D’un mensonge à une vérité révélée – Michel Rosenzweig

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D’un mensonge à une vérité révélée.
Après la déclaration des responsables scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui affirment que l’épidémie ne sera pas endiguée par les campagnes de vaccinations et que le monde doit se préparer à vivre avec le Covid-19 de façon permanente, c’est au tour du PDG français du laboratoire américain Moderna, Stéphane Bancel, de déclarer que le monde devra vivre avec le Covid-19 «pour toujours».
Pour toujours.
Ces déclarations remarquables et révélatrices à plusieurs titres sont étrangement passées inaperçue alors qu’elles auraient dû être relayées et traitées de manière prioritaire.
D’abord parce qu’elles émanent de deux instances importantes différentes mais complémentaires, l’une sanitaire (OMS) et l’autre pharmaceutique.
Ensuite parce qu’elles constituent un aveu et une reconnaissance sur la nature du coronavirus et de la maladie qu’il engendre dans les proportions désormais communément admises par la communauté scientifique honnête et raisonnable, soit une mortalité moyenne de 0.05% et une létalité moyenne de 0.25% en population générale, sans tenir compte des particularités locales bien entendu.
Enfin, parce qu’elles mettent (malgré elles peut-être) un terme définitif au fantasme et à l’illusion d’un vaccin salvateur élevé au rang de fétiche dont les média et les autorités n’ont cessé de nous vanter les fabuleux mérites, formatant ainsi l’opinion et le consentement autour des mesures sanitaires restrictives et coercitives dont le caractère nécessaire et impérieux ne saurait désormais être mis en doute et à propos desquelles aucun questionnement n’est plus permis sous peine de censure et d’exclusion sociale et professionnelle.
Le vaccin, le vaccin le vaccin, rien que le vaccin, tout pour le vaccin, puisqu’on vous le répète tous les jours de manière écoeurante pour bien vous persuader qu’après avoir été dociles et compliants pendant une année bientôt, la vie va pouvoir reprendre, comme avant ou presque mais uniquement pour les personnes vaccinées, quand-même.
Or, c’était bien entendu un mensonge, un énorme mensonge de propagande que l’organisation mondiale de la santé et le groupe pharmaceutique Moderna viennent d’exposer à la face du monde.
Rien que ça Mesdame Messieurs.
Ce qui aurait dû être présenté comme une vraie Breaking News par toutes les bonnes chaînes d’information en continu avec force débats. Eh bien non, du moins pour l’instant.
Eh oui, rien de nouveau cependant, car en effet c’est le professeur David Heymann, président du groupe consultatif stratégique et technique de l’OMS sur les risques infectieux, qui l’a affirmé hier, alors que les campagnes de vaccination ont débuté un peu partout dans le monde : « Le destin du virus est de devenir endémique ».
« Je ne crois pas que nous ayons les preuves que l’un des vaccins va empêcher les gens de contracter l’infection et nous ne sommes donc pas convaincus qu’ils empêchent de la transmettre », a en outre expliqué Soumya Swaminathan, la scientifique en chef de l’OMS.
*
Et de conclure, à propos des mesures barrières et la distanciation physique : « Je pense donc que nous devons supposer que les personnes qui ont été vaccinées doivent également prendre les mêmes précautions que les autres ».
Enfin, last but not least, le coronavirus mute, eh oui car c’est sa nature de muter en se répliquant grâce ou à cause des erreurs produites à chaque réplique et par conséquent, les vaccins devront s’adapter à un rythme encore inconnu mais probablement saisonnier, un marché juteux en perspective et qui permettrait d’après le FMI qui ne perd pas le nord de doper la croissance de 9000 milliards de dollars d’ici…2025.
Pour les personnes qui ont encore un temps de cerveau disponible à l’exercice de leur raison et qui n’ont pas encore été hypnotisées par l’endoctrinement du narratif officiel, et qui persistent dans leur autonomie de penser disruptive (oui je sais ça fait tendance mais “pour le coup”, le terme est très approprié), il ne leur aura pas échappé qu’en fait, le coronavirus est bel et bien apparenté à une affection virale respiratoire connue sous le nom de syndrome respiratoire aigu sévère (SARS) appelée SARS-COV 2 pour l’occasion et qu’à ce titre il convient de le traiter comme une autre affection respiratoire très similaire dans sa symptomatologie, très connue et saisonnière, celle véhiculée par une autre famille de viridés, les virus de type infuenza, bref, la…grippe saisonnière.
Eh oui, le Covid a remplacé la grippe puisque l’un et l’autre se confondent aisément sans diagnostic différentiel précis et approprié ce qui donne au total un nombre élevé de décès “par et “du” Covid.
La grippe a donc bien été évaporée dans les vapeurs du covid, ce dernier la remplaçant avec une énorme différence de traitement biopolitique sanitaire dont les autorités continuent de justifier l’urgence par les mesures restrictives exceptionnelles d’enfermement insupportables que l’on sait.
Qui, possédant des connaissances élémentaires en biologie, pouvait croire un instant qu’un vaccin contre le coronavirus allait pouvoir mettre un terme définitif à une épidémie devenue une endémie avec un virus qui mute exactement comme celui de la grippe ?
Comme je l’avais modestement écrit déjà il y a six mois, si la grippe avait été éradiquée par un vaccin ça se saurait depuis longtemps et son inventeur aurait déjà eu un prix Nobel de médecine ou de biochimie, voire les deux.
Je suis par conséquent encore une fois consterné de constater à quel point certains mensonges peuvent devenir de telles pseudo vérités proférées par des journalistes, des politiques des médecins et des scientifiques ignares ou/et complices et ce tous les jours sur les plateaux de télévision et en conférence de presse gouvernementale.
Il faudra donc bien se faire à cette idée, accepter et traverser comme on dit dans un certain jargon, que le monde ne sera jamais plus comme avant et qu’il va falloir apprendre à vivre avec ce virus et sa famille, ses descendants, ses variants, ses mutants, exactement comme avec la grippe, avec ou sans vaccin.
Sauf que.
Nous avons vécu pendant des siècles avec la grippe sans en faire ni une symphonie, ni un fromage comme en témoigne l’expression culturelle proverbiale “passera pas l’hiver”.
Et que cette nouvelle “grippe” aura changé la face du monde.
Certains en ont rêvé, d’autres l’ont souhaité, quelques-uns en profitent et le disent très clairement et nous, nous subissons, impuissants, résignés, désabusés, fatigués, déprimés, révoltés, écoeurés, las, tristes, hypnotisés, choqués, hébétés, sidérés et perdus.
© Michel Rosenzweig

Source : (20+) Facebook

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