protection coûteux, alors qu’elles sortaient d’un confinement qui les a lessivées. Elles ont tout fait pour protéger leurs personnels et leurs clients avec la promesse de ne pas reconfiner.
Aujourd’hui, force est de constater qu’on s’est moqué d’elles et cette situation est inadmissible.
Alors que l’OMS a bien expliqué que confiner sa population est néfaste, tant d’un point de vue sanitaire qu’économique ou social, et alors qu’il n’y a pas de foyers d’infection chez les coiffeurs, les magasins de vêtements ou les restaurants, le Conseil d’État a pris cette inexplicable décision de les fermer.
Ne fallait-il pas plutôt augmenter les capacités hospitalières, par exemple en ouvrant des abris PC pour avoir plus de lits, en fermant la cellule de traçage qui ne trace plus rien pour renforcer le personnel médical ou encore faire appel à l’armée et à la protection civile pour envisager l’installation d’un ou deux hôpitaux militaires pour soulager les HUG ?
J’ai mal pour eux et j’ai mal pour Genève ! »
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Quant à un entrepreneur, voici son sentiment ô combien compréhensible :
« Je résume …. depuis mars on explique et on démontre que les mesures (masques, distance et confinement) sont inutiles, néfastes et n’auront aucun effet sur la reprise de l’épidémie en automne-hiver… contrairement à ce que clament et nous infligent nos chères autorités.

Aujourd’hui on constate qu’effectivement ces mesures étaient sans effet… mais nos autorités, elles, viennent nous expliquer que c’est parce que nous sommes désobéissants, que nous n’avons pas appliqués les décisions et reprennent les mêmes mesures qu’en mars !!! Genre ce ne sont pas les mesures qui sont nulles, mais leur application.
On a affaire à des fous ? »
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De mon point de vue, clairement oui. A part mettre tout le monde en scaphandre et terrer les enfants à l’abri de la lumière du jour dans un habit digne de Guantanamo, on voit mal quelle nouvelle stratégie ils sont capables d’imaginer ensuite…
Vouloir arrêter la circulation du coronavirus aujourd’hui, c’est comme donner un parapluie à chaque citoyen et les rendre responsables si des gouttes de pluie touchent le sol du canton ! Les restrictions de l’été auront même été clairement néfastes à l’immunisation des groupes sans risques de la population.
Il est temps de revenir à la raison, et de reprendre simplement le chemin des bonnes pratiques.
Train de mesures à prendre contre la Covid-19
Ces différentes mesures correspondent tout simplement aux meilleures pratiques en la matière. Elles figurent in extenso dans mon livre « Covid : anatomie d’une crise sanitaire » publié le 20 mai dernier aux éditions HumenSciences.
  • Recommandations de prévention et de soutien du système immunitaire. Spécialement ici, compléments alimentaires de zinc[1], magnésium[2], vitamines C[3] et D3[4], qui sont en carence chronique à large échelle dans la population et dont la mise à niveau a un impact protecteur avéré contre la Sars-CoV-2  [5]. Le mutisme complet sur les actions possibles pour améliorer son terrain ou soutenir son immunité a été assourdissant. Rappelons au passage que l’exercice physique, une alimentation de qualité ou même certaines pratiques de respiration[6] ont montré une action favorable sur le système immunitaire.

 

  • Production et utilisation massive de tests de dépistage pour les personnes symptomatiques uniquement, avec un degré de sensibilité pertinent (par exemple 25-30 CT-PCR).

 

  • Traçage sans contrainte (impérativement !) des contacts établis par les personnes infectées avec d’autres, les jours précédant le développement des symptômes et signalement adressé à ceux-ci.

 

  • Mise en quarantaine stricte des personnes infectées uniquement avec suivi médical à distance par le médecin traitant, en lien avec les structures hospitalières locales.

 

  • Prescription combinée hydroxychloroquine + azithromycine dans les situations à risque, ou se détériorant, ou encore nécessitant une réduction impérative de la durée de contagiosité, des critères concernant probablement 20 à 30 % des cas[7].

 

  • Liberté de prescrire pour tous les médecins installés en pratique privée et garantie par l’État de la disponibilité des médicaments de base, en réquisitionnant au besoin les capacités de production de l’industrie pharmaceutique.

 

  • Confinement ciblé des personnes à risque. Avec une vérification systématique pour tous les confinés de la balance coûts/bénéfices pour eux et leur entourage, tenant compte de leurs préférences, de l’impact sur leur qualité de vie et leur santé affective relationnelle et psychique. Enfin, prescription pour les personnes à risque, pour qui cela peut se révéler indiqué, d’hydroxychloroquine et de zinc, éventuellement complété d’azithromycine en cas de symptôme infectieux.

 

  • Port obligatoire du masque et des gants pour le personnel soignant ainsi que les personnes exposées du fait de leur profession ou à risque (FFP2). Suppression immédiate du port du masque en population générale, en intérieur comme en extérieur !

 

  • Mesures de protection (lavage de mains) et de distanciation sociale pendant le temps, bref, du pic épidémique.

 

  • Développement ad hoc de la capacité hospitalière en soins intensifs.

La grande majorité (90%) des hospitalisations ne requiert aujourd’hui ni soins intensifs, ni soins intermédiaires ! Les prises en charge pourraient même dans de très nombreux cas avoir lieu à domicile ou dans des lieux réquisitionnés comme des hôtels. [8] En ce qui concerne la réanimation, les cliniques privées doivent impérativement être mobilisées en cas de besoin. Sachant que le pic épidémique est normalement dépassé en deux semaines…

 

  • Partage d’expériences et de recherches de solutions accélérées (moins lourdes que les essais cliniques classiques), entre services hospitaliers et praticiens. La somme d’évidence empirique en faveur de certaines interventions (comme la prescription de macrolides*) est par exemple phénoménale.

 

  • Mise sur pied de comités multidisciplinaires d’experts compétents et libres de tous conflits d’intérêts, orientés vers les solutions, pour proposer des mesures utiles et rapidement applicables, de soutien à la santé physique, affective, relationnelle, psychique et sociale.

 

  • Et bien sûr, une communication d’État honnête, responsable et proactive, transmettant une information transparente et de qualité. Avec une sensibilisation des médias sur l’importance de présenter une information juste, honnête et s’abstenant de tout pli inutilement anxiogène.
  • Et désormais : mise à disposition de structures de débriefing post-traumatique pour la population, affectée et ébranlée par la gestion incohérente de l’épidémie et les dérives médiatiques graves.

 

[1] Gasmi A., Bjorklund G., et al., « Individual risk management strategy and potential therapeutic options for the COVID-19 pandemic », Clinical Immunology, avril 2020.

[2] « Magnesium », National institutes of health : https://ods.od.nih.gov/factsheets/Magnesium-HealthProfessional/

[3] Carr A. C., « A new clinical trial to test high-dose vitamin C in patients with COVID-19 », Critical care, vol. 24, 2020.

[4] « Vitamin D deficiency in Ireland – implications for COVID-19. Results from The Irish Longitudinal Study on Ageing (TILDA) » : https://tilda.tcd.ie/publications/reports/pdf/Report_Covid19VitaminD.pdf ; Grant W. B., Bhattoa H. P., et al., « Evidence that Vitamin D Supplementation Could Reduce Risk of Influenza and COVID-19 Infections and Deaths », Nutrients, vol. 12, avril 2020.

Sixty seconds on . . . vitamin D, https://www.bmj.com/content/371/bmj.m3872/rr

[5] Singh M., et Das R. R., « Zinc for the common cold », Cochrane Database of Systematic Reviews, vol. 6, 2013.

[6] Kox M., Pickkers P., et al., « Voluntary activation of the sympathetic nervous system and attenuation of the innate immune response in humans », PNAS, vol. 111, no 20, mai 2020, p. 7379-7384.

[7] « Christian Perronne : “À Garches, nous avons de bons résultats avec l’hydroxychloroquine” », Nexus.fr, 15 avril 2020.

[8] Baxter H., « Coronavirus patients on ventilators are unusually likely to die, causing some doctors to change strategy », Independent, 9 avril 2020.

* Les macrolides sont une classe d’antibiotiques dont fait parrie l’azithromycine.

[9] Cathy LG, « COVID-19 : L’espoir par des traitements antibiotiques ? », blog Mediapart, 14 avril 2020.

[10] Schacht O., « COVID-19 Patients Need to Be Tested for Bacteria and Fungi, Not Just the Coronavirus », blog Scientific American, 16 avril 2020.

Source : COVIDOSE à la GENEVOISE : LA HONTE ! – Anthropo-logiques

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