Macron mène son OPA hostile sur la France

Dans le jeu de massacre qui s’étale à la une de vos journaux (que je ne m’inflige pas, mais dont j’entends parler), nous avions perdu de vue l’autre marionnette ou créature des tenants de la mondialisation heureuse, mais surtout de la finance anonyme et vagabonde, le fringuant et halluciné Emmanuel Macron, ami des médias et des banques. Sur ce coup-ci, et un peu à la manière de François Bayrou, un « con intelligent », avec lequel par ailleurs nous ne partageons pas grand-chose, nous ne pensions de prime abord rien du personnage. Non pas par négligence, mais parce que le profil, sans aspérité, aussi lisse que peut l’être celui d’un VRP, fût-il celui de chez Lazard ou Rothschild nous indifférait.

Pour autant les mauvaises affaires de son proche concurrent François Fillon font les siennes, un peu comme dans le commerce dont il est par ailleurs une émanation « exemplaire ». Il nous faut ainsi nous pencher sur son cas et notamment sur ses accointances au nom de l’adage populaire, « dis-moi qui tu suis et je te dirai qui tu es…. ».

La jeunesse de l’héritier Macron

Emmanuel Macron est un héritier au sens de Bourdieu (reproduction sociale des « élites »), mais un héritier qui aurait « mal tourné ». Fils de médecins (père, professeur en neurologie au CHU d’Amiens, et mère médecin conseil sécurité sociale), il fait ses armes au lycée pseudo catholique de la Providence d’Amiens-Sud (à l’opposé des cités allogènes du Nord dont est originaire la marocaine musulmane Najat Belkacem), puis intègre bien conseillé le Lycée parisien Henri IV (hypokhâgne et khâgne) en vue de la préparation des concours aux « grandes écoles » mais échoue à celui de l’Ecole normale supérieure.

Sa réussite aurait pu nous éviter de dresser son portrait tout en lui permettant de mettre ses pas dans ceux de sa conjointe de vingt-quatre ans son aînée, professeur de français, dont il fit connaissance au lycée comme « acteur », la « malheureuse », car semble-t-il délaissée pour un bel ami, Brigitte Trogneux, fille des célèbres chocolatiers amiénois (et confiseurs du non moins célèbre et délicieux macaron d’Amiens que je recommande à doux ange). Notre destin n’est donc pas toujours lié au hasard mais davantage au mérite, et à la différence de nombreux médecins et fils ou filles de médecins qui servent la cause (sans doute par réalisme), lui servira les desseins de ceux d’en face.

Son passage par l’Université de Paris X Nanterre (en philosophie où on a perdu la trace de son mémoire), haut lieu de la dérive universitaire et du jemenfoutisme gauchiste est un mauvais présage. Science-Po Paris, puis l’ENA de Strasbourg finissent de le gâter. C’est à l’inspection générale des finances qu’il semble avoir accumulé les « mauvaises rencontres ». Parmi les principaux souteneurs de celui qui négocie pour d’autres l’OPA hostile sur la France figurent Jacques Attali, Serge Weinberg, Alain Minc agents coreligionnaires de la firme Rothschild & Cie où a officié l’intéressé de septembre 2008 à mai 2012. Un des hommes de paille de la firme et de David de Rothschild, François Henrot ne tarit pas d’éloges sur Macron, notamment sur ses aptitudes selon ses propres mots à « manipuler » (une vertu dans le « milieu »).

La mise en orbite d’Emmanuel Macron à la tête de la seconde économie européenne est par conséquent un coup de maître pour la banque d’affaire spécialisée dans les fusions-acquisitions, rachats et autres « exécutions » d’entreprises voire multinationales (le terme « exécution » dénotant la violence du milieu en premier lieu contre les salariés victimes de ces usages). Il est certain que la prochaine victime « d’exécution » soit avec cet agent de la finance anonyme et vagabonde, la France et les Français (après les « porcs » ou « PIIGS » acronyme dans la langue des cosmopolites désignant le Portugal, l’Italie ou l’Irlande, la Grèce et l’Espagne), tant les amis d’Emmanuel Macron sont nos ennemis.

Derrière Macron, Attali, Minc, Bergé, Tapie, Strauss-Kahn, Cohn-Bendit…

Parmi eux se trouve en bonne position Jacques Attali. Conseiller spécial de François Mitterrand, Jacques Attali, « économiste » est connu pour avoir ruiné (outre sa collaboration active à la nôtre) la BERD (Banque européenne pour la reconstruction et le développement). Structure « européenne » mais en réalité mondialiste dont il est l’initiateur. Au-delà de cette turpitude, Jacques Attali ennemi des nations (sauf une) est un défenseur zélé de l’Etat « de droit » mondial (oxymore) ou « Etat démocratique mondial » (cherchez l’erreur) dont l’Union européenne est pour lui l’embryon.

A titre personnel, Jacques Attali mis à part nous nuire s’enrichit avec sa famille tout comme celle des Rothschild (où il officie et a officié) dans la « finance », et les « exécutions », mais donne aussi dans le social via la « microfinance » (on en sort pas) avec « Positive Planet », ONG et fondation où l’on retrouve dans son conseil et son bureau l’ hyper classe mondiale française. Quand on observe le budget en 2015 de cette ONG dont la vocation est de soutenir les micro-projets de pays pauvres, on remarque cependant que sur 500 000 euros, 300 000 euros ont été déployés pour les banlieues françaises. On s’étonne ainsi du budget quasi dérisoire et anecdotique d’une ONG à la prétention mondiale et de ses dépenses effectives aux deux tiers dans nos territoires perdus.

On l’aura compris, Jacques Attali exploite le créneau de l’émotion liée à la pauvreté, ainsi que celui des banlieues, et cette ONG est en définitif un alibi et un artifice afin de se donner une image, à peu de frais, de mécène généreux, d’homme impliqué dans la lutte contre les « désordres de ce monde ». Il se présente d’ailleurs grotesque en penseur de Rodin, et en philosophe blasé sur le site de cette « ONG », bidule dont il est « président », c’est surtout pour lui le prétexte et l’occasion de parader, de se pavaner à Cannes chaque année au défilé ou « festival » de nos « stars » presque toutes crasseuses (en 2015, au bras de Nathalie Baye).

Soutien d’Emmanuel Macron dans la même veine, l’économiste frelaté, frère jumeau du premier, l’ineffable Alain Minc, autre conseiller des « princes ». Alain Minc est une sorte de mini Talleyrand mais avec beaucoup moins de manières et en beaucoup plus intéressé, responsable entre autres d’un désastre financier aux dépens de l’homme d’affaires italien Carlo de Benedetti (OPA pourrie sur la Société générale de Belgique). En 2008, l’« expert » énarque, sorti de l’inspection générale des finances, à la veille de la crise dite des subprimes et alors qu’il conseillait Nicolas Sarkozy, prétendait que l’économie mondiale était saine et régulée.

Il est aussi connu pour son aptitude à trahir ses clients ou patrons pour ceux d’en face (affaire Le Monde, affaire Suez, affaire Vinci). Minc, toujours bien accueilli dans les médias et la presse de connivence, a pourtant été condamné à l’infamie intellectuelle pour différents plagiats (Spinoza, un roman juif, ou encore un livre sur René Bousquet). Pervers et exécrable, fielleux et hypocrite, il est de ceux qui travaillent à l’anéantissement psychologique, et à la culpabilisation éternelle et ad nauseam du peuple allemand, y compris des enfants allemands dès la maternelle et l’école primaire et de ceux qui naissent et à naître (on rappellera sa violente charge contre le pape allemand Benoît XVI). Comme Jacques Attali, Alain Minc fait partie d’officines, clubs, instituts ou groupes mondialistes comme Le siècle ou l’institut Montaigne, associations maléfiques bien décidées à en finir avec les nations, les cultures et les peuples européens.

Parmi les soutiens d’Emmanuel Macron figurent tout ce que la France peut compter de responsables de faillites (dont Attali et Minc), de crapules en cols blancs comme Bernard Tapie ; nous trouvons l’immoral Pierre Berger violemment et obsessionnellement anti-chrétien, l’obsédé qu’on ne présente plus Dominique Strauss Kahn, Daniel Cohn Bendit qui soulignait le pouvoir érotique des fillettes et dont la moralité est aussi sujette à caution. La liste est longue de tous les comploteurs, voleurs, manipulateurs, arrivistes, renégats, corrompus qui le suivent. Emmanuel Macron est l’homme de paille de luxe de la firme Rothschild qui a su placer ses hommes depuis Georges Pompidou, de ceux qui tiennent le monde occidental via un système financier reposant sur des artifices, qui spéculent sur les uns et les autres, grandes entreprises, multinationales, qui trafiquent les bilans de pays comme la Grèce pour qu’elle entre dans les clous de l’UE puis joue contre elle pour la ruiner et s’engraisser (Goldman Sachs). Emmanuel Macron, grosse fortune fut il y a peu ministre de l’Economie laissant derrière lui, outre sa propre fraude fiscale, encore plus de dettes. Il est le candidat dont on ignore comment sont financés ses meetings et ses shows à l’américaine dont les coûts sont pharamineux.

Selon Macron, il n’y a pas de culture française

Ce monde d’usuriers prêts à tout, de destructeurs et de profiteurs est à l’opposé de l’économie saine, de la bourgeoisie traditionnelle et patrimoniale et du monde de l’entreprenariat, des artisans et commerçants, des crédits honnêtes, des agriculteurs scrupuleux, il est à l’opposé de l’honneur et du respect au travail, de l’économie réelle et en premier lieu celle des circuits de proximité, de production et consommation courts qui garantissent les emplois en même temps qu’ils préservent notre environnement.

On ne s’étonnera donc pas de la dernière déclaration de l’icône des médias privés subventionnés à outrance et des médias publics sous la même assistance au sujet de la culture française « il n’y a pas de culture française, il y a une culture en France, elle est diverse ». Au-delà de la construction de cette phrase, de sa dialectique douteuse, puisqu’une culture ne peut être par essence « diverse », mais au contraire homogène sinon elle ne fait pas sens. C’est justement le caractère repérable, identifiable d’une culture qui la définie comme telle, avec ses spécificités dont en premier lieu sa langue, son histoire, sa littérature, ses grands auteurs, ses arts, peintres et sculpteurs, mais aussi sa cuisine, ses vins, ses lieux, son paysage et son imaginaire. Si la France comprend des « petites patries » qui sont nos belles provinces avec leurs richesses et leurs hommes, comme la Bretagne, la Normandie, la Corse, l’Alsace, la Champagne ou le Pays Basque etc… Toutes sont françaises et augmentent la beauté et la grandeur de notre pays. Elles en sont des déclinaisons comme la France est une patrie de notre Europe, espace naturel et culturel des peuples européens, dont elle est un des joyaux.

On comprend ce qu’a voulu dire Emmanuel Macron : nier la réalité de notre culture c’est nier ceux qui la portent, de ceux qui l’incarnent et l’ont incarnée, c’est-à-dire nier l’existence des français en tant que peuple pour leur substituer des communautés avec leurs cultures différentes. C’est acter la dissolution de la France et sa submersion, effacer tous les repères et les figures tutélaires, effacer le grand 13ème siècle, celui de Louis IX, des cathédrales gothiques et de l’architecture de France, effacer le siècle de Louis XIV et de l’architecture classique français, effacer l’influence politique, esthétique et politique française sur l’Europe du 17ème siècle jusqu’à ta tragédie de 1914. Inacceptable.

Homme de paille des puissants et agent d’officines cosmopolites

Emmanuel Macron, homme de paille de puissants intérêts financiers et agent des officines cosmopolites soulignées plus haut nous agresse et nous fait violence. Si l’on transposait cette violence faite à notre peuple à un individu, ce serait lui ôter ses origines, ses parents et grands-parents, sa maison, ses enfants, tout ce qui fait son histoire personnelle, pour installer chez lui un ou plutôt des étrangers. Le monde d’Emmanuel Macron rejoint celui de son mentor Jacques Attali, c’est le despotisme planétaire, un homme désincarné et sans affects, consommateur et producteur dont on maîtrise la destinée, dont on commande la fonction. C’est un monde d’esclaves. Ce dessein dantesque et infernal concerne prioritairement les Etats européens de l’Ouest via l’instrument institutionnel ou cheval de Troie qu’est l’Union européenne phagocytée dès l’origine par les tenants de ce projet mondialiste démoniaque.

Macron éclaboussé à jamais dans le scandale Alstom

Emmanuel Macron porte en lui l’asservissement économique de notre pays via la firme qui s’empressera de vendre à la découpe et de liquider (comme en Grèce) aux plus offrants et initiés nos entreprises et tout ce qui peut se monnayer. Rappelons trois événements majeurs dans la biographie de la créature qui atteste nos allégations :

– 1 Chez Rothschild, Il joua contre le français Danone, le rachat par la multinationale suisse Nestlé de l’entreprise américaine « Pfizer Nutrition », alors que Rothschild était censée conseiller à la fois Pfizer et Danone (cette fructueuse manoeuvre de duplicité, de rachat-acquisition est à l’origine de la fortune d’Emmanuel Macron).

– 2. Toujours chez Rothschild, Emmanuel Macron se présente comme un banquier de gauche philanthrope auprès de la société des rédacteurs du Monde propriétaire majoritaire du quotidien du soir alors au bord de la faillite. Il évoque son désintéressement pour les conseiller dans leur appel à des investisseurs privés. Au final, le margoulin roulait pour Minc qui lui roulait pour un groupe dont ne voulait absolument pas entendre parler la société des rédacteurs. Adrien de Tricornot journaliste au Monde raconte avec moult détails comment Emmanuel Macron se cachait non pas dans les jardins de l’observatoire comme son « illustre » prédécesseur feu Mitterrand mais au dernier étage de l’immeuble d’Alain Minc pour échapper aux questions du journaliste qui avait constaté la trahison du pitoyable poltron.
Comment Macron m’a séduit puis trahi.

http://www.streetpress.com/sujet/1486723160-macron-le-monde via @street_vox

– 3. Impardonnable et alors qu’il officiait comme secrétaire adjoint de l’Elysée, il est directement impliqué dans l’abortion d’Alstom, branche stratégique de l’énergie (70% du chiffre d’affaires) par la firme américaine Général Electric (cf l’interview de Daniel Fasquelle, député LR du Pas de Calais sur le sujet). Rappelons que le ministre de l’économie d’alors, Arnaud Montebourg, chantre socialiste du « made in France » s’échinait à maintenir cette entreprise impliquée historiquement dans la maintenance et la construction de nos réacteurs nucléaires ou GV -Générateurs de vapeur- dans le giron tricolore. Rappelons aussi que cette opération typiquement dans les moeurs crapuleuses de la haute finance avait donné lieu à une audition à l’assemblée nationale où l’intéressé assumant sa duplicité a menti sans vergogne en osant parler d’alliance alors qu’il s’agissait bien d’un achat et d’une absorption. Exécution d’Alsthom, entreprise liée à notre filière nucléaire française vendue à des intérêts étrangers, qui a en outre payé 630 millions d’amendes aux américains qui la convoitaient et l’ont malhonnêtement mais aussi habilement acquises. La main sur le coeur, Macron a trahi son pays. 800 personnes ont depuis perdu leur travail alors que l’inverse avait été contracté.

– L’OPA du groupe français parapétrolier d’envergure internationale Technip par un groupe obscur américain relève une nouvelle fois qui est Macron. Comment imaginer que ce dernier n’ait rien eu à gagner avec cette opération désastreuse pour nos intérêts et pilotée « comme par hasard » par le groupe Rothschild ancien employeur de Macron, allié en la circonstance à l’autre mafia financière, branche américaine Goldman Sachs. Ce que résume l’hebdomadaire Marianne :
« Un grain de sable qui pourrait mettre en péril la belle opération ficelée par le ministre Emmanuel Macron et son ancien employeur, la banque Rothschild, conseil de Technip (avec Goldman Sachs)… En mai dernier, à l’époque où il pilotait encore Bercy, l’ancien banquier s’était félicité d’une fusion entre égaux, permettant de faire émerger « un Airbus du parapétrolier ». La véritable histoire, hélas, est celle du passage sous pavillon américain d’un fleuron français, au terme d’une opération pour le moins déséquilibrée, puisque c’est le petit (l’Américain) qui l’emporte sur le gros (le Français). « La faute aux services du ministre, s’insurge l’un des protagonistes, qui ont laissé filer le siège du nouvel ensemble à Londres sans même protester ». L’ancien PDG de Technip, Thierry Pilenko, n’a pas trouvé à redire à cette délocalisation masquée, lui-même ayant rejoint Houston, quartier général de FMC Technologies, où était déjà installée son épouse américaine… » (Pétrole : Emmanuel Macron, parrain d’un mariage de cocus, Clément Fayol, Jeudi 15 décembre 2016, Hebdomadaire Marianne).

Macron mouillé dans la vente de SFR à Drahi… qui lui renvoie l’ascenseur

– 4. Emmanuel Macron est aussi l’artisan de la vente de SFR au franco-maroco-israélien Patrick Drahi résident Suisse pour fuir ses devoirs fiscaux envers la France. Personnage peu recommandable, Drahi achète des entreprises sans fonds propres mais à coups d’endettements phénoménaux grâce à des complicités auprès de banques peu scrupuleuses comme Morgan Stanley et de la mafia politico fiancière de notre pays. Depuis Bernard Mounrad banquier de Drahi et ex de Morgan Stanley a rejoint Macron. On ne s’étonnera pas non plus du soutien inconditionnel de la chaîne poubelle de propagande BFM, (et de son égérie cosmopolite défraichie Ruth Elkfiref elle-même née au Maroc et de même confession que son souteneur) propriété de Drahi à Macron. Très peu de temps avant d’avoir été débarqué, Arnaud Montebourg s’était montré très explicite sur cet affairiste, lui demandant en substance des comptes.

Les idiots utiles qui frénétiquement le supportent (en dehors de socialistes qui se raccrochent à cette branche jeune mais déjà pourrie pour les places) et croient profiter d’un dynamisme illusoire ne se rendent pas compte qu’ils sont manipulés par un « expert », qu’ils feront partie de la charrette et que leur sort est scellé. Plus grave cet homme qui ment sur sa nature et sa vie précipitera encore davantage notre pays dans le chaos de l’invasion, accélérant le remplacement de notre peuple. Il porte en cela la ruine économique et la destruction ethnoculturelle de ce que nous sommes. Emmanuel Macron organisera le dépeçage définitif de notre pays vendant y compris s’il peut le faire le Mont-Saint Michel à la finance internationale.

Il reste que tous, à titre individuel et dans nos familles et comme peuple pouvons-nous y opposer en effectuant le choix politique de la raison, c’est-à-dire celui de l’indépendance, de la souveraineté, de l’honneur et de la dignité retrouvés et non ceux de politiques servant des intérêts extérieurs en même temps qu’ils se servent. Le cosmopolitisme synchronisé qu’il vienne des libéraux ou des libertaires est notre ennemi, qu’il vienne de l’hyper classe mondiale financière ou/et marchande ou de terra nova, est le même qui veut notre « peau ». Et Emmanuel Macron comme Benoît Hamon ou même le resquilleur François Fillon en sont les serviteurs zélés.

François-Xavier Laisne

 

via Macron mène son OPA hostile sur la France | Riposte Laïque

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