Macron frappé par les cotisations
« De 2009 à 2014, ce dernier a perçu 3,3 millions d’euros de revenus avant impôts, dont 2,8 millions d’euros, de mai 2009 à mai 2012, date de sa nomination en qualité de secrétaire général adjoint à la Présidence de la République, rappelle l’association. Or, le déclarant fait état d’un patrimoine de 1,2 millions d’euros et d’un endettement de 1 millions d’euros, soit un patrimoine net de seulement 200 000 €. »
L’écart entre ces confortables revenus et le peu de patrimoine déclaré par le candidat à la présidentielle avait déjà fait tiquer plusieurs blogueurs et site sur la toile. Au point que l’équipe de l’ancien ministre de l’Economie sont venues apporter quelques précisions sur sa situation au JDD le 19 février : « Pendant les années Rothschild, Emmanuel Macron a adapté son train de vie à ses revenus et il a donc pas mal dépensé » a ainsi justifié son porte-parole Sylvain Fort arguant le remboursement d’un prêt familial comme des travaux dans la maison de famille de son épouse. Dans une interview ce lundi à La Croix, le candidat En Marche ! assure : « Comme banquier d’affaire, j’avais le statut d’indépendant. J’ai donc payé, sur le montant brut de ma rémunération, des cotisations sociales patronales, salariales, puis l’impôt sur le revenu. Ces cotisations ont augmenté et frappé mon dernier revenu de référence, au point que je ne gagnais pas assez pour payer mes impôts ! »
L’écart entre ces confortables revenus et le peu de patrimoine déclaré par le candidat à la présidentielle avait déjà fait tiquer plusieurs blogueurs et site sur la toile. Au point que l’équipe de l’ancien ministre de l’Economie sont venues apporter quelques précisions sur sa situation au JDD le 19 février : « Pendant les années Rothschild, Emmanuel Macron a adapté son train de vie à ses revenus et il a donc pas mal dépensé » a ainsi justifié son porte-parole Sylvain Fort arguant le remboursement d’un prêt familial comme des travaux dans la maison de famille de son épouse. Dans une interview ce lundi à La Croix, le candidat En Marche ! assure : « Comme banquier d’affaire, j’avais le statut d’indépendant. J’ai donc payé, sur le montant brut de ma rémunération, des cotisations sociales patronales, salariales, puis l’impôt sur le revenu. Ces cotisations ont augmenté et frappé mon dernier revenu de référence, au point que je ne gagnais pas assez pour payer mes impôts ! »
via Patrimoine d’Emmanuel Macron : Anticor saisit la Haute autorité pour la transparence – Le Parisien