Paris : Le gouvernement interdit une manifestation anti-djihad mais autorise celle d’extrémistes islamistes
BREIZATAO – POLITIKEREZH (25/11/2017) Alors que Génération Identitaire devait organiser une manifestation contre l’islamisme à Paris, celle-ci a été annulée par la préfecture de police de Paris. En revanche, la manifestation du groupe racialiste afro-musulman du « Parti des Indigènes de la République » a été autorisé.
Le Parti des Indigènes de la République, mené par l’algérienne Houria Bouteldja, se revendique du racialisme africain et musulman. Il théorise d’ailleurs la lutte raciale contre les Blancs. Pour Bouteldja, les Français de souche sont des « souchiens » selon un jeu de mots évocateurs.
Elle déclare sans ambages que l’avenir déterminera le génocide des Blancs (source) :
Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le prenez pas, demain, la société toute entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc. Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront çà. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres. Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous. C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux ; si vous voulez sauver vos peaux, c’est maintenant. Les Indigènes de la République, c’est un projet pour vous ; cette société que vous aimez tant, sauvez-là… maintenant ! Bientôt il sera trop tard : les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme. Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs.
On le retrouve dans les événements interdits aux Blancs ou la défense de djihadistes tels que Bertrand Nzohabonayo, auteur de l’attentat manqué de Joué-les-Tours au nom de l’Etat Islamique.
On retrouve ainsi son visage sur les banderoles des manifestations du PIR.