Elections 2017 : la croisée des chemins

C’est la dernière ligne droite. Vous avez entre les mains une chance qui ne vous est donnée que deux fois par décennie : celle de choisir la personne qui présidera votre pays.

Cela fait 40 ans que vous votez pour les mêmes costards et cela fait 40 ans que vous n’allez que dans une seule direction : vers le bas.

Aujourd’hui, le monde est en proie à des tensions inquiétantes. Dans les moteurs de recherche, les gens cherchent des réponses à leur angoisse en tapant : « guerre froide », « bombe atomique », « WW3 » et « Daesh ». C’est une raison de plus pour donner les commandes à une personne qui défend vos intérêts.

Le temps a donné tort au PS, à l’UMP, aux journalistes subventionnés et aux artistes millionnaires donneurs de leçons de morale. Y-a-il une plus honteuse illustration d’un échec que des ministres de la République qui annoncent qu’il faudra vivre avec la nouvelle normalité du terrorisme ? De la même manière, ils vous annonceront un jour qu’il faudra vivre avec un niveau de viol digne de la Suède ou d’une criminalité digne d’une ville allemande !

Prenez-le de la part d’un Algérien qui vous veut du bien : en termes de terrorisme, vous n’avez rien vu. Vous dites 250 morts en 4 ans ? Cela pourrait être un bilan quotidien si vous renoncez à vous défendre. Or, vos autorités ont justement renoncé à vous défendre. Les terroristes se baladent librement. Ils sont toujours « connus des services de police » qui ont ordre de ne rien faire. Ils partent tuer et reviennent récupérer leurs aides sociales. Ils s’organisent ouvertement et promettent des tueries sur les réseaux sociaux; souvent sous leurs vrais noms. Erdogan décrit l’Europe comme « un homme malade ». Les rapaces voient des lâches vous représenter et vous désignent comme cible de choix.

Les Anglais ne veulent plus rien à voir avec vous et votre Union Européenne qui ressemble de plus en plus à l’URSS de 1990. Ils sont en train de remonter le pont levis et d’abaisser les herses. Ils flairent l’invasion. L’état du monde fait que des dizaines de pays sont en faillite irréversible. Leur seule production reste une surnatalité compensatoire sous le poids de laquelle ils étouffent. A leur excédent démographique, ils cherchent preneur. Ils veulent se débarrasser d’une population jeune, désœuvrée, illettrée et violente. Ils en produisent par millions et c’est une cause première de guerres et de conflits. Là aussi vos élites vous ont désignés comme terre d’accueil. Alors que vos propres banlieues explosent – vos pompiers portent des gilets pare-balles – on vous impose des migrants venus de partout. On vous culpabilise pour que vous intégriez dans votre société des masses dont même les pays d’origine ont désespéré et ont dû pousser sur la route de l’exode.  Vous ne règlerez pas leurs problèmes dussiez-vous vendre votre pays, votre âme et l’avenir de vos enfants.

L’immigration anarchique et subie des décennies précédentes vous a donné des zones de non-droit et des sociétés parallèles qui ont de plus en plus de mal à coexister. La migration diluvienne d’aujourd’hui laissera vos enfants le soin de gérer des ghettos et un pays qui se balkanise inexorablement.

Ne sous-estimez pas non plus l’influence de l’Islam conquérant. Il a l’argent, les hommes et une prédilection opportuniste pour les sociétés qui ont honte d’affirmer leurs valeurs pour ne pas choquer.

Durant les prochaines semaines, votre fortitude sera soumise aux tests les plus rigoureux. Pour garder la mainmise sur vous, le Système est prêt à tout. Méfiez-vous de manière très particulière des coups les plus prévisibles. Ils vont fomenter des faits divers odieux que les medias associeront sans preuves et grossièrement au Front National. Des fois, ils vous diront que Marine le Pen n’a aucune chance afin que, résolus à la défaite, vous n’alliez pas voter ; cela s’appelle « souffler le froid ». D’autres souffleront le chaud en vous disant que la victoire est garantie afin que vous vous relâchiez et n’alliez pas voter.

Un échec mettra aux manettes un candidat du Système et il ne vous restera que les yeux pour pleurer. Tous les « ce n’est pas mon président » du monde, ne pourront rien y changer. Vous subirez encore cinq ans de lâchetés, de renoncements et de compromissions. Au point où vous en êtes, c’est la pérennité même de votre Nation qui sera en jeu.

Ne faiblissez pas et votez pour votre camp.

Aldo Sterone

via Aldo Sterone » Elections 2017 : la croisée des chemins

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