Du dioxyde de titane trouvé dans six médicaments

L’Efferalgan, le Nurofen ou le Spasfon contiennent ce produit potentiellement cancérigène. C’est dans ces termes que s’exprime Que Choisiri en 2018. Une preuve de plus de l’extrême nocivité de la médecine allopathique.

Le chapô se termine toutefois mal. Qu’on en juge : « Le magazine invite à la prudence et à l’utilisation de substituts. ».

Notez bien que cette étude n’est pas jeune et remonte à l’avant-CoVID.

Ce propos est tellement tiède que j’ai voulu en savoir plus. En effet, il s’agit ici de nanoparticules — 10 000 fois plus petites qu’un grain de sel comme nous le rappelleii FoodWatch — et dont on sait par ailleurs tout le bien qu’il faut en penser avec les désormais célèbres nanoparticules de graphène de l’affaire CoVID.

La poursuite de la lecture de Que Choisir révèle en fait d’autres médicaments. La liste des produits testés devient donc (temporairement²(*)) :

— Efferalganiii

— Spasfoniv

— Zyrtecsetv

— Nurofenvi

— Dolipranevii

— Euphytoseviii

Vous savez, ce Doliprane tant vanté par nos « autorités » sanitaires en lieu et place d’un traitement sérieux du CoVID à l’hydroxychoroquine et/ou l’ivermectine. Pour le dire autrement, les nanoparticules ont été introduites bien avant les pseudo-vaccins. Le journal Ouest-France souligneix sans ironie que la présence de nanoparticules n’est JAMAIS signalée dans la notice. Si tout ceci n’est pas la volonté de nuire, peut-on me dire ce que c’est ?

Le reste de l’article de Ouest-France étant soumis à l’acceptation de cookies de réseaux sociaux, j’ai arrêté là ma lecture. Le reste des merdias est assez bavarde sur le sujet et je renvoie le lecteur intéresse vers ces ressources. La toxicité n‘est pas cachée et c’est une justice à leur rendre.

Du côté de la presse alternative, l’analyse de ma base Mail (quelques 590 000 mails sur 30 ans) fait ressortir 106 occurrences de « dioxyde de titane », la plus ancienne datant de 2005. Ce n’est donc pas d’hier que la molécule pose problème et ceci m’a donné envie de regarder qui-a-parlé-de-quoi dans ce domaine. Ce genre d’introspection est toujours riche en surprises comme nous allons le voir.

Tout d’abord, une veille sérieuse consiste (aussi) à surveiller ce que nos détracteurs font. Ainsi, Médiscoop, dans son édition du 15 juillet 2005,nous entretient d’une « La lampe UV anti-légionnelle ». Sa description indique : « colonne de verre, ponctuée de digitations (aspérités en forme de doigts) recouvertes de dioxyde de titane et éclairées par 4 lampes UV. ». L’ADITx, branchéexi uniquement sur le monde des affaires, en septembre 2005, nous souligne : « Pour les scientifiques, il est cependant trop prématuré pour conclure que les particules de TiO2 altèrent le cerveau. Il faudrait notamment connaître si ces composés appliqués sur la peau, inhalés ou avalés peuvent diffuser jusqu’au cerveau et dans quelles concentrations. Il faut cependant être vigilant car des mécanismes similaires sont suspectés d’être à la base des maladies de Parkinson et d’Alzheimer. »

En juin 2007, un internaute, dans une liste de discussion orientée médecine, cite : « De fait, selon Quelle Santé (…) on a démontré que les fullerènes (nanobilles de carbone) utilisés dans les crèmes hydratantes, endommagent le cerveau des poissons et sont hépatotoxiques chez l’homme. On a mis en évidence, et cela de manière irréfutable, que les nanoparticules de dioxyde de titane, employées dans les filtres solaires pour une question d’esthétique produisent des radicaux libres et endommagent l’ADN de la peau. ». La situation s’est donc vite éclaircie.

Autre agora médicale, en février 2008, qui nous révèle que le médica-ment Duloxetine contient du dioxyde de titane, fait confirmé aujourd’hui par le Vidalxii.

En 2010, la regrettée Sylvie Simon révélait : « Il y a encore un an, il n’y avait aucun filtre vraiment sûr pour récupérer les nano-particules. ». Basta Mag a beaucoup écrit sur le dioxyde de titane et, ce, depuis un bailxiii. « Jouets pour enfants : comment éviter les cadeaux toxiques » est à ce propos des plus évocateursxiv. Ce même Basta Mag nous posait la question, en janvier 2010 : « Nanotechnologies : tous cobayes de la nano-bouffe ? »xv.

Février 2012, Santé Log s’émeut : « ADDITIFS ALIMENTAIRES : Le dioxyde de titane lié à la cancérogenèse colorectale »xvi, publication médicale à l’appuixvii.

Marquons une pause.

Nous sommes donc début 2012 et la cause est clairement entendue et ne peut qu’emporter la décision d’interdire le dioxyde de titane. Vous allez alors me dire que cette interdiction est peut-être intervenue après. Vous aurez raison : elle est intervenue récemment, voir le JO du 31 décembre 2023.

11 années. Essayez d’opérer un retard de seulement 10 jours dans le paiement d’une amende et vous allez voir la différence…

Regardons-y de plus près car avec les gouvernants, les choses ne sont jamais ce qu’elles semblent être.

D’abord, nous apprenons avec ce texte qu’une suspension (et non bannissement) avait déjà été signifiée le 17 avril 2019. Il s’agit donc d’une reconduction. Ensuite, et malgré ce que vous avez pu lire ci-dessus, cette suspension NE concerne QUE les produits alimentaires. En clair, nos enfants peuvent continuer sans problème à être intoxiqués.

Agir pour l’Environnement, dans sa gazette de juin 2016, semble découvrir le problème à en juger par son titre : « ENQUÊTE INÉDITE : Des nanoparticules dans notre assiette ! ».

Vous apprécierez l’emploi du mot inéditeQuatre mois plus tard, cette même publication nous enseigne que : « Depuis 2006, une agence de l’Organisation Mondiale de la Santé classe le dioxyde de titane « cancérigène probable 2B par inhalation »  ».

Si l’on n’y prend pas garde, cette phrase apparaît comme anodine. Elle ne l’est aucunement car elle indique bien : « par inhalation ». Avec l’ADIT en 2005 ( voir ci-dessus), cela fait donc deux fois que l’inhalation est signalée comme vecteur de contamination !

Le vecteur de contamination n’est plus alors le seul ALIMENT mais l’AIR que nous respirons,

Cela change considérablement les données du problème pour en faire un cataclysme en puissance ! Agir pour l‘Environnement est, dans ma base Mail, la structure la plus présente. pour évoquer l’oxyde de titane (30 mails en 30 années).

Alternative Santé, seulement six mois plus tard (nous sommes en décembre 2016) qualifie le TiO² comme « célèbre ». Bien triste célébrité que voilà et en tout cas bien récente compte tenu de l’historique ci-dessus.

 

J’observe que les médica-ments, tout comme les aliments, sont généralement administrés par voie orale. N’y aurait-il alors pas matière à étendre le champ d’application de ce texte  ? Comme d’habitude, tout est fait pour protéger Big Pharma et j’ai personnellement hâte de voir quand le TiO² sera aussi interdit dans les médica-ments et non simplement « suspendus ».

Top-chrono !

 

 

 

(*) Quand je dis « temporairement », c’est parce que Que Choisir na naturellement testé que quelques produits. Le Vidal, bréviaire bien connu, nous révèle, lui, la présence du dioxyde de titane pas moins de 1 330 fois dans les molécules prescrites par nos médecins allopathiques.

Quant aux nanoparticules, ce même Vidal ne référence pas moins de 90 occurrences du mot.

 

N’y a-t-il pas là une autre Bastille à prendre ?

 

 

 

ihttps://www.60millions-mag.com/2018/03/22/medicaments-des-nanos-dans-l-efferalgan-et-le-nurofen-11667

iihttps://www.foodwatch.org/fr/actualites/2019/suspension-de-ladditif-e171-et-apres

iiihttps://www.vidal.fr/medicaments/gammes/efferalgan-3215.html

ivhttps://www.vidal.fr/medicaments/gammes/spasfon-9635.html

vhttps://www.vidal.fr/medicaments/gammes/zyrtecset-23594.html

vihttps://www.vidal.fr/medicaments/gammes/nurofen-6812.html

viihttps://www.vidal.fr/medicaments/gammes/doliprane-2962.html

viiihttps://www.vidal.fr/medicaments/gammes/euphytose-3521.html

ixhttps://www.ouest-france.fr/sante/medicaments/nanoparticules-du-dioxyde-de-titane-trouve-dans-six-medicaments-5640605

xintelligence stratégique, management des risques & diplomatie d’affaires https://www.adit.fr/fr/

xihttps://www.adit.fr/fr/a-propos/

xiihttps://www.vidal.fr/medicaments/duloxetine-accord-30-mg-gel-gastroresis-192831.html

xiiihttps://basta.media/spip.php?page=recherche&recherche=titane&order=date&debut_resultats=30#pagination_resultats

xivhttps://basta.media/Jouets-pour-enfants-comment-eviter

xvhttps://basta.media/Nanotechnologies-tous-cobayes-de

xvihttps://www.santelog.com/actualites/additifs-alimentaires-le-dioxyde-de-titane-lie-la-cancerogenese-colorectale

xviihttps://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/es204168d?prevSearch=Paul%2BWesterhoff&searchHistoryKey

Source : Du dioxyde de titane trouvé dans six médicaments – Le dernier des Mohicans

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