Toxicité des vaccins ARN contre la Covid-19 : une investigation chez les thanatopracteurs

ENQUETE — L’épidémie du Covid-19 a été le théâtre des plus grandes escroqueries intellectuelles de notre époque. Cela a déjà été évoqué : un dénigrement organisé de l’IHU, du professeur Raoult et de l’hydroxychloroquine, une promotion éhontée d’un médicament, le Remdesivir, une focalisation exclusive sur un vaccin d’efficacité décevante, pourvoyeur d’effets indésirables extrêmement mal évalués, et une récidive : la refocalisation sur un nouvel anti-viral tout aussi dangereux, le Molnupiravir.

Le vaccin est, en effet, loin d’avoir une efficacité de plus de 90 %, tel que propagandé par les articles scientifiques sponsorisés par les laboratoires, (le professeur Raoult l’a estimé aux environs de 50 à 60 % sur les infections symptomatiques) et n’entrave pas l’infection, ni la propagation du virus, rendant le concept de passe sanitaire absurde.

Mais, ce qui nous intéresse, ce sont les effets indésirables graves, qui font que la balance bénéfice-risque est défavorable, au moins pour certaines populations (celles qui ont une faible probabilité de développer un Covid-19 grave). Tout ceci a été abordé sur un certain angle, classique de l’analyse des données de pharmacovigilance ; nous rappelons l’article de Laurent Mucchielli, qui a fait l’objet d’une tentative de censure et a été republié par FranceSoir.

Voir aussi : « Une mortalité inédite : il y a urgence à suspendre la vaccination« 

Rappelons brièvement le problème généré par la protéine du vaccin, la protéine « Spike » d’accroche du virus. La protéine Spike est toxique, ce qui est publié dans nombre d’articles dans des journaux sérieux (revus par des pairs).

Prenons l’exemple des myocardites post-vaccination. Avec ces vaccins à ARNm, les cellules de tous les organes où le vaccin a diffusé y compris le cœur comme cela peut arriver parfois dans la maladie, peuvent donc exprimer la protéine Spike à leur surface, ce qui peut donc expliquer la survenue d’une myocardite via une attaque ultérieure du système immunitaire. Nous en profitons pour préciser que le professeur Perronne a donc raison quand il dit que le vaccin modifie les cellules. L’ARNm ainsi que les modifications des cytokines induites par le vaccin pourraient également être directement impliqués (1). La protéine Spike pourrait induire une agression de l’endothélium vasculaire qui exprime fortement l’ACE2 (le récepteur cible de la protéine Spike), un dysfonctionnement avec un état d’inflammation et d’hypercoagulabilité, ce qui pourrait expliquer la survenue de thromboses (1, 2). Il est crucial de noter que la « thrombocytopénie thrombotique » a déjà été décrite comme une complication possible du vaccin et que la myocardite a déjà été décrite dans la littérature dans le contexte du purpura thrombocytopénique thrombotique chez les patients atteints du VIH (3).

(1) Bozkurt B, Kamat I, Hotez PJ. Myocarditis With COVID-19 mRNA Vaccines. Circulation. 2021 Aug 10;144(6):471-484. doi: 10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056135. Epub 2021 Jul 20. PMID: 34281357; PMCID: PMC8340726.

(2) Raghavan S, Kenchappa DB, Leo MD. SARS-CoV-2 Spike Protein Induces Degradation of Junctional Proteins That Maintain Endothelial Barrier Integrity. Front Cardiovasc Med. 2021 Jun 11;8:687783. doi: 10.3389/fcvm.2021.687783. PMID: 34179146; PMCID: PMC8225996.

(3) Visagie GJ, Louw VJ. Myocardial injury in HIV-associated thrombotic thrombocytopenic purpura (TTP). Transfus Med. 2010 Aug 1;20(4):258-64. doi: 10.1111/j.1365-3148.2010.01006.x. Epub 2010 Apr 14. PMID: 20409074.

Voyez ce que rapporte cet article dans Circulation, journal scientifique numéro 1 des cardiologues :

« Nous concluons que les vaccins ARNm augmentent considérablement l’inflammation sur l’endothélium et l’infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque et peuvent expliquer les observations de thrombose accrue, de cardiomyopathie et d’autres événements vasculaires après la vaccination »

Étrangement, le lien vers ce journal scientifique irréprochable est considéré comme dangereux par Twitter, ce qui témoigne du niveau de corruption et de propagande organisée.

Nous allons aborder maintenant le problème de la toxicité sous un angle original, par une enquête chez les thanatopracteurs (professionnels chargés notamment du soin de conservation des personnes décédées). En effet, tous les acteurs de la société doivent contribuer à l’émergence de la vérité. Qui de mieux placé que les thanatopracteurs pour observer des effets indésirables mortels ? Ces derniers ont-ils noté une différence dans leur activité ces derniers mois où le vaccin a été administré de manière massive ? Y aurait-il une surmortalité, des évènements surprenants ? Les soins sont-ils modifiés ? C’est ce que nous allons voir.

Nous sommes allés interviewer un thanatopracteur qui travaille dans une ville du Sud de la France :

En quoi consiste le métier de thanatopracteur ?

Il consiste à effectuer des soins de conservation en vue de retarder la thanatomorphose (décomposition du corps), puis à donner au défunt un air apaisé, afin de faciliter le processus de deuil pour la famille et les proches.

Quelle est votre formation ?

Durant la première année, on prépare le concours national théorique. Si l’on est reçu on peut commencer la partie pratique, ensuite on passe l’examen pratique quand on a réalisé le nombre de soins de conservation imposé (il y a un minimum de 100 soins).

Depuis combien de temps faites-vous ce métier ?

Depuis plusieurs années.

Quel est l’intérêt que vous trouvez à ce métier ?

On parle souvent de l’importance de la dernière image, dont le thanatopracteur est le garant. Les soins d’hygiène et de présentations consistent à effacer les stigmates de la mort, et sont essentiels pour permettre aux proches d’avoir une dernière vision dédramatisée de leur défunt, et ainsi favoriser leur deuil.

Comment effectuez-vous les soins ?

Cela consiste en une injection intra-artérielle de produits conservateurs et antiseptiques (exemple : le formol). Ceux-ci permettent d’assurer une bonne asepsie du corps. Ensuite, on ponctionne les liquides biologiques. La finalité du soin consiste à l’habillage du défunt avec les vêtements choisis par la famille, un maquillage très discret et naturel, puis la présentation en salon.

Qu’observez-vous actuellement ?

On observe de plus en plus d’AVC, d’infarctus et de morts inexpliquées chez des sujets âgés de 40 à 60 ans.

Est-ce que cela se produit dans votre région ou est-ce observé ailleurs ?

À ma connaissance dans plusieurs régions.

Qu’observez-vous chez de tels patients vaccinés et décédés ?

Le sang est très épais, le produit conservateur diffuse très bien dans les artères au début, mais il y a un problème de retour veineux, donc cela met les vaisseaux en pression. Le formol finit pas être bloqué et l’on ne récupère pas autant de sang qu’habituellement. Il y a beaucoup de caillots qui bouchent le trocart.

Le sang des défunts est comment habituellement ?

Fluide.

Quelles conséquences sur le soin ?

Le soin devient difficile, parfois impossible. Il y a un an, on n’observait pas de telles difficultés.

Avez-vous observé de tels cas auparavant ? Depuis combien de temps observez-vous cela ? Est-ce que cela empire ?

Non, pas comme ça, je n’ai pas observé de tels cas avant. Depuis plusieurs mois, depuis mars/avril 2021. Je ne pense pas que ça empire, mais c’est régulier. Il y a d’autres endroits en France où l’on observe les mêmes difficultés et d’autres endroits moins touchés.

Combien de temps après l’injection ? Quels vaccins ?

D’après les retours, les jours qui suivent l’injection, pas de précisions sur le type de vaccin.

Que disent les familles ?

Cela suscite des interrogations.

Les cas sont-ils déclarés à l’ANSM ?

Je l’ignore.

En parlez-vous entre vous ?

Oui avec certains collègues. Certains sont confrontés au même problème.

Y a-t-il des menaces à l’égard de ceux qui en parlent ?

Certains se seraient fait menacer, je ne sais pas par qui. Le sujet est tabou. C’est un sujet brûlant, comme beaucoup de sujets ces derniers temps.

Nous avons discuté au téléphone avec le chef d’une entreprise de thanatopraxie d’une autre ville qui confirme ce que nous relate ce thanatopracteur, et avoue n’avoir « jamais vu ça » en 15 ans de métier, ni sur l’augmentation des cas d’infarctus et d’AVC chez de jeunes personnes, ni sur la problématique du soin que nous venons d’évoquer.

Drainage normal lors des soins : le sang, fluide, coule sans difficulté (NB : après le décès, il y a fibrinolyse liée à la destruction cellulaire et le sang est normalement fluide).

Sang coagulé formant une « gélatine épaisse » et des « chandelles épaisses quasi solides », ne s’écoulant pas normalement ou pas du tout.

Ces effets secondaires, très probablement liés au vaccin, ne sont pas étonnants quand on connaît l’action (publiée) pro-inflammatoire, pro-coagulante et d’agression des parois vasculaires de la protéine Spike générée par les vaccins.

À l’heure de la préconisation de la troisième dose, il serait impensable d’occulter ces éléments, d’une exceptionnelle gravité, et de ne pas diligenter, en toute clarté, une enquête approfondie.

Auteur(s): Le Collectif citoyen, pour FranceSoir

Source : Toxicité des vaccins ARN contre la Covid-19 : une investigation chez les thanatopracteurs

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