« Fake news » autour du vaccin Gardasil : ne nous laissons pas duper !

Drs Nicole et Gérard Delépine

« il n’existe aucune preuve que le vaccin protège réellement contre le cancer du col « 

Après avoir exploré les dérives du marché des vaccins dans La face cachée des médicaments (éd. Michalon, 2011), et rédigé plusieurs tribunes critiques au sujet du Gardasil, Nicole et Gérard Delépine décryptent les nombreuses contre-vérités circulant actuellement sur un vaccin censé protéger les femmes contre le cancer du col de l’utérus. À des reportages trompeurs et parfois même mensongers, ils opposent l’évidence de faits avérés.

Après l’obligation vaccinale par laquelle la France vient de se hisser au premier rang mondial avec 11 vaccins, le lobby des soins inutiles s’agite pour tenter d’en imposer un douzième : le Gardasil 9. Et comme tous les produits qu’on veut nous faire consommer, il bénéficie d’une propagande sans limites avec des titres toujours trompeurs et souvent mensongers.

Ainsi, le Figaro claironne : « L’Australie sur le point d’éradiquer le cancer du col de l’utérus » (1). France info et France 2 ajoutent : « Le cancer du col de l’utérus disparaît grâce à la vaccination » (2), tandis que dans L’Obs le docteur Monsonego (3) affirme : « ce vaccin protège à 90 % contre le cancer du col », que le docteur Descamps (4) pleure (5) : « vaccination contre le papillomavirus : le drame français » et que le Dr J.-L. Mergui prévient : « la situation en France est très préoccupante. Nous sommes en train d’accumuler un retard important par rapport aux autres pays européens ». (6)

Ces annonces spectaculaires, destinées à promouvoir la vaccination Gardasil ont été diffusées sans vérification des données épidémiologiques certaines, ni des faits avérés. Elles témoignent de la foi en un vaccin et reprennent un communiqué du laboratoire MSD proclamant sa satisfaction devant le succès commercial du Gardasil en Australie (plus de 80 % de couverture vaccinale) et brandissant comme succès la diminution des infections liées à 2 souches de papillomavirus (HPV), celle des verrues génitales d’origine infectieuse (ou papillomes) et des aspects histologiques proclamés précancéreux, déduisant et claironnant par avance sa victoire sur le cancer.

Mais il ne faut pas prendre la proie pour l’ombre ! Ni prendre des verrues pour un cancer invasif qui menacerait la vie. La foi ne doit pas se substituer à l’analyse objective des faits avérés.

Rappelons pour commencer que les infections à papillomavirus sont extrêmement banales chez les femmes sexuellement actives, ne donnent le plus souvent aucun signe clinique et guérissent spontanément dans plus de 90 % des cas. (7)

Et que parmi les femmes qui souffrent d’infection persistante à HPV seulement 1% développent un cancer du col. (8)

Gardasil : analyse des informations diffusées dans les médias

Pour vérifier la pertinence de l’information mise en avant par le laboratoire, les journalistes auraient dû vérifier l’incidence (fréquence annuelle observée des nouveaux cas pour 100 000 femmes) et la mortalité (nombre annuel de décès pour 100 000 femmes) du cancer du col en Australie et les comparer à celles de la France, ces données étant publiques et accessibles à tous par Internet.

Pour que les particularités démographiques de chaque pays n’interfèrent pas dans la comparaison, les statisticiens corrigent les résultats observés (incidence et mortalité brutes dans chaque pays) en les rapportant à une « population standard monde » et expriment le résultat en TSM (taux standardisés monde). La comparaison des évolutions des « taux standardisés monde » d’incidence et de mortalité de cancers du col en Australie (pays de couverture vaccinale forte, proche de 80 %) et de la France (couverture vaccinale basse, inférieure à 20 %) devient alors pertinente. Et cette comparaison raconte une tout autre histoire que celle qu’on nous a présentée.

Entre 1980 et 2000, (donc avant toute vaccination par Gardasil) la fréquence du cancer du col a régulièrement baissé dans tous les pays industrialisés, en Australie comme en France. Les évolutions divergent depuis la campagne de vaccination massive réalisée en Australie.

En Australie, avant la campagne de vaccination débutée en 2007, l’incidence « standardisée monde » du cancer du col avait diminué fortement, passant de 12 (pour 100 000 femmes) en 1995 à 7 en 2004, avec une diminution encore plus marquée de la mortalité. Mais depuis 2004 et malgré la vaccination, on ne constate plus aucun progrès, ni sur l’incidence ni sur la mortalité.

Évolution de l’incidence et de la mortalité en Australie entre 1980 et 2014 d’après l’Australian Institute of Health and Welfare. Depuis 2004 l’incidence standardisée ne diminue plus.

 

En 2017, l’incidence annuelle standardisée du cancer du col de l’utérus en Australie stagnait toujours à 7 pour la population blanche (9). Et le risque de mort (10) « standardisé monde » a augmenté de près de 15 % en trois ans passant de 1,7 (pour 100 000 femmes) en 2014 à 2 en 2017 (11). Comment peut-on conclure de ces chiffres que « l’Australie sur le point d’éradiquer le cancer du col de l’utérus » ?

En France, l’incidence « standardisée monde » du cancer du col est passée de 15 en 1995 à 7,5 en 2007 (12), et depuis, la baisse s’est poursuivie pour atteindre 6,7 en 2012 (13) et 5,9 en 2015. Cette diminution de l’incidence « standardisée monde » s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité standardisée qui est passée de 5 en 1980 à 1,8 en 2012 et 1,7 en 2015. (14)

 

Évolution de l’incidence et de la mortalité en France entre 1980 et 2012

 

Ainsi l’Australie, pays qui a atteint la couverture vaccinale « idéale » (>80%), d’après les chantres du Gardasil, obtient des résultats inférieurs à ceux de la France (taux de vaccinées <20%) tant pour l’incidence standardisée que pour la mortalité du cancer du col de l’utérus. Comment peut-on alors prétendre que « le cancer du col de l’utérus disparaît grâce à la vaccination » ou que « la situation en France est très préoccupante » ?

Il y a quelques années, les médecins de santé publique américains ne comprenaient pas que les Français, qui d’après eux « mangeaient mal » puissent avoir une incidence d’insuffisance coronaire aussi faible et avaient qualifié cette anomalie de « paradoxe français ». Existerait-il aussi un paradoxe français pour le cancer du col ?

Comment expliquer ce résultat paradoxal ?

Malgré les treize ans de commercialisation des vaccins anti-HPV, il n’existe toujours aucune preuve que le vaccin protège réellement contre le cancer du col (15 et 16). Le vaccin ne protège – et encore, imparfaitement (17) – que contre certaines infections à papillomavirus (HPV), maladie extrêmement fréquente qui n’occasionne aucun trouble clinique et qui guérit toute seule dans plus de 90% des cas. (18)

Il protège également fréquemment contre les verrues génitales et à moindre degré contre certaines métaplasies.

Mais jusqu’ici, aucun essai n’a pu démontrer la moindre diminution de fréquence du cancer du col chez les femmes vaccinées (19). Et encore moins de diminution de la mortalité (20). Affirmer dans la presse que ce vaccin protège contre le cancer du col constitue donc, en l’état actuel de la science, une publicité mensongère, une « fake news » !

Il faut également rappeler que la vaccination des femmes qui ont déjà été infectées par le virus HPV peut leur être délétère, augmentant leur risque de cancer, raison pour laquelle les laboratoires conseillent de vacciner avant les premiers rapports sexuels.

Insuffisances notoires du vaccin Gardasil

Même en admettant que l’infection par HPV soit la responsable du cancer, et non pas un simple cofacteur de risque, de nombreuses raisons font craindre que le vaccin soit inefficace contre le cancer, parce qu’il ne protège que contre une petite partie des plus de 150 variantes de virus HPV recensées.

Le fabricant Sanofi Pasteur MSD prétend que les variantes 16 et 18 du HPV ciblées par son vaccin seraient responsables de 70 % des cancers, mais de tels chiffres proviennent des pays en voie de développement. Aux États-Unis, les infections du HPV 16 et 18 ne toucheraient que 2,3 % des femmes (21). De plus, l’essai FUTURE 2 (22) montre que, lorsqu’il est efficace, le vaccin libère une niche écologique pour des virus proches susceptibles d’être autant voire plus pathogènes, ainsi que cela a été observé, par exemple, lors de l’éradication de l’Helicobacter pylori, responsable de certains ulcères de l’estomac.

Enfin l’efficacité anti virale du vaccin, trop limitée dans le temps, risque d’être insuffisante 20 ans après la vaccination, lorsque le cancer est susceptible d’apparaître.

Sans compter que la propagande mensongère affirmant qu’il protège du cancer du col, risque de détourner les femmes du seul dépistage efficace en cancérologie, celui du col de l’utérus par les frottis, comme cela a déjà été démontré en Australie. (23)

Toutes ces incertitudes sur la réalité du bénéfice potentiel du vaccin montrent que les études qui ont permis d’obtenir l’AMM ont été scandaleusement insuffisantes, ainsi que cela a été d’emblée souligné par de nombreux auteurs indépendants. (24)

« Statut dérogatoire » des vaccins par rapport aux autres classes médicamenteuses dans les processus d’AMM

Pour délivrer les autorisations de mise sur le marché (AMM), les agences chargées de la sécurité des médicaments demandent que les firmes démontrent l’efficacité de leur produit contre la maladie qu’il doit traiter et aussi sa faible toxicité. Ainsi, pour obtenir l’AMM, un traitement contre le cancer du poumon doit prouver qu’il fait régresser la tumeur.

Mais les vaccins bénéficient d’un statut dérogatoire : les essais réalisés se contentent de mesurer la stimulation antigénique réalisée – comme si cette stimulation était toujours synonyme de protection contre la maladie et n’entraînait aucun effet secondaire tardif. Le vaccin Gardasil a bénéficié d’une procédure accélérée pour recevoir son AMM (en 6 mois !) sans avoir jamais démontré qu’il pouvait prévenir le moindre cancer de l’utérus et encore moins éviter la moindre mort par ce cancer.

Comme le résume Marielsa Salsilli, « quelques mois de tests, pour un vaccin contre une maladie qui met… quelques décennies à se déclarer ». (25)

Son utilisation large constitue, en fait, une expérience médicale réalisée sur des populations entières, dont le consentement n’est guère éclairé car le vaccin qui leur est administré est présenté par une propagande omniprésente comme un traitement efficace contre le cancer et sans danger. A fortiori, comme le souligne le Dr Marc Girard, cette expérimentation médicale « se déroule, de plus, sans suivi scientifique conventionnel, puisque MSD n’a pas fourni, a posteriori, les résultats d’études auxquelles la firme s’était engagée, en contrepartie de la procédure d’autorisation accélérée accordée au Gardasil ». (26)

Quid des effets « secondaires » dits « indésirables » du vaccin ?

Outre son efficacité anti-cancéreuse non prouvée, la toxicité du vaccin a été sous-évaluée et sa responsabilité dans les troubles graves allant de la mort (27) aux complications neurologiques démyélinisantes (28) graves condamnant des jeunes filles au fauteuil roulant, à la stérilité par blocage du fonctionnement ovarien (29, 30 et 31), à la fasciite à macrophages (32) et ses symptômes invalidants musculaires, est maintenant largement établie.

Selon les données de pharmacovigilance de source japonaise (33), l’incidence annuelle des complications liées au vaccin atteint 3,2 % (3 200 cas/100 000 personnes vaccinées/an), taux proche de celui observé dans les 2 années qui suivent la vaccination par Cervarix, le concurrent du Gardasil, dans les essais contrôlés (2,8 %). Dans ces essais, le sur-risque de réactions auto-immunes sévères pourrait menacer 630 patients et plus de 10 décès pour 100 000 personnes/an. Or, en admettant les publicités optimistes et non démontrées des laboratoires supposant que le vaccin pourrait diminuer de 50 % le risque de mourir de cancer du col, le bénéfice espéré (2 morts de moins pour 100 000 personnes/an) resterait très inférieur aux risques observés.

Cette balance avantages-risques défavorable (34) a justifié l’abandon de sa recommandation au Japon et en Autriche. Mais en France, tout débat public est systématiquement occulté, remplacé par une propagande en faveur du produit de Sanofi.

Crédulité, corruption, despotisme ?

Certaines de ces annonces spectaculaires vantant trompeusement l’efficacité du nouveau vaccin « contre le cancer » (35) sont survenues juste avant la semaine européenne de prévention et de dépistage du cancer du col de l’utérus (22 au 28 janvier 2018), qui a rappelé la valeur supposée certaine du dépistage (36). Au moment où le ministère, après l’institut de veille sanitaire et l’INCa, promet enfin un dépistage organisé par frottis, les vendeurs de vaccin ont-ils voulu monopoliser l’espace médiatique pour faire oublier ce concurrent trop efficace ?

Seuls les liens d’intérêts étroits entre les autorités sanitaires européennes (37) et aussi françaises peuvent expliquer que ce vaccin ait reçu son autorisation de mise sur le marché et un soutien institutionnel jusqu’ici sans faille en France. Le Canard enchaîné a indiqué que Marie-Christine Favrot, la numéro deux de la Direction générale de la Santé, en charge du dossier Gardasil a pour gendre le directeur de la stratégie de Sanofi. Et, selon Sophie Des Deserts (38), « le Gardasil a aussi été discuté en plus haut lieu. Christian Lajoux, le PDG France de Sanofi, est allé plaider sa cause à l’Élysée, dans le bureau d’Emmanuel Macron. Depuis, le président de la République s’est inquiété que le vaccin ne soit administré qu’à 30 % des jeunes filles ». Cette inquiétude présidentielle serait-elle annonciatrice d’une nouvelle « guerre contre le Mal » (cette fois « contre le cancer du col de l’utérus ») coûteuse, inefficace et dangereuse pour nos jeunes filles et probablement les jeunes garçons en ligne de mire des vaccinolâtres et affidés ?

Ainsi que le soulignait récemment M. Khamati (39), il est temps pour sauver notre société d’abandonner le modèle des décisions prises par des experts omnipotents et corruptibles (ou corrompus) orientant les choix de despotes politiques ou haut fonctionnaires pour revenir sur la voie de la démocratie, en particulier sanitaire.

 

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Notes

1. Pierre Kaldy, Le Figaro S, publié le 15/03/2018

2. France télévision le 09/09/2016 à 10:35

3. Le docteur Monsonego a réalisé des études cliniques rémunérées sur les vaccins HPV pour GSK et Merck. Il est ou a été consultant rémunéré pour de nombreuses sociétés pharmaceutiques, notamment en siégeant dans les comités de conseil pour GSK, Sanofi Pasteur MSD, Roche, Geneprobe ou encore Abbott diagnostics.

4. Le Pr Descamps a signé 124 conventions avec l’industrie pharmaceutique, dont 16 avec Sanofi Pasteur MSD et 3 avec GlaxoSmithKline, et a reçu de la part de ces sociétés 199 avantages pour un montant de 40 550 euros, dont 9 146 euros de la part de Sanofi Pasteur MSD et 2 759 euros de la part de GSK. On ne connaît ni le nombre ni le montant des contrats commerciaux qu’il a pu signer, car la loi a exclu ces contrats, pourtant les plus corrupteurs, de toute déclaration. Ces liens devraient être publiés à chaque fois qu’un auteur s’adresse au public, selon la loi !

5. La Lettre du Cancérologue • Vol. XXVI – n° 1 – janvier 2017

6. lefigaro.fr avec AFP le 12/01/2017

7. Baseman JG, Koutsky LA. « The epidemiology of human papillomavirus infections ». J Clin Virol 2005 Mar;32(Suppl 1):S16-S24.

Riethmuller D, Schaal JP, Mougin C. Épidémiologie et histoire naturelle de l’infection génitale à papillomavirus humain. Gynecol Obstet Fertil 2002;30(2):139-46. [55] Ho GY, Bierman R, Beardsley L.

Chang CJ, Burk RD. Natural history of cervicovaginal papillomavirus infection in young women. N Engl J Med 1998;338(7):423

8. Schiffman M, Glass AG, Wentzensen N, Rush BB, Castle PE, Scott DR, et al. « A long-term prospective study of type-specific human papillomavirus infection and risk of cervical neoplasia among 20,000 women in the Portland Kaiser Cohort Study ». Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. 2011; 20(7):1398± 1409.

9. Les chiffres de la population indigène sont beaucoup plus mauvais.

10. En 2014 on a observé 223 décès par cancer du col contre une estimation de 258 pour 2018 d’après A Cervical cancer statistics in Australian Institute of Health and Welfare 2018

11. Australian Institute of Health and Welfare & Australasian Association of Cancer Registries 2017. Cancer in Australia: in brief 2017. Cancer series no. 102. Cat. no. CAN 101. Canberra: AIHW.

12. Nicolas Duport, Données épidémiologiques sur le cancer du col de l’utérus. Etat des connaissances INVS 2007

13. © Les cancers en France, Les Données, INCa, janvier 2014. Collection Les Données, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, janvier 2015.

14. Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2015 Rapport technique Institut de veille sanitaire, 2015. 62 p.

15. Tomljenovic, L., Wilyman, J., Vanamee, E., Bark, T., & Shaw, C. A.. HPV vaccines and cancer prevention, science versus activism. Infectious agents and cancer, Annals of medicine (2013) 8(6)..

16. Tomljenovic, L., & Shaw, C. A. (2013). Human papillomavirus (HPV) vaccine policy and evidence-based medicine: Are they at odds?. Annals of medicine,45(2), 182-193.

17. Dans la vraie vie, dans laquelle se trouve l’immense majorité des vaccinées actuelles, le taux d’efficacité du vaccin est de 20 % au maximum selon les études Future 13 et 15 déposées à la FDA.

18. Ho GY, Bierman R, Beardsley L, Chang CJ, Burk RD. Natural history of cervicovaginal papillomavirus infection in young women. N Engl J Med 1998;338:423–8.).

Molano M, Van den BA, Plummer M, et al. Determinants of clearance of human papillomavirus infections in Colombian women with normal cytology: a population-based, 5-year follow-up study. Am J Epidemiol2003;158:486–94.

Moscicki AB. Genital infections with human papillomavirus (HPV). Pediatr Infect Dis J 1998;17:651–2.

19. Riva C, Spinosa JP et al. Feedback to Arbyn M, Bryant A, Martin-Hirsch PPL, Xu L, Simoens C, Markowitz L. Prophylactic vaccination against human papillomaviruses to prevent cervical cancer and its precursors. Cochrane Database of Systematic Reviews 2013; 12(CD009069) 2014 December: 12-14.

Riva C, Spinosa JP. Prescrire en questions: vaccin papillomavirus: quelle efficacité, quel risque? La Revue Prescrire 2013;33(357):552-556. [1]

20. L’étude la plus avancée, finlandaise, n’espère pas conclure avant 2020 tant les données sont négatives, in « Enrolment of 22,000 adolescent women to cancer registry follow-up for long-term human papillomavirus vaccine efficacy: guarding against guessing » Matti Lehtinen International Journal of STD & AIDS 2006

21. Dunne EF, Prevalence of HPV infection among females in the United States. JAMA. 2007 Feb 28;297(8):813-9

22. FUTURE II Study Group. Quadrivalent vaccine against human papillomavirus to prevent high-grade cervical lesions. N Engl J Med. 2007 May 10;356(19):1915-27

23. Alison C Budd, Julia M L Brotherton, Dorota M Gertig, Theresa Chau, Kelly T Drennan and Marion Saville Cervical screening rates for women vaccinated against human papillomavirus Med J Aust 2014; 201 (5): 279-282

24. C. J. Haug Human Papillomavirus Vaccination Reasons for Caution Editorial N Engl J Med 359;8 www.nejm.org august 21, 2008

Sawaya GF, Smith-McCune K. HPV vaccination More answers, more questions. N Engl J Med 2007;356:1991-3.)

L R. Baden, G D. Curfman, S Morrissey, and J M. Drazen, M.D.Human Papillomavirus Vaccine Opportunity and Challenge N engl j med 356;19 www.nejm org may 10, 2007

25. Marielsa Salsilli, Le putsch de Big Pharma continue NEXUS 99 40 juillet-août 2015)

26. « Gardasil, éléments pour un vrai débat »

27. Plus de 200 morts répertoriées dans le monde (VAERS HPV vaccine, mise à jour de décembre 2014).

28. Sclérose en plaques, sclérose latérale amyotrophique

29. Colafrancesco S, Perricone C, Tomljenovic L, Shoenfeld Y. Human papilloma virus vaccine and primary ovarian failure: another facet of the autoimmune/inflammatory syndrome induced by adjuvants. Am J

Reprod Immunol. 2013; 70:309-316

30. Little DT, and Ward HR. Adolescent premature ovarian insufficiency following human papillomavirus vaccination: a case series seen in general practice. J Inv Med High Imp Case Rep. 2014

31. New Concerns about the Human Papillomavirus Vaccine American College of Pediatricians – January 2016

32. F.-J. Authier, R. K Gherardi Myofasciite à macrophages : état des connaissances Rev Neurol (Paris) 2007 ; 163 : 10, 985-993

33. MED CHECK – Harm of HPV vaccine: Latest information and examination of epidemiological studies TIP APRIL 2015 / Vol.1 No.1

34. Tomljenovic L, Spinosa JP, Shaw CA. Human papillomavirus (HPV) vaccines as an option for preventing cervical malignancies: (how) effective and safe? Current Pharmaceutical Design 2013;19(8):1466-87.

35. Avant le Gardasil, un autre vaccin avait été paré de vertus anti-cancer : le vaccin anti-hépatite B qui a lui aussi bénéficié d’une propagande et d’un soutien institutionnel sans limites lui assurant une diffusion record en France ; la fréquence des cancers du foie a depuis augmenté de 20% et les victimes d’accidents vaccinaux en particulier neurologiques peinent toujours à se faire indemniser.

36. Recommandé tous les 3 ans à partir de 25 ans (pas avant) et au-delà de la ménopause, ils prétendent qu’il éviterait 90 % des cancers du col et aurait diminué la mortalité en France de 80 % (de 5 000 à 1 000) !

37. Stéphane Foucart, Vaccin contre les papillomavirus : les autorités européennes dans la tourmente. Le Monde, 9.12.2016

38. S. D. Desert, « Cancer du col de l’utérus : pourquoi le vaccin Gardasil fait peur », L’Obs, publié le 05 avril 2014

39. Mahin Khatami : Safety concerns and hidden agenda behind HPV vaccines: another generation of drug‑dependent society? Clin Trans Med (2016) 5:46

 

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