Vaccination : Témoignage d’une maman – Injection Prévenar 13
TÉMOIGNAGE d’UNE MAMAN
Notre fils est né le 10 juillet 2017.
Le 10 octobre 2017, il reçoit une injection de Prévenar 13. Tout se passe bien. Du moins en apparence.
Le 10 novembre 2017, il reçoit une injection d’Infanrix quinta à 10h30 chez notre médecin traitant.
Notre fils est un bébé plutôt “facile”, ne pleurant presque jamais, habituellement souriant, mais de retour chez nous après ce vaccin, quelque chose ne va pas. Il a été “ronchon” cette journée, donnant l’impression d’être souffrant.
A 19h30, je l’allonge dans son parc. A peine partie, je m’aperçois qu’il a perdu connaissance. Je le prends, essaie de le “réveiller”, aucune réaction, une véritable poupée de chiffon…dans la panique, je sors en dehors de notre maison appeler de l’aide, je le stimule, j’essaie tant bien que mal de le faire revenir à lui mais rien n’y fait…je tente de reprendre mes esprits et j’appelle le SAMU, toujours avec notre fils inerte dans mes bras. La dame à l’autre bout du fil me pose des questions mais j’avoue avoir du mal à y répondre et à me concentrer sur ce qu’elle me dit je veux juste que quelqu’un arrive vite et réveille mon bébé!
C’est un véritable cauchemar! Au bout de quelques minutes, notre fils se met à vomir, toujours inconscient, sa tête retombant sur mon épaule….il reprendra connaissance seulement plusieurs Minutes après…tout ceci a duré environ 7/8 Minutes, qui m’ont paru interminables et surréalistes…. Les pompiers arrivent, notre fils est tout juste en train “d’émerger”, il est pâle, hypotonique, perdu… Le SAMU arrive à son tour et le transporte à l’hôpital. S’en suivent 24 h d’observation. Des prises de sang qui ne révèlent aucune infection, pas de fièvre.
Un pédiatre vient nous voir dans la chambre le lendemain de son entrée à l’hôpital. Il nous interroge sur les évènements de la journée. Je lui explique, et lui demande d’ouvrir un dossier à la pharmacoVigilance (signalement effet secondaire après vaccination), pour nous pas de doute….il tâtonne, nous disant que “oui peut être que ça pourrait être lié…mais peut être que ce n’est qu’une coïncidence…”. Il nous propose donc de réaliser des examens pour vérifier si notre fils présente des régurgitations importantes, nous expliquant que son malaise peut être uniquement lié aux régurgitations, qu’un reflux important peut être douloureux et peut être responsable d’un malaise et comme notre fils à vomi pendant son malaise….je lui répond que ça me paraît peu probable, son dernier biberon ayant été pris à 16h00 et le malaise à 19h30….nous acceptons néanmoins de vérifier cette hypothèse.
Une semaine plus tard une PH métrie de 24h + naso fibroscopie sont effectuées : Rien à signaler de ce côté….Le pédiatre nous fait donc part de ces résultats dans son bureau. Je lui demande donc, compte tenu du fait que rien ne peut écarter le vaccin mais que d’autres “pathologies” ont été écartées, de nous établir un certificat de contre-indication. Il nous répond qu’il n’établira pas ce certificat, qu’il ne voit pas le problème, et que nous devons faire le prochain vaccin sous hospitalisation de 24 heures.
Surpris par cette proposition mon mari lui demande : « et si notre enfant fait un arrêt cardiaque, qu’allez-vous faire » voici la réponse du pédiatre : «et bien nous aurons de quoi le réanimer »…..conversation surréaliste! Nous expliquons qu’il en est hors de question, que leur manque de maîtrise justifie de prendre des précautions et que si nous étions confrontés à une réaction allergique à tout autre médicament il aurait été évident qu’il nous aurait demandé de stopper la prise de ce médicament…nous n’insistons pas sur le certificat mais demandons une nouvelle fois qu’il déclare cet événement à la pharmacoVigilance. Les semaines passent, nous prenons du recul, tentons “d’oublier” un peu cet évènement. Nous nous concentrons sur le bien être de notre enfant. Il continue d’évoluer “normalement”, n’a pas l’air d’avoir gardé de séquelles visibles de cet événement.
Nous n’avons aucune nouvelle de notre médecin traitant, qui a pourtant reçu le courrier de l’hôpital et est au courant de ce que notre fils à vécu quelques heures après être sorti de son cabinet et avoir été vacciné par ses soins…puis en janvier 2018, je me replonge dans cette histoire, consciente que le fait de ne pas continuer à vacciner notre fils nous posera des problèmes pour sa vie en collectivité.
Je commence par reprendre la notice du vaccin…et je m’aperçois qu’il est mentionné noir sur blanc, sous la ligne “effets secondaires graves à signaler immédiatement au médecin” -> PERTE DE CONNAISSANCE….aussi appelé hypotonie hypo réactivité. Je m’aperçois que la réaction du pédiatre, tentant de minimiser la possibilité d’une réaction liée au vaccin est complément hypocrite….je m’aperçois également qu’il n’a pas transmis de dossier à la pharmacoVigilance (pourtant obligatoire), je m’en occupe et rédige donc Moi-même cette déclaration. Je reprends ensuite contact avec notre médecin traitant. Nous le revoyons en février, soit 4 mois après l’évènement, sans qu’il ait même pris la peine de prendre des nouvelles de notre fils. Sans qu’il ne vérifie lui-même non plus, qu’une déclaration avait bien été faite.
À notre arrivée, je refais un point avec lui sur les événements. Il me tend un courrier du CHU de Tours faisant suite à notre dossier pharmaco vigilance. Il est mentionné qu’effectivement la Valence coqueluche peut engendrer cet effet secondaire. Il est mentionné sur sa version : “habituellement, il est déconseillé de continuer la vaccination avec cette Valence”. Je demande à notre médecin un certificat de contre-indication. Il me répond au départ que ça n’existait pas. Voyant la tournure, je commence à lui expliquer que je suis écœurée de ce genre de comportement…il finit par nous avouer que si c’était son enfant il ferait la même chose que nous mais “ne peut pas prendre le risque de nous délivrer un certificat de contre-indication à la vaccination et d’avoir le conseil de l’ordre des médecins sur le dos”.
Par contre quand nous lui demandons quelles responsabilités il prend face à une nouvelle injection, il nous répond qu’il est hors de question pour lui de continuer de vacciner notre fils, il ne prendra pas de risque et nous enverra ailleurs…etc….bref, il finit par nous délivrer un certificat de contre-indication à l’infanrix quinta seulement.
Malheureusement ce certificat ne nous suffit pas..puisqu’aussi énorme que ça puisse paraître notre enfant doit toujours être en règle avec la loi et continuer le schéma de vaccination avec le DTP : avec le kit DTvax Diphtérie Tétanos et Immovax Polio…alors qu’aucun médecin n’est capable de nous expliquer la réaction de notre enfant, s’il a réagi à une Valence / aux adjuvants, que des adjuvants et valences présents dans l’Infanrix le sont également dans les autres vaccins, et que personne ne peut nous garantir que notre enfant n’aura pas un nouvel effet secondaire face à une nouvelle injection.
Nous avons donc décidé d’arrêter toute cette mascarade, de protéger notre enfant, de ne jamais le revacciner. Notre enfant est donc, à cause de cette loi et de la lâcheté évidente des médecins, exclu de la société, sans certificat de contre-indication à toutes les substances présentes dans ces vaccins. Je ne peux aujourd’hui pas reprendre le travail (nous avions trouvé une nourrice qui a été menacée par la PMI de retrait d’agrément si elle acceptait d’accueillir notre fils), et notre enfant n’ira peut-être pas à l’école si la situation de change pas. En résumé, nous avons deux choix : revacciner notre enfant, donc lui faire prendre un risque vital, pour lui permettre d’accéder aux collectivités / ou bien, arrêter la vaccination et il sera rejeté de la vie en société à cause de l’obligation vaccinale. Nous avons donc décidé d’attaquer en justice, ce qui implique pour nous des frais énormes…
Nous sommes prêts à nous battre et nous sommes déterminés à ne pas céder face à la pression que nous subissons depuis plusieurs mois, nous “jouons” la vie de notre fils, il n’y a pas d’hésitation…nous souhaitons pour lui qu’il puisse aller à l’école, mener une vie “normale”, il n’a pas à être puni d’avoir été victime des effets secondaires, c’est aberrant!
Voilà pour notre témoignage.
Cordialement,
Maman J