La vaccination covid a dévasté la natalité en Suisse, a-t-elle aussi détruit l’espérance de vie aux États-Unis ?

par La rédaction de l’AIMSIB.

L’affaire aurait pu passer inaperçue tant les covidomédias ont délibérément cherché à en taire la portée, effectivement ceci revêt vraiment une importance sans précédent : la Suisse a connu un recul inouï (-3,4 écart-types de la moyenne à long terme) de sa natalité, exactement neuf mois après le début de la vaccination anti-Covid de ses citoyens âgés de 20 à 49 ans(*). Qui dit mieux ? Peut-être le journal Le Monde, organe de presse dépendant de la Bill & Mélinda Gates Fundation, qui nous explique – en faisant semblant de n’y rien comprendre – qu’on vient aussi d’assister à un effondrement « effrayant » de l’espérance de vie aux USA. Quand allons-nous vraiment faire admettre à nos léthargiques citoyens et à nos élites, non corrompues, que ces vaccins anti-Covid se situent à des années-lumière d’un rapport bénéfice sur risque favorable ? Bonne lecture.

(Ce rapport a été déposé le 5 Septembre 2022 au Grand Conseil par MM. Kullmann, Martin, Speiser-Niess, Rashiti, Krähenbühl ceci en est la retranscription intégrale)

***

Baisse du nombre de naissances d’une ampleur jamais vue en 150 ans – est-ce dû à la vaccination contre le COVID-19 ?

Les données fournies par l’Office fédéral de la statistique (OFS) permettent d’établir que, depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes s’est abaissé comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne1. En février 2022, seules 628 naissances vivantes ont été enregistrées.

D’après nos calculs, cette valeur s’écarte de 3,4 écarts-types de la moyenne à long terme (de janvier 2015 à juin 2022). Il s’agit de la plus forte baisse depuis que l’OFS récolte les données relatives aux naissances vivantes (1872).

Il est urgent de déterminer les causes précises de cette baisse. Fondamentalement, il est impossible de conclure à une causalité sur la base d’une simple corrélation, mais les observations exposées ci-dessous sont tout de même inquiétantes.

Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans.

Ensuite, en comparant entre les régions,

On constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7%), les naissances ont reculé de 8,6% contre 18% à Zurich (couverture vaccinale : 63,9%).

Les données ne permettent néanmoins pas de faire de rapprochement entre la dénatalité et le nombre de cas de COVID-19 ou d’hospitalisations liées au COVID-19.

Les graphiques suivants sont tirés du document de 66 pages intitulé « Geburtenrückgang in den Schweizer Kantonen » [Recul de la natalité dans les cantons suisses] publié le 13 août 20222 :

D’après Konstantin Beck, professeur titulaire à l’Université de Lucerne et conseiller spécialisé en économie de la santé, cette méthode ne permet pas de prouver formellement qu’il y a un lien entre la baisse du nombre de naissances vivantes et l’accroissement de la couverture vaccinale3.

M. Beck expose toutefois que certaines causes avancées comme le léger excédent de naissances en 2021, le stress lié à la pandémie et l’évolution du nombre d’avortements ou d’infections au COVID-19, ne permettent pas d’expliquer la chute historique du nombre de naissances et conclut que « au vu des données dont nous disposons concernant les naissances en Suisse, nous pouvons supposer que la vaccination est à l’origine du surprenant et considérable recul du nombre de naissances vivantes »4.

Le Conseil-exécutif est prié de répondre aux questions suivantes

1. Le Conseil-exécutif sait-il que, depuis janvier 2022, nous assistons à un effondrement dramatique et inédit du nombre de naissances vivantes en Suisse et dans le canton de Berne ?

2. Quels éléments de réponse le Conseil-exécutif a-t-il pour expliquer ce phénomène ?

3. Le Conseil-exécutif sait-il que, dans le cadre des vastes études menées par Pfizer et Moderna qui ont servi de bases à l’autorisation expresse des vaccins, les problématiques suivantes ont été soulevées ?

Pour n’en citer que quelques-unes : nombreux conflits d’intérêts, pas d’études en double insu, temps d’observation très courts, manipulations des données, communication retardée des effets secondaires, évaluations douteuses des décès de participantes et participants aux études auxquels le vaccin a été inoculé, dissolution du groupe placebo.

(cf. Infosperber : mRNA-Impfstudien : Zwölf Punkte, die zu denken geben [Études sur les vaccins à ARN messager : douze points qui font réfléchir], 08.08.20225).

4. Le Conseil-exécutif est-il prêt à l’avenir à se conformer davantage au principe de libre volonté pour les interventions relevant du domaine médical, et tout particulièrement pour les interventions soumises à autorisation ?

5. On peut lire actuellement sur le site de la DSSI que la vaccination de rappel est conseillée dès l’âge de douze ans. Le Conseil-exécutif est-il prêt, par mesure de précaution, à revoir sa recommandation tant que plane un doute sur les liens entre le recul historique du nombre de naissances et le vaccin contre le COVID-19 ?

Motivation de l’urgence : les données relatives à la baisse du nombre de naissances vivantes dans le canton de Berne sont alarmantes. Il faut de toute urgence faire la lumière sur les causes qui pourraient être à l’origine de la corrélation, notamment en ce qui concerne la stratégie de lutte contre la pandémie de COVID-19.

Destinataire
‒ Grand Conseil

Intervention parlementaire
N° de l’intervention : 181-2022
Type d’intervention : Interpellation
Motion ayant valeur de directive :
N° d’affaire : 2022.RRGR.299

Déposée le : 05.09.2022
Motion de groupe : Non
Motion de commission : Non
Déposée par : Kullmann (Thun, UDF) (porte-parole) Martin (Ligerz, Les Verts) Speiser-Niess (Zweisimmen, UDC) Rashiti (Gerolfingen, UDC) Krähenbühl (Unterlangenegg, UDC)
Cosignataires : 0

Urgence demandée : Oui
Urgence accordée : Oui 08.09.2022
N° d’ACE :
Direction : Direction de la santé, des affaires sociales et de l’intégration
Classification : –

(*) https://www.gr.be.ch/geschaeftsdetail

https://www.lemonde.fr/2022/10/23/aux-etats-unis-une-baisse-effrayante-de-l-esperance-de-vie

source : AIMSIB

  1. https://www.bfs.admin.ch/statistiques/population/naissances-deces/naissances
  2. Kantone Geburtenrückgang, (aletheia-scimed.ch)
  3. https://weltwoche.ch/ueber-6000-kinder-fehlen
  4. https://weltwoche.ch/sag-mir-wo-die-kinder-sind
  5. mRNA-Impfstudien: Zwölf Punkte, die zu denken geben – infosperber

Source : La vaccination covid a dévasté la natalité en Suisse, a-t-elle aussi détruit l’espérance de vie aux États-Unis ? – PLANETES360


Alerte sur l’effondrement de la fertilité masculine

La pollution et les modes de vie sont à l’origine d’une chute accélérée de la concentration des spermatozoïdes chez l’homme. Ce déclin est désormais observé dans le monde entier, indique une méta-analyse publiée mardi 15 novembre.

Le déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération. Ce sont les éléments saillants de travaux de synthèse, publiés mardi 15 novembre dans la revue Human Reproduction Update, les plus exhaustifs conduits à ce jour sur la chute de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain.

Les causes de ce déclin font, depuis une vingtaine d’années, l’objet de nombreuses recherches, pointant des facteurs individuels liés au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, etc.) et des causes environnementales liées à la pollution atmosphérique, à divers médicaments et à l’omniprésence de certaines substances de synthèse dans l’environnement et la chaîne alimentaire (plastifiants et pesticides notamment).

[…] au cours de ces quarante-six années, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml. Un niveau déjà considéré comme celui d’un homme « subfertile », souligne Mme Swan. « La France ne fait pas exception, précise Hagai Levine. En France, grâce à la disponibilité de données de bonne qualité, nous avons la certitude qu’il y a un déclin fort et durable, comme ailleurs dans le monde. »

Lire l’intégralité de l’article sur lemonde.fr

Source : E&R


Australie : mystérieuse surmortalité en 2022

L’Australie est couillonaviralement un cas intéressant.

Car le terrible virus l’a soigneusement évitée en 2020 (il ne s’est rien passé cette année et même durant une partie de 2021, comme dans la plupart des pays asiatiques, un point fondamental qui fut toujours ignoré car ne rentrant pas dans le spectacle de la “pandémie“).

Pourtant, le pays est devenu totalement covidément, hystérique même, et a lancé fin février 2021 une campagne massive d’injection ARNm (pour se protéger d’une terrible pandémie… qui n’existait tout simplement pas).

Et puis… à l’instar des pays asiatiques (Thaïlande etc.), le couillonavirus… pouf… a débarqué peu de temps après.

Pas de bol… 

(graphique made in bibi, source base de données)

Il s’agit bien entendu… euh… d’une malencontreuse coïncidence

Forcément.

Fortuitement.

La campagne de “booster” a débuté -elle- fin décembre 2021, pour culminer en avril 2022.

Bilan : durant les 7 premiers mois de 2022, la mortalité toutes causes part en sucette…

Ce phénomène (en plus de la baisse de la natalité) se constate dans de nombreux pays (Etats-UnisPays-BasChypreIslandeUnion européenne etc.)

Et les scientifiques sans oublier les journalistes, les factmenteurs et bien sûr les gouvernements sont tous “déconcertés” (c’est le mot-clé utilisé dans les médias :  “baffled” en anglais). 

Et juillet est le mois le plus meurtrier (17 936 décès) (si on compare avec tous les autres mois, depuis 2015).

Voici un article qui fait le point, avec plusieurs indicateurs, en particulier par tranche d’âge (on voit que les injections tuent des vieux rapidement, alors que pour les jeunes, il y a un effet retard).

Lien : https://metatron.substack.com/p/dead-down-under

L’auteur met en graphique également les causes des décès : on voit ainsi une forte hausse des maladies du coeur, des pathologies cérébrovasculaires et des cancers

Bref, tout le who’s who lié aux produits ARNm, pardon aux formidables vaccins qui nous ont tous sauvés d’une mort certaine et atroce provoquée par le Covid.

Quant à moi, j’ai été à la source officielle des données (gouvernement australien), et je m’en tiens aux chiffres bruts.

Voici le total des décès (toutes causes confondues) durant les 7 premiers mois de chaque année, de 2015 à 2022.

Rappelons (est-ce nécessaire ?) que les Australiens ont la tête à l’envers et juillet… est le début de leur hiver…

On constate une hausse de 11,3 % des décès durant les 7 premiers mois de l’année 2022 par rapport à la même période 2021.

Ce pourcentage d’évolution est inédit (en tout cas depuis 2016).

Par ailleurs, on voit bien le phénomène de “moisson” (une année, la mortalité monte, ensuite elle baisse l’année suivante. Sauf 2022 qui apparaît comme une anomalie).

Voici les données brutes :

2015 = 90 106 décès toutes causes
2016 = 90 322
2017 = 93 260
2018 = 91 517
2019 = 95 356
2020 = 94 123
2021 = 98 392
2022 = 111 008

Avertissement : les chiffres 2022 sont encore “provisoires”. En clair : le nombre total sera encore plus élevé.

Et août sera sans doute encore plus mauvais, puisque c’est le coeur de l’hiver austral.

Alors bien sûr, on va nous expliquer que le responsable est le terrible virus !

Les Australiens auraient ainsi d’abord survécu à la souche génocidaire de Wuhan (qui foudroyait les gens dans la rues selon les vidéos fournies par les gentils Chinois début 2020, et qui a ravagé les pays occidentaux)… mais ensuite, la tuile, ils chopent en 2022 les versions d’Omicron… vous savez celles qui font éternuer…

Au point de les tuer…

C’est logique.

Alors même que le gouvernement australien a intérêt a grossir le nombre des morts du Covid (cette surdéclaration est visible partout depuis 2020… sauf en Chine bien entendu)… la surmortalité est supérieure au nombre officiel de décès dûs au virus…

On voit donc bien l’anomalie, et elle n’est pas liée uniquement au virus.

Il y a autre chose.

Mais quoi ? 

Enième mystère mystérieux…

Tous les mystères sont mystérieux. Surtout ceux liés aux produits ARNm. Forcément.

Covidémence.com, le 4 novembre 2022

Source : Planètes 360

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