Pédophilie: Daniel Cohn Bendit avoue sur un plateau tv aimer les enfants

via Pédophilie: Daniel Cohn Bendit avoue sur un plateau tv aimer les enfants – YouTube


Daniel Cohn-Bendit, le hasch et les enfants

Sur le plateau d’Apostrophe en 1982, Daniel Cohn-Bendit évoque son travail avec les enfants et joue à fond la carte de la provoc’. En 2009, l’extrait, opportunément diffusé sur Internet depuis quelques jours, fait le buzz.

Voilà une petite séquence vidéo qui, complaisamment relayée par Internet après sa mise en ligne la semaine dernière par le site Arrêt sur Images, va encore beaucoup faire parler d’elle. Elle vient à point appuyer les accusations de pédophilie proférées à l’encontre de Daniel Cohn-Bendit et reprises à demi-mots par François Bayrou, qui ont coûté si cher le 7 juin au leader du MoDem – ce dernier a d’ailleurs appelé Daniel Schneidermann, le patron d’Arrêt sur Images, pour le remercier de cette diffusion qui, lui a-t-il confessé, aurait failli le faire « pleurer ».

Dans un extrait de 1982 de l’émission Apostrophes, animée par Bernard Pivot, on voit un « Dany » chevelu et vêtu d’un blouson noir asticoter avec gourmandise l’écrivain et journaliste Paul Guth, décédé en 1997. Il avoue avoir pris avant l’émission un « petit gateau au hasch » et se sentir « décontracté ».

Puis il évoque les jardins d’enfants alternatifs, qu’il décrivait dans son livre de 1975, Le Grand bazar. Il explique s’occuper à l’époque de « huit petits gosses de 16 mois à deux ans ». « Je vais leur torcher le cul, ils vont me chatouiller et je vais les chatouiller… » – « A condition qu’il n’y ait pas trop de papouilles », proteste gentiment Paul Guth – « Oh, c’est ridicule », sourit l’ancien leader étudiant.

Avant d’en remettre une bonne louche de provoc’: « La sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique, faut être honnête. J’ai travaillé auparavant avec des gosses qui avaient entre 4 et 6 ans. Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c’est fantastique, c’est un jeu érotico-maniaque… » – « Vous me troublez », répond Guth. « Oh, non pas tant que ça car vous vous y attendiez… » rigole son interlocuteur.

En 2001, alors que L’Express lançait une première fois la polémique, Bernard Pivot rappelait dans le Journal du Dimanche, à propos de l’émission, que « Daniel Cohn-Bendit n’avait été interpellé là-dessus par aucun des invités de l’émission. Ni par un homme d’ordre, le préfet Maurice Grimaud, ni par un catholique traditionaliste, Michel de Saint-Pierre, ni par le philosophe François Châtelet. Ni par moi non plus. Aucune protestation dans la presse, y compris à l’Express. »

Dans L’Express, qui revenait sur ses propos sur les enfants, en 1975, dans Le Grand bazar, Daniel Cohn-Bendit se justifiait, évoquant ses « remords d’avoir écrit tout ça », et expliquait qu’il avait voulu « épater le bourgeois ». Huit ans après, il l’épate toujours.

Source : http://www.lexpress.fr/actualite/politique/daniel-cohn-bendit-le-hasch-et-les-enfants_766524.html


Les extraits du livre de Daniel Cohn-Bendit qui font polémique

Dans son livre « Le Grand Bazar », publié en 1975 chez Belfond, Daniel Cohn-Bendit évoque son activité d’éducateur dans un jardin d’enfants « alternatif » à Francfort :

« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : ‘Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ?’ Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ». « J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi « .

La polémique

Les propos de François Bayrou contre Daniel Cohn-Bendit, jeudi soir 4 juin lors du débat télévisé sur les européennes dans l’émission « A vous de juger », faisaient allusion à une polémique suscitée en 2001 par des écrits de l’ex-leader de Mai 1968 sur la sexualité des enfants.
Répondant, jeudi, au candidat d’Europe Ecologie qui avait estimé qu’il ne serait jamais président de la République car « trop minable », le président du MoDem avait répliqué en jugeant « ignoble d’avoir poussé et justifié des actes à l’égard des enfants que je ne peux pas accepter ».
La polémique était née en Allemagne début 2001 lorsque Bettina Roehl, fille de Ulrike Meinhof, terroriste décédée, avait publié sur internet des extraits litigieux d’un livre du député européen des Verts, sorti en 1975 en France.
L’affaire avait rebondi en France quand, en février 2001, L’Express avait publié des passages du livre incriminé « Le grand bazar », qui n’avait soulevé aucune critique lors de sa publication.

« Des remords »

Daniel Cohn-Bendit, ancien éducateur dans un jardin d’enfants autogéré de Francfort avait ensuite démenti tout acte pédophile et soutenu que ses écrits reflétaient l’esprit de l’époque de « provocation contre le bourgeois ».
« Ce qui est écrit dans « Le grand bazar » n’est « pas une réalité », mais « un condensé de faits observés », avait déclaré Daniel Cohn-Bendit. « J’ai raconté ça par pure provocation, pour épater le bourgeois » (…) et « sachant ce que je sais aujourd’hui des abus sexuels, j’ai des remords d’avoir écrit tout cela ».

Laisser un commentaire