27 métaux dans nos vaccins

Peu de candidats ont parlé de la vaccination dans cette campagne électorale. Pourtant, plus d’un million de personnes ont manifesté leur inquiétude à ce sujet l’année dernière, mais d’autres thèmes étaient plus urgents semble-t-il. Le terrorisme, qui a fait près de 100 morts sur notre sol depuis juin 2016, était plus important que les vaccins, qui tuent sans doute – discrètement – bien plus de gens chaque année.

Tout préoccupés des soubresauts de la campagne présidentielle, vous n’avez sans doute pas vu passer cette étude, réalisée par les docteurs Antonietta M. Gatti et Stefano Montanari pour le Conseil national de recherche d’Italie et publiée dans l’International Journal of Vaccines and Vaccination le 23 janvier dernier. Les deux chercheurs ont analysé 44 types de vaccins venant de France et d’Italie et devinez quoi ? L’étude a révélé la présence de métaux à taille nanométriques de (tenez-vous bien !).

27 nano-métaux

dans les vaccins

tungstène,

titane,

zirconium,

hafnium,

strontium,

aluminium,

nickel,

fer,

antimoine,

chrome,

or,

zinc,

platine,

argent,

bismuth,

cérium,

cuivre,

plomb,

étain,

baryum,

vanadium,

magnésium,

soufre,

silicium,

calcium,

sodium,

manganèse…

Si, si, vous avez bien lu !

Rappelez-vous que la toxicité des métaux est démultipliée par la taille nanométrique de ces particules (qui peuvent atteindre l’ADN) et que, combinés les uns aux autres, on ne sait rien de leurs effets. On peut donc craindre le pire.

Voici les effets biologiques de ces métaux

(source Morpheus.fr)

  • Le tungstène

L’injection (intramusculaire) de microparticules d’un alliage de tungstène (contenant 91,1 % de tungstène, 6 % de cobalt et 2,9 % nickel) chez des rats de laboratoire a rapidement causé l’apparition de cancers avec tumeurs métastatiques agressives sur le site d’implantation.
On trouve cependant du nano tungstène combiné ou non, dans les vaccins Infanrix Hexa, Typhérix, Priorix du laboratoire GlaxoSmithKline, dans le vaccin Menjugate de Novartis, dans les vaccins Prevenar et Meningitec du laboratoire Pfizer, dans le vaccin Meningitec de Wyeth Pharmaceutical (UK).

  • Le strontium

Le strontium non radioactif est toxique pour l’animal et l’humain. En synergie avec d’autres produits tel le chrome, il provoque des cancers du poumon. Le strontium sous forme de carbonate (SrCO3) ingéré peut provoquer des crampes, la contraction douloureuse de différents muscles. Le nitrate de strontium (SrNO3) engendre des problèmes cardiaques, pulmonaires, hépatiques et rénaux.
On retrouve un combiné nano de strontium/aluminium dans le vaccin anti-typhoïde Vivotif Berna du laboratoire Berna Biotech.

  • Le chrome

L’ingestion de sels de chrome entraîne inflammation du tube digestif, nécrose, diarrhées hémorragiques, puis coma.
Il est cependant présent en combinaisons nanométriques dans les vaccins : Typhim de Adventis Pasteur ; Mencevax, Infanrix Hexa, Typherix, Fluarix, Cervarix du laboratoire GlaxoSmithKline, Anatetal, Dif-Tet-All, Focetria, Agrippal, Menveo du laboratoire Novartis ; Prevenar 13 et Meningitec du laboratoire Pfizer ; Vaxigrip, Stamaril, Repevax, MMR Vaxpro du laboratoire Sanofi-Pasteur.

  • L’hafnium

L’hafnium sous la forme de métal ne pose normalement pas de problème. Il y a très peu d’études dessus. Par contre, tous les composés du hafnium sont considérés comme toxiques.
Le composé ZrAlHaf (zirconium aluminium hafnium) retrouvé dans le vaccin anti-typhoïde du laboratoire Berna Biotech a toutes les chances d’être un toxique aux effets totalement inconnus sur la santé.

  • L’antimoine

Vu la grande toxicité de l’antimoine, Santé Canada a émis une norme provisoire pour la concentration maximale acceptable pour l’eau potable qui est de 6 µg/L.
Par contre, l’antimoine semble toléré dans les vaccins. On en retrouve dans le vaccin Menjugate de Novartis.

  • Le bismuth

Le bismuth est très toxique engendrant des dégâts sur le foie, les reins. C’est un neurotoxique affectant l’ensemble du système nerveux central. Ses effets sur l’embryon ou le fœtus n’ont jamais été étudiés.
On en retrouve cependant dans les vaccins : Varilix et Fluarix du laboratoire Glaxo ; Agrippal de Novartis ; Gardasil, Repevax, MMR-Vaxpro de Sanofi Pasteur.

  • Le baryum

L’intoxication aiguë au baryum chez l’homme se manifeste par plusieurs signes et symptômes tels que des douleurs abdominales intenses, des diarrhées sanglantes, des troubles cardio-vasculaires. L’intoxication aiguë peut aussi se solder par la mort, soit à cause d’une insuffisance respiratoire, soit en provoquant un problème cardiaque.
On en retrouve dans le vaccin Tetabulin du laboratoire Baxter, le vaccin Anatetal du laboratoire Chiron, dans les vaccins Infanrix Hexa, Typherix, Fluarix du laboratoire GlaxoSmithKline ; dans les vaccins Anatetal, Dif-Tet-All, Agrippal, Fluad, Menveo du laboratoire Novartis, dans Prevenar 13 de Pfizer, dans Gardasil, Repevax, MMR-Vaxpro du laboratoire Sanofi Pasteur…

Des accidents de fabrication ?

Bien entendu, les laboratoires ne font aucune mention de la présence de ces nanométaux dans leurs vaccins. On pourrait imaginer qu’il s’agit d’accidents de fabrication, car à cette taille, la moindre cuve laisse des traces. Mais alors comment comprendre que la formule AlSiTi (aluminium, silicium, titane) par exemple, se retrouve dans les vaccins des laboratoires Berna Biotech, Novartis et Glaxo-SmithKline…

Aucun remède

Michel Dogna, qui m’a informé de l’existence de cette étude, m’avouait : « Lorsque l’on me demande ce qu’on peut faire pour effacer les miasmes toxiques après des vaccinations, je dis maintenant que je n’en sais rien. En l’occurrence, la méthode Elmiger bien connue ne traite que le bouillon de culture vaccinal par voie homéopathique, mais ne peut avoir aucun effet probable sur les nanoadditifs qui s’infiltrent partout au travers des tissus organiques, y compris au travers de la barrière encéphalique, donc dans le cerveau. »

Au fait, on trouve des nanoparticules dans des crèmes solaires, des jouets, des vêtements, des produits alimentaires, des médicaments, des bonbons, des cosmétiques, de la céramique, de la peinture, et de nombreux autres produits de notre quotidien.

Je ne sais pas quel est le plan qui sous-tend l’addition de ces nanométaux dans les vaccins, mais je ne vois là rien de bon. Notre futur président, sans doute préoccupé de notre santé, serait bien inspiré d’aller mettre son nez là-dedans. Le fera-t-il ? J’en doute. Il y a plus urgent, nous dira-t-on.

Alors tenons-nous à l’écart en prenant soin de notre santé, tout seuls. Nous publierons bientôt un article sur les différents moyens de contourner la vaccination obligatoire, mais j’en vois un, tout simple, ne pas faire les rappels.

 

via Alternative Santé – 27 métaux dans nos vaccins – Alternative Santé

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