Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses
Dans l’acte où nous nous trouvons de cette triste tragicomédie collective, les zautorités et les médias se gargarisent de notre « unique planche de salut vaccinale ». Dans ce rétrécissement de la pensée caractéristique des uns et des autres, on nous explique que l’efficacité du vaccin est de 95%, qu’il n’a pas d’effets secondaires graves, que les normes de sécurité ont été respectées et que seuls des irresponsables et des inconscients (suivez notre regard !) peuvent encore s’entêter à poser quelques questions…
Le narratif officiel a en effet l’air cohérent :
- Nous sommes face à une épidémie d’une gravité sans précédents depuis la terrible grippe espagnole de 1918.
- Cette épidémie tue massivement.
- Il n’y a pas de remèdes pour soigner les personnes infectées avant qu’elles aient éventuellement besoin d’être hospitalisées aux soins intensifs.
- Tout notre espoir repose donc sur la perspective d’un vaccin.
- Le virus est tout, donc il ne sert à rien de perdre son temps avec des mesures autres que vaccinales (prévention, promotion de la santé et soutien à l’immunité).
- Des équipes scientifiques ont réalisé la prouesse de réaliser un vaccin en un temps record.
- Malgré cette vitesse, toutes les étapes de sécurité ont été respectées grâce à l’immensité des moyens mis à disposition.
- Les résultats montrent que le vaccin est sûr, efficace et avec très peu d’effets secondaires.
- Il est donc urgent de vacciner la population dans son ensemble, en commençant par les groupes les plus à risque.
- Ceux qui s’opposent ou mettent en doute le vaccin sont dangereux pour la collectivité puisqu’ils risquent de mettre en échec notre seule planche de salut.
- Contrairement à ce qui est avancé par ces « irresponsables » et même si on n’a pas de recul quant à leur usage, les vaccins géniques à ARN sont sûrs et ne peuvent en rien endommager notre ADN.
- Vaccinons, vaccinons, vaccinons et nous reviendrons (enfin !) à la vie d’avant.
Le problème ? C’est que chacun des items de cette liste est faux.
L’analyse des données relatives à la mortalité 2020 montre que l’excès constaté par rapport aux années précédentes est attribuable à la démographie mais non à une létalité hors normes du Sars-CoV-2 ! A tel point que si l’agent infectieux au cours de l’année écoulée avait été l’influenza de 2017, la France aurait connu 8’000 décès supplémentaires !
Ce qui n’empêche bien sûr pas des médias comme la RTS, Léman Bleu et tant d’autres de présenter les choses de manière fallacieuses, entretenant comme si besoin était la panique collective (ce dont ils semblent avoir fait leur mission prioritaire.) A l’image des « autorités de santé », comme la Task Force qui sonne le tocsin sur le « nouveau variant anglais » au moment même où l’INSERM se montre explicitement rassurant sur cette mutation.
Et la-dite « Task force » de préconiser, suivie aveuglément par le Conseil fédéral, un « nouveau confinement », alors que rien, absolument rien de probant n’existe à ce sujet dans la littérature scientifique, au contraire. C’est la conclusion à laquelle vient d’arriver à son tour une des toutes meilleures équipes au monde (celle des Pr Eran Bendavid, John P.A. Ioannidis, Christopher Oh et Jay Bhattachary au Department of Epidemiology and Population Health de la Stanford University) :
« Nous ne remettons pas en cause le rôle de toutes les interventions de santé publique, ni des communications coordonnées sur l’épidémie, mais nous ne trouvons pas d’avantage supplémentaire dans les commandes au domicile (fermeture des commerces et restaurants NdT) et les fermetures d’entreprises (…) Si de petits avantages ne peuvent être exclus, nous ne trouvons pas d’avantages significatifs sur l’augmengation des cas des mesures les plus restrictives. Des réductions similaires de l’augmentation des cas peuvent être obtenues avec des interventions moins restrictives. »
Je sais que c’est dur à entendre pour celles et ceux qui prêtent foi au narratif officiel, mais la réalité est qu’il n’y a aucune science solide, soit absolument rien d’avéré ni de probant à l’appui de mesures comme la fermeture des restaurants et commerces ni même du confinement !
On impose pourtant ces mesures hasardeuses avec pour conséquences de provoquer -en pure perte- un tsunami sans précédent de faillites, de dépressions et de suicides, une explosion des troubles psychiques, des traumatismes massifs sur les enfants et la jeunesse tout en signant l’arrêt de mort de centaines de milliers (pour la Suisse), de millions ou dizaine de millions (en France) de commerces entreprises et restaurants, après avoir asphyxié les malheureuses et les malheureux qui en vivaient honnêtement et ont tout fait pour respecter scrupuleusement les mesures -même imbéciles- qu’on leur imposait.
Sachant par ailleurs que rien de tout ceci ne se serait produit si nos autorités avaient appliqué diligemment les plans pandémie (et rien d’autre !), laissé les médecins-généralistes soigner les malades en premier recours, si la science avait été intègre et au service du bien commun, et si les médias enfin avaient fait leur travail avec honnêteté.
Beaucoup de si, certes, dans un monde en plein effondrement, « guidé » par des élites en perdition intellectuelle et morale !
Pour revenir au vaccin, nous sommes donc arrosés depuis des semaines d’affirmation aussi rassurantes que péremptoires. Le vaccin, selon le Ministre suisse de la santé Alain Berset, est « sûr et efficace » et, selon la propagande de l’état de Genève adressée par Mauro Poggia aux aînés, « offre une protection efficace à 95% ».
Waouh, tous sur le quai vaccinal !
Sauf qu’il y a un problème : rien de cela, à nouveau, n’est vrai.
Bidouillages et trucages
Et c’est une série de constats en effet très éloignés de la conscience qu’en a la population (accordant une confiance religieuse aux « scientifiques ») qu’il faut bien poser aussi clairement que nécessaire pour essayer de ramener la raison. La population doit ainsi savoir :
- que l’on peut publier n’importe quoi dans les revues scientifiques, ce d’autant plus que les revues sont (de l’aveu même de leurs rédacteurs en chef) inféodées à des intérêts qui les forcent à publier des études même falsifiées ;
- qu’il y a donc besoin, face à toute publication, d’avoir une lecture très critique ;
- enfin (et c’est le plus important) que, si l’on ne peut pas tenir pour responsables les politiciens de l’évaluation de ces études, la responsabilité des membres de la Task Force suisse (et des autres comités scientifiques) est lourdement engagée, civilement et probablement même pénalement, pour les conseils qu’ils donnent aux politiciens, sur la base de leur conflit d’intérêts ou de leur incompétence, au choix.
Lire la science est certes quelque chose pour lequel il faut un minimum de formation. Les méthodologies de recherche sont des questions complexes. Il existe une multitude de biais possibles dans le design des études et l’interprétation des données, sans même parler des falsifications qui abondent elles aussi. Bref, compliqué certes pour quiconque n’est pas du domaine. Mais nous ne sommes pas non plus dans une situation où seules quelques personnes à travers le monde avaient la compétence pour décrypter la qualité des recherches !
Celle (Mehra et al.) publiée au mois de mai dans The Lancet, n’aura pas requis plus d’une dizaine de minutes à un œil averti pour constater que les données étaient impossibles et qu’il s’agissait donc d’un faux.
Comment cette escroquerie de bas étage (on ne parle pas ici d’erreurs, mais d’une véritable arnaque) a-t-elle pu être signée par des chercheurs travaillant dans le cadre d’universités a priori respectables, dont ici un professeur à l’Hôpital universitaire de Zürich ?!
Comment a-t-elle pu passer le filtre du peer-reviewing du Lancet ?! Comment des personnalités « scientifiques » jouissant de la confiance de la population et des autorités ont-elles pu prêter publiquement crédit à une telle entreprise de diffamation crapuleuse ?!
Ne savent-elles pas lire les études de Big Data ? Et si c’est le cas, comment expliquer que personne (pare exemple aux HUG ou au sein de la Task Force) ne les ait averties qu’il s’agissait d’un faux grossier ?!
Je me permets d’insister : il n’aura fallu que 10 minutes à Philippe Douste Blazy, au collectif Laissons les médecins prescrire ou à votre serviteur pour repérer le lézard (gros comme un supertanker de nouvelle génération) mais chez nos experts, « rien à signaler », « quelle belle étude » et « circulez » ?!
Sommes-nous à l’aise et nous sentons-nous en sécurité de placer notre confiance dans des mains comme les leurs ? Ne va-t-on aucunement s’interroger sur cette cacade, suivie au mois d’août d’une autre (Fiolet et al., tout aussi malhonnête et fortement « swissmade ») relayée instantanément par la presse mainstream et la Revue médicale suisse dans un papier d’une grande ineptie épistémologique ?! Pourquoi les deux articles le plus malhonnêtes sur le traitement avec l’hydroxychloroquine impliquent-ils des « scientifiques » suisses, payés par nos impôts ?!
Vaccin Pfizer
Or ici, re-belotte ! Les conclusions qu’on nous présente dans l’article de Polack et al. publié le 10 décembre dernier puis mis à jour le 16 dans le New England Journal of Medicine, sont fausses. L’étude en question étant elle aussi bidouillée, de manière certes moins massive, mais pourtant obvie. J’attends donc depuis plus d’un mois qu’un quelconque média mette en lumière ces bidouillages et les porte à la connaissance de la population et des experts (qui manifestement n’ont toujours pas appris à lire la science). En pure perte.
Alors, allons-y ici sur ce modeste blog d’un anthropologue de la santé certes expérimenté, mais se trouvant ici dans un domaine qui n’est pas celui de son expertise principale. Et qui remercie au passage pour ses informations un éminent chercheur -médecin clinicien et praticien- tenant par nécessité (étant donné la barbarie des temps) à rester anonyme ; ainsi qu’Alexandra Henrion Caude, généticienne de renom, qui a aimablement participé à l’analyse de ces données. Les conclusions que je tire ici étant de ma seule responsabilité, en particulier dans les erreurs ou imprécisions qui pourraient s’être glissées dans mon texte.
Reprenons : il existe d’innombrables manières de truquer une étude, c’est d’ailleurs un des avantages (pour les intérêts crapuleux) de ce qu’on appelle l’Evidence-Based Medicine. Nous ne les rappellerons pas ici, ayant donné ailleurs des références de choix pour ceux que cela intéresse.
Toutefois, la plus évidente (signalant un bidouillage) est de violer en cours de route le protocole d’étude. Ici, le problème est gros et évident.
Le protocole de recherche original prévoyait en effet une évaluation de l’efficacité (primaire et secondaire) du vaccin en comparant le groupe vacciné au groupe « placebo » avec le cadre temporel suivant : seconde injection 21 jours après la première, puis données récoltées à partir du 7ème jour suivant cette seconde injection. Ceci pour une raison: l’immunité requiert à notre connaissance un délai de quelques semaines pour advenir.
Voici donc les indicateurs retenus pour être évalués dans le protocole (pp. 243-244) :
Et voici les résultats que livrent (ou omettent de rapporter) le papier de Polak et al. tels que mon informateur les a consolidés :
Sur les deux groupes (de grande taille, 21’699 sujets dans le groupe vacciné et 21’686 dans le groupe placebo), on s’aperçoit à la lecture de l’article que différents délais ont été retenus, en violation flagrante du protocole initial.
1. Les cas ont donc été comptés immédiatement dès la première dose de vaccination, en violation du protocole.
-
- En comptant les cas immédiatement après la première dose de vaccination, le résultat est faussé car il n’y a pas d’élément scientifique suggérant que la vaccination ait pu avoir un impact dès la 1ere dose.
- Avec un décompte selon protocole soit à >j7, on aurait 75% et non plus 95% d’efficacité.
- L’intervalle de confiance à 95% pour les « Severe Covid » va de -152,6% à 99,5%.
- Cela signifie que 95% de l’efficacité de la vaccination pour les cas « graves » se situe entre moins 152,6% et 99,5%. En d’autres termes ce résultat ne dit rien du tout, car il se peut aussi que des cas graves se produisent plus fréquemment (jusqu’à moins 152,6% d’efficacité !
2. Le tableau S5 représente également une violation du protocole, car il devrait indiquer dans quelle mesure il est probable que « l’efficacité du vaccin », c’est-à-dire l’efficacité de la vaccination, soit supérieure à trente pour cent.
3. Dans le groupe placebo, seulement 2,4% des personnes infectées (NDLR : 4 sur 162) ont eu une évolution sévère (ce qui soulève bien sûr la question de savoir pourquoi nous vaccinons). Dans le groupe vaccin, bien que huit seulement aient été infectés, l’un de ces huit a développé une évolution sévère (1/8 soit 12,5%) soit 5 fois plus !
Efficacité :
Polack et al. indiquent : « The vaccine showed some early protection 12 days after the first dose; 7 days after the second dose, 95% efficacy was observed. »
- Il faut préciser sur tous les Covid
- La figure 3 contient une erreur (162 et non 172) – 172 ne se retrouve pas dans la publication
- Le cas « Severe Covid » dans le groupe placebo après 7j sont 4 et pas 9 !
On constate donc que deux délais ont donc été mélangés selon l’intérêt :
Pour « Symptomatic Covid-19 » on prend les données 7 jour et plus après la deuxième vaccination (après la première vaccination, « l’efficacité » ne serait autrement que de 82%).
Pour « Severe Covid-19 », en revanche, les données sont prises à partir du premier jour de la 1ere vaccination.
Voilà comment, sans grands efforts et de manière discrète (dès lors que les « autorités scientifiques » ne lisent pas sérieusement les études) on arrive à des conclusions déformées dans le sens voulu.
Sur le fond
Nous avons tous entendus les messages affirmatifs de nos gouvernements respectifs : le vaccin est « sûr et efficace à 95% », il est surtout utile pour « prévenir les formes graves de Covid ». Hélas, toutes ces affirmations sont à nouveau fausses !
1/ La sécurité est spéculative.
Les données publiées par le Center for Disease Control aux États-Unis font état d’un taux de 2.8% d’effets adverses autres que légers (critères : les vaccinés ne sont plus en état de travailler), ce qui est significativement plus élevé que pour des vaccins comme celui contre la grippe ! Si on entreprend de vacciner l’entier de la population européenne (ce qui serait une absurdité sans nom pour un virus de cet ordre de gravité), c’est plus de 22’000’000 de personnes en bonne santé qui risqueraient de connaître des effets adverses problématiques.
Il existe par ailleurs (nous y reviendrons plus bas) de très inquiétantes incertitudes quant à la sécurité du vaccin à moyen et long terme… et aucune étude suffisante n’a été faite sur les personnes âgées, plus à risque également de connaître des effets secondaires graves !
L’Agence britannique de réglementation des produits médicaux et de santé (MHRA) a ainsi approuvé l’administration du vaccin génique de Pfizer aux personnes vulnérables sur la base d’une étude portant sur 39 personnes âgées uniquement, faisant état d’un taux d’effets indésirables assez élevé, produit exclusivement à partir de la R&D du fabricant du vaccin !
2/ L’efficacité est discutable.
Les données montrent un effet de prévention sur l’infection (seulement 8 cas sur 2’214 contre 162 sur 2’222 dans le groupe placebo). Avec toutefois une étude portant uniquement sur des sujets âgés entre 25 et 65 ans, soit hors groupes à risque ! La réponse immunitaire déclinant avec le temps, cela ne permet de tirer absolument aucune conclusion quant à l’efficacité du vaccin sur les groupes de population âgés de plus de 65 ans. Extrapoler comme le font les autorités sanitaires est profondément contraire à l’éthique et à la déontologie de la recherche !
En ce qui concerne la prévention des cas sévères, l’échantillon (même composé de près de 44’000 personnes) ne permet d’arriver à aucune conclusion : le faible nombre de cas de Covid grave (5 en tout si on respecte le protocole, 10 en le transgressant) étant rédhibitoire (intervalle de confiance de -152.6 à 99.5, proprement inutilisable !) Si vraiment on voulait à tout prix faire dire quelque chose à cette étude, la conclusion (qui serait elle aussi fallacieuse) serait qu’on aurait 5 fois plus de risque de développer une forme grave en ayant été vacciné qu’en ayant reçu le placebo !
Dans une récente -et tonitruante prise de position, Peter Doshi, rédacteur associé au Bristih Medical Journal, appelle à plus de détails et de données brutes en soulevant d’autres irrégularités que celles présentées ici :
« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats spectaculaires en termes d’efficacité : Pfizer a rapporté 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres ont été éclipsés par une catégorie de maladies appelée « covid-19 suspecté », c’est-à-dire les cas de covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer, il y a eu « 3410 cas totaux de covid-19 suspecté mais non confirmé dans l’ensemble de la population étudiée, 1594 dans le groupe vaccin contre 1816 dans le groupe placebo ».
Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y a pas eu de résultat positif au test PCR. En effet, il est d’autant plus urgent de la comprendre. Une estimation approximative de l’efficacité du vaccin contre les symptômes du covid-19, avec ou sans résultat positif au test PCR, serait une réduction du risque relatif de 19% (voir note de bas de page) – bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% pour l’autorisation fixé par les régulateurs. Même après avoir éliminé les cas survenant dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sur le vaccin de Pfizer contre 287 sur le placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité à court terme du vaccin, l’efficacité du vaccin reste faible : 29% »
La FDA quant à elle indique ceci :
Il n’y a (…) actuellement pas assez de données pour tirer des conclusions sur la sécurité du vaccin dans des sous-populations telles que les enfants de moins de 16 ans, les femmes enceintes et allaitantes, et les personnes immunodéprimées… (le) risque de maladie aggravée par le vaccin au fil du temps, potentiellement associé à une immunité décroissante, reste inconnu.
3/ La vaccination telle qu’elle est pratiquée actuellement est contraire au droit de la santé.
Contrairement à ce qui nous est dit, la campagne de vaccination en cours est une expérimentation à large échelle sur la population, ce qui est expressément prohibé par l’éthique médicale et la législation : la date finale de la recherche sur le vaccin Pfizer est fixée pour janvier 2023 ! Ce qui veut dire que tous les vaccinés sont bel et bien des sujets d’une expérimentation n’offrant pas les garanties prescrites de sécurité.
4/ Le vaccin génique à ARN messager présente bel et bien des risques énormes.
Dans la cacophonie en cours, il est bien entendu impossible au citoyennes et citoyens d’évaluer ces risques. Les autorités scientifiques et médicales (largement captives d’un environnement de corruption systémique) se veulent rassurantes en minimisant les risques graves qui pourraient advenir tant pour les personnes que pour la collectivité. Cela nous semble problématique eu égard à la réalité des risques suivants :
a. Un risque connu (que rien ne peut sérieusement exclure a priori sans un recul temporel suffisant) est celui que le vaccin génique, au contraire, fasse exploser le nombre de formes graves de Covid. Voici ce que soulignent Cardozo et Veazy dans The International Journal of Clinical Practice au sujet du « consentement éclairé » des patients :
« Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les personnes vaccinées à une maladie plus grave que si elles n’étaient pas vaccinées. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le VRS n’ont jamais été approuvés, et les données générées lors du développement et des essais de ces vaccins laissent entrevoir un grave problème mécanique : les vaccins conçus de manière empirique selon l’approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou minimalement modifié pour provoquer des anticorps neutralisants), qu’ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d’ADN ou d’ARN et quel que soit leur mode d’administration, peuvent aggraver la maladie COVID-19 par un renforcement dépendant des anticorps (Antibody Dependent Enhancement). Ce risque est suffisamment occulté dans les protocoles d’essais cliniques et les formulaires de consentement pour les essais de vaccins COVID-19 en cours pour qu’il soit peu probable que les patients comprennent bien ce risque, ce qui empêche les sujets de donner un consentement véritablement éclairé dans le cadre de ces essais
Conclusions tirées de l’étude et implications cliniques : Le risque spécifique et significatif de COVID-19 d’EAD aurait dû être et devrait être divulgué de manière visible et indépendante aux sujets de recherche actuellement en cours d’essais de vaccins, ainsi qu’à ceux qui sont recrutés pour les essais et aux futurs patients après l’approbation du vaccin, afin de répondre à la norme d’éthique médicale de compréhension du patient pour le consentement éclairé. »
La vaccination risque très clairement de provoquer chez certains sujets une sur-réaction immunitaire conduisant à cette fameuse « tempête de cytokines » aux effets dévastateurs. C’est entre autres la position de la Dresse Dolorès Cahill, experte auprès de nombreuses agences de santé et généticienne moléculaire à l’Université de Dublin, qui a prédit de manière très controversée une flambée de mortalité et d’hospitalisations suivant de quelques semaines ou de quelques mois la vaccination. Il se pourrait (mais là aussi il convient d’être prudent) que nous soyons en train d’observer un phénomène de cet ordre dans les pays qui font la « course en tête » avec le vaccin génique.
b. Un autre risque est celui de la transcription inverse de l’ARN au sein de notre ADN. Les vaccins à ARN messager sont censés ne pas pouvoir affecter ou modifier notre ADN, ce qui est théoriquement vrai sous les réserves suivantes : certains virus (la plupart anodins, qui peuvent très bien se trouver dans certaines cellules de certains vaccinés) peuvent en effet « rétro-transcrire » l’information de l’ARN messager dans notre code génétique ! C’est notamment le cas des rétro-virus (comme le HIV), raison pour laquelle la séroprévalence au HIV était un critère d’exclusion de la recherche. Mais d’autres virus peuvent être impliqués et conduire à des conséquences dangereusement imprévisibles. Qu’on le veuille ou non, nous sommes dans un type de thérapie pouvant faire de nous des OGM – à ce sujet, la dernière interview d’Alexandra Henrion Caude (censurée en quelques heures sur Youtube mais qui peut être visionnée ici) donne une masse d’informations pertinentes.
c. Le dernier phénomène inquiétant qui ne peut être exclu est celui d’une recombinaison virale. L’injection de l’ARN messager codant la protéine Spike entrera tôt ou tard dans un terrain occupé par d’autres virus à ARN. Les virus étant friands d’échange de matériel génétique, il est inévitable que la vaccination concoure à produire tôt ou tard de nouveaux mutant qui peuvent (principe de Murphy ?!) s’avérer terriblement dangereux. Les experts nous rétorquent que le risque est minime. Un contre-argument qu’il faut entendre me semble-t-il (c’est celui avancé par le Pr Christian Vélot, généticien moléculaire à l’Université de Paris-Saclay et président du Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique) est que même en admettant une probabilité d’occurrence de 1/10’000’000 ou 1/100’000’000, en vaccinant un ou plusieurs milliards d’individus comme on semble hélas bien partis pour le faire, on s’expose de facto à un accident microbiologique qui peut être dévastateur.
Tout ceci fait beaucoup. Ce n’est certes que la xième étape d’une gestion calamiteuse et catastrophique d’un virus assez banal, qu’on aurait pu combattre bien plus efficacement avec de simples mesures éprouvées et de bon sens.
Conclusion
Même si la panique collective et l’agenda corrompu des gouvernants nous ont mis -littéralement- cul par-dessus tête, pourquoi ne pas en revenir aux fondamentaux les plus solides, et écouter les meilleurs spécialistes ?
L’ancien vice-président (et directeur de la recherche !) de Pfizer, Le Dr Michael Yeadon, a déposé une pétition / motion urgente en compagnie du Dr Wolfgang Wodarg auprès de l’Agence européenne du médicament (EMA) pour un moratoire immédiat sur le vaccin génique, dont l’argumentaire (en anglais) peut être consulté ici.
Quant à Christian Perronne (qui a présidé pendant dix ans ans la commission des maladies transmissibles à la Haute autorité de santé), il rappelle opportunément que vacciner une population entière pour une maladie qui a une mortalité de 0,05% est juste insensé. Jouer avec de l’ARN messager sur une population saine étant ici pour Alexandra Henrion Caude (une des meilleures spécialistes françaises de cette technologie) et selon ses propres termes « de la pure folie » au regard des conséquences possibles…
Depuis bientôt une année, nos gouvernements et les panels d’ « experts » qui les influencent nous imposent des mesures qui sont contre-productives et bien plus destructrices que ce qu’elles prétendent combattre. Espérons que le vaccin génique imposé à la hâte ne sera pas l’acmé dévastateur de ce délire ! Avec un avertissement pour terminer de mon informateur :
« En tant que chirurgien confronté à la nécessité de respecter le devoir d’information pour obtenir le « consentement éclairé », et en tant qu’expert pour de nombreux litiges médicaux, je suis extrêmement sensible à ce point (on se fait la plupart du temps coincer à cause du manquement au devoir d’information.)
Ce consentement, avec ce nouveau vaccin, ne peut tout simplement pas être obtenu, puisque personne ne sait ce qui se passe, ni en termes d’efficacité ni de dangerosité.
C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. »
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Source : Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses – Anthropo-logiques