Rumeurs de « fake news » sur Gardasil et cancer, au sujet de données officielles des registres des cancers de pays étrangers !

INQUIETUDES A PROPOS DU GARDASIL A L’ETRANGER 

Contrairement à l’affirmation du docteur Jean Gondry «  dans le reste de l’Europe, il n’y a pas de fake news  ! », le sujet taraude de nombreux pays européens. Deux chauds partisans déclarés de la vaccination A Castanon en Grande Bretagne et Dillmer en Suède viennent de reconnaître récemment la réalité de l’augmentation des cancers du col dans leurs pays respectifs depuis la vaccination. Au Danemark, en Grande Bretagne, en Autriche, comme en France des témoignages sur les complications graves du vaccin ont fait chuter spectaculairement la vaccination. En Irlande, de nombreuses manifestations des victimes du Gardasil et de leurs familles ont récemment eu lieu.En Italie, les manifestations contre l’obligation vaccinale et le tout récent rapport sénatorial prouvant la toxicité des vaccins administrés lors de la guerre du Golfe montrent que l’inquiétude est ici aussi croissante.

références au bas de l’article.

 

Rumeurs de « fake news » au sujet de données officielles des registres des cancers de pays étrangers ! On n’arrête pas le progrès en France-Titanic.

 

Michel Cymes, le Parisien, l’agence France Presse, de nombreux médias classiques et web prétendent dénoncer des « Fake news » alors qu’ils en diffusent quasi quotidiennement ! Ignorance, crédulité ou corruption ?

Réponse à leurs désinformations, par Dr G et N Delépine, cancérologues.

 

Les journalistes s’étonnent de la défiance montante de la population envers leurs pratiques, dont le mouvement des gilets jaunes incarne la puissance du rejet. Mais jadis les journalistes vérifiaient les informations qui leur parvenaient avant de les diffuser. Apparemment ce n’est plus le cas, ni au Parisien libéré, ni à l’émission de Michel Cymes[1], ni à l’Agence France Presse[2], ni sur France info, LCI [3] ou le site « Pourquoi docteur »[4] (entre autres sites web).

Beaucoup de ces médias se sont fait de plus complices du non-respect de la loi par les médecins auxquels ils ont donné la parole (obligation de déclaration signalée dans l’article de leurs liens d’intérêt). Nous avons déjà dénoncé cette nouvelle « habitude » il y a quelques semaines sur agoravox et notre site [5] [6] et exhorté les journalistes à étayer leurs affirmations par des sources fiables et non des « rumeurs »[7] ou des simulations (sans le préciser clairement).

Nous avons tenté d’inciter collègues et journalistes à plus de clairvoyance lors de leur attaque sans tact ni modération de l’ex député et lanceur d’alerte le docteur G Bapt [8], oubliant qu’il fut le lanceur d’alerte politique efficace dans l’affaire Médiator qui a néanmoins trop duré, permettant de nouvelles victimes dans l’attente du « réveil » de l’agence du médicament.

 

Le quotidien le Parisien, les rumeurs et les fake news. Orwell toujours : la paix, c’est la guerre, la liberté, c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force.

La vérité, c’est le mensonge.

Que les philosophes nous expliquent encore cette reproduction régulière des maux les plus graves de l’Humanité… Orwell l’a écrit. [9]

 

 L’ augmentation du taux de cancer du col chez les jeunes femmes vaccinées serait une fausse information !

 Dans un article du 9 1 2019 intitulé : «  vaccin contre le cancer du col de l’utérus : les gynécologues en guerre contre les fake news  » Elsa Mari, journaliste au Parisien propage de fausses informations, prétendant, entre autres, « qu’il n’y a pas d’augmentation du nombre de cancers du col chez les jeunes après la vaccination ». Cette désinformation est grave et préjudiciable aux jeunes ciblés (filles et bientôt garçons) et aux contribuables qui vont payer pour des vaccins non efficaces et parfois dangereux (effets secondaires connus et répertoriés par l’ ANSM et accélération probable d’apparition de cancer du col de l’utérus).

 

Le plan cancer quand il arrange pour imposer les traitements nouveaux aux dépens des traitements éprouvés. [10] Des cancérologues n’auraient pas la compétence pour étudier les cancers du col utérin ?

 Dans cet article, le gynécologue Jean Gondry[11] dénonce deux médecins (le docteur Nicole Delépine et le docteur Gerard Delépine ) avec pour argument « ce ne sont même pas des gynécologues ». Prétend-t-il qu’il est inapproprié de parler de cancer quand on est cancérologue ? Remet-il en cause le plan cancer qui impose la présence d’un cancérologue aux réunions de concertation multidisciplinaire pour les cancers du col de l’utérus comme pour tous les cancers ?

 

 AUCUNE ARGUMENTATION SCIENTIFIQUE SUR DES FAITS AVERES ET CONFUSION INFECTION ET CANCER

Curieusement, l’argumentation qu’il développe pour démentir l’augmentation de cas et d’incidence des cancers invasifs après vaccination ne cite aucun chiffre brut, ni d’incidence de cancer invasifs avant et depuis vaccination, mais parle seulement d’infections à HPV, et des anomalies prétendument précancéreuses CN1, CN2 et CN3 qui, rappelons-le, sont des lésions bénignes qui précèdent parfois, mais très rarement, un cancer [12] ( risque qu’une telle lésion précède un jour un cancer de 1% pour les CN1, 5% pour les CN2 et 12% pour les CN3 selon leurs grades !).

 

Il oublie aussi de préciser que ces informations qu’il juge « erronées et dangereuses » représentent l’exacte reproduction des données des registres officiels du cancer en particulier d’Australie, de Grande Bretagne et de Suède.

Comme nous sommes bienveillants, (ainsi qu’il sied aux relations entre confrères), nous cherchons des explications à ses propos calomnieux, qui confinent à la diffamation [13] : peut-être que sa qualité de gynécologue ne l’a pas habitué à consulter les registres du cancer ou qu’il n’en a pas le temps.. Nous lui rappelons donc les informations publiées dans ces registres, qui sont de plus parfaitement détaillées dans notre récent livre[14] qui donne toutes les références des sources afin qu’il puisse facilement les vérifier par internet, de même que toutes les personnes dubitatives.

 

RAPPEL DES DONNEES PUBLIEES

L’Australie a été le premier pays à organiser la vaccination systématique pour les filles de 12 -13 ans (dès 2007), avec vaccinations de rattrapage pour les 14-26 ans (dès 2009), ce que parait ignorer -ou veut ignorer- la Société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale, lorsque son président proclame « les premières jeunes filles vaccinées en 2007, date de mise en place du vaccin, et qui avaient à l’époque autour de 11 ou 12 ans, n’avaient pas encore 20 ans en 2014, à la fin de l’enquête. Ce qui invalide totalement le raisonnement ». En 2014 le groupe des premières filles de la vaccination atteignaient l’âge de 19-20 ans, et celui des vaccinations de rattrapage 19-31 ans[15]. Ces femmes appartenant aux groupes d’âge vaccinés ont vu leur risque de cancer invasif augmenter fortement : l’incidence[16] a augmenté de 100% pour celles de 15 à 19 ans (de 0.1 en 2007 à 0.2 en 2014)[17] 113% d’augmentation (de 0.7 à 1.5) pour celles de 20 à 24 ans, 36% (5.9 à 8) pour le groupe 25-29 et 33% (9.9 à 13.2) pour celles de 30 à 34 ans peu vaccinées, car seules les moins âgées ont été exposées aux vaccinations « de rattrapage ». Durant la même période, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer continuer à diminuer grâce au dépistage : -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même moins 31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).

La Grande Bretagne a organisé la vaccination pour les filles de 12 à 13 ans, avec un rattrapage pour les 14-18 ans dès 2008. D’après le Public Health England, la couverture vaccinale complète des filles âgées de 13 à 14 ans à 3 injections atteignait 86.7% en 2013/14. Les résultats cancérologiques sont franchement mauvais, ainsi que l’a reconnu un apôtre de la vaccination, A Castanon [18]«  on s’attendait à ce que les taux de cancer du col chez les femmes ans diminuent à partir de 2014, à mesure que les cohortes des adolescentes vaccinées entraient dans leur deuxième décennie. Cependant en 2016, les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin. Les femmes de 20 à 24 ans vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans, ont vu leur risque de cancer augmenter de 70% en 2 ans (de 2,7 en 2012 à 4,6 en 2014) et celles de 25 à 29 ans qui avaient entre 17 à 23 ans au moment de la campagne de vaccination ont vu leur risque de cancer doubler entre 2007 et 2015 (de 11 à 22). D’après Cancer Research United Kingdom, les femmes de 25 à 34 ans, (moins vaccinées, car seulement exposées aux vaccinations « de rattrapage »), ont vu leur risque augmenter de 18% (de 17 en 2007 à 20 en 2014). Et sur l’ensemble de la population exposée au cancer du col (femmes de 25 à 64 ans) l’incidence standardisée a augmenté, passant de 12.6 en 2007 à 14.1 en 2016.

En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006, et le programme de vaccination a été généralisé en 2010, avec une couverture vaccinale des adolescentes âgées de 12 ans de près de 80%.[19] En 2012–2013, avec un programme de rattrapage, la quasi-totalité des jeunes filles de 13 à 18 ans étaient vaccinées. En 2015 (derniers chiffres publiés par Nordcan, registre officiel scandinave, en octobre 2018) les jeunes femmes ciblées prioritairement par la vaccination atteignaient l’âge de 18 à 23 ans. Depuis la vaccination, ces femmes de 20 à 24 ont vu leur risque doubler, l’incidence observée passant de 1.86 à 3.7. Plus globalement, en Suède depuis la vaccination, le nombre de nouveaux cas annuels a augmenté de 27% (de 440 à 562)[20] et l’incidence standardisée du cancer invasif du col de l’utérus est passée de 9.36 en 2006, à 9.7 en 2009, 10.3 en 2012 et 11,51 en 2015.

A l’opposé, en Suède, comme en Australie et comme en Grande Bretagne, une diminution de l’incidence de cancer invasif a été généralement observée chez les femmes de plus de 50 ans, groupe non concerné par le programme de vaccination. L’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a ainsi baissé entre 2007 et 2015 de 6% pour les femmes âgées de 50 à 59 ans (de 14.24 à 13.34), de 4 % pour celles de 60 à 69 ans (12.63 à 12.04,) de 17% pour celles de 70 à 79 ans (de 15.28 à 12.66) et de 12 % pour celles de plus de 80 ans (de 15.6 à 13.68).

Pourquoi le docteur Gondry et la société française de colposcopie négligent-ils les données des registres anglais et suédois des cancers ?

 

 

Comment peut-on qualifier de « fake news  » ou d’« informations erronées et dangereuses  » les chiffres publiés par les registres officiels des cancers des pays concernés ?

Si ces données publiées sont dangereuses, c’est uniquement pour le très lucratif business model de Sanofi Pasteur, MSD et GSK[21] dont les prétentions de protection contre le cancer sont cruellement démenties.

 

INQUIETUDES A L’ETRANGER

Contrairement à l’affirmation du docteur Jean Gondry : «  dans le reste de l’Europe, il n’y a pas de fake news  ! » le sujet taraude de nombreux pays européens. Deux chauds partisans déclarés de la vaccination A Castanon en Grande Bretagne[22] et Dillmer[23], en Suède viennent de reconnaître récemment la réalité de l’augmentation des cancers du col dans leurs pays respectifs depuis la vaccination. Au Danemark[24], en Grande Bretagne [25], en Autriche, comme en France [26] des témoignages sur les complications graves du vaccin ont fait chuter spectaculairement la vaccination. En Irlande, de nombreuses manifestations des victimes du Gardasil et de leurs familles ont récemment eu lieu.[27] [28]. En Italie, les manifestations contre l’obligation vaccinale et le tout récent rapport sénatorial prouvant la toxicité des vaccins administrés lors de la guerre du Golfe montrent que l’inquiétude est ici aussi croissante[29].

 

Le lien direct de causalité entre un médicament et des complications observées est toujours difficile à démontrer. Le doute raisonnable devrait conduire à l’application du principe de précaution.

Nous n’avons jamais affirmé que cette augmentation brutale et importante du risque de cancer depuis la vaccination était due directement et/ou uniquement à celle-ci. Mais la possibilité que les particules vaccinales élaborées par génie génétique pour reproduire celles de la capsule virale agissent comme des accélérateurs du cancer invasif constitue une hypothèse crédible à prendre en compte par les autorités avant généralisation, voire obligation de la vaccination.

Il est par ailleurs certain que si les registres des cancers avaient montré une baisse d’incidence du cancer aussi nette que l’augmentation actuellement observée, nos contradicteurs auraient crié victoire et affirmé haut et fort que le vaccin en était le seul responsable.

 

SIGNAUX D’ALERTE ADDITIONNES : SIGNAL FORT

Les signaux d’alerte de la vaccination anti HPV pris séparément par groupe d’âge et par pays peuvent aujourd’hui paraître faibles, mais leur convergence dans tous les pays concernés et dans tous les groupes concernés par la vaccination, alors que les femmes âgées (non vaccinées) et la France (peu vaccinée) ne sont pas victimes de ce sur risque constitue un signal particulièrement fort. Les réponses du président de l’INCa, et du directeur général de la santé (DGS) informés officiellement de ces signaux d’alerte par l’ancien député Gérard Bapt, seront scrutées avec attention.

Rôle des autorités et vigilance

Pour remplir leur rôle de protection sanitaire du public, elles doivent au minimum initier des études urgentes par des chercheurs indépendants du lobby vaccinal et modifier les termes des annonces officielles sur le vaccin Gardasil. Elles peuvent, certes, adopter la position administrative classique de l’autruche et ne rien faire. Mais, avec les informations qui leur ont été transmises publiquement, les autorités sanitaires ne pourront plus prétendre qu’elles ne savaient pas, lors des procès potentiels futurs des familles qui auront perdu une jeune femme de cancer du col, alors qu’ils la croyaient protégée par la vaccination [30].

 

Liens d’intérêt et médecine : une loi amputée de son sens, à revoir rapidement

Les liens d’intérêts des médecins et des experts chargés de notre sécurité sanitaire constituent un cancer de notre société plus dangereux que bien des « tueurs »[31] et un anachronisme légal en pays démocratique.

Pour s’assurer l’activité vaccinale, l’état corrompt l’indépendance des médecins en accordant une prime aux gynécologues et aux pédiatres qui parviennent à faire vacciner contre le HPV une proportion élevée de leurs patientes. La démocratie repose sur l’indépendance des juges tant du pouvoir politique que des parties en présence. Un juge ne peut plus recevoir d’« épices », comme au temps des rois..

Mais les experts sanitaires peuvent allègrement cumuler des fonctions grassement rémunérées par les firmes et leur rôle de surveillance ou de promotion des produits de ces mêmes firmes. Ils ont même été encouragés à le faire par le décret de Marisol Touraine qui exclue de toute déclaration de liens d’intérêt les contrats commerciaux (affirmant ainsi la primauté des affaires sur la sécurité sanitaire) et par A Buzyn déclarant publiquement que la qualité d’un expert se juge à l’aune des ses liens avec les firmes. Quand disposerons-nous d’un vaccin efficace contre ce cancer des liens d’intérêt.

 

[1] qui cite cet article comme « modèle d’information qu’il faut encourager »

[2] © AFP / Jean-Pierre Muller 10 janvier 2019

[3] 10 janv. 12:09 – La rédaction de LCI

[4] Papillomavirus : les gynécologues partent en croisade contre les rumeurs, par Raphaëlle de Tappie publié le 11 01 2019

[5]https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/gardasil-nouvelles-salves-de-207464

[6] http://docteur.nicoledelepine.fr/gardasil-au-coeur-des-manipulations-mediatiques-pour-imposer-lobligation/

[7] docteur.nicoledelepine.fr/information-grand-public-exigeons-des-medias-quils-precisent-leurs-sources-simulations-versus-resultats-reels/

[8] docteur.nicoledelepine.fr/le-dogme-ou-la-soumission-a-lautorite-en-place-peuvent-ils-remplacer-largumentation-scientifique-en-medecine/ 24 déc 2018

[9] « 1984, Troisième partie, Chapitre 3. Ainsi, à travers l’histoire, une lutte qui est la même dans ses lignes principales se répète sans arrêt. Pendant de longues périodes, la classe supérieure semble être solidement au pouvoir. Mais tôt ou tard, il arrive toujours un moment où elle perd, ou sa foi en elle-même, ou son aptitude à gouverner efficacement, ou les deux. Elle est alors renversée par la classe moyenne qui enrôle à ses côtés la classe inférieure en lui faisant croire qu’elle lutte pour la liberté et la justice.
Sitôt qu’elle a atteint son objectif, la classe moyenne rejette la classe inférieure dans son ancienne servitude et devient elle-même supérieure. Un nouveau groupe moyen se détache alors de l’un des autres groupes, ou des deux, et la lutte recommence ».

[10] Le cancer, un fléau qui rapporte. Nicole Delépine Editions Michalon 2013. : ici un nouvel exemple sur peur et marché avec la publicité énorme pour un vaccin censer prévenir le cancer du col qui tue 1000 femmes par an en France et dont 700 seraient évitables si elles pratiquaient le dépistage par frottis. Donc on vise une réduction de mortalité de 300 femmes pour 65 millions d’habitants dont la moitié de femmes environ. Si les bénéfices visés n’entrent pas dans le sujet, le père Noel existe bien.

[11] Qui ne respecte pas la loi qui impose à tout médecin qui s’exprime en public de préciser ses liens d’intérêt avec les entreprises du médicament et en particulier avec Sanofi Pasteur et GSK qui commercialisent les vaccins anti HPV

[12] Le risque qu’une telle lésion précède un jour un cancer est de 1% pour les CN1, 5% pour les CN2 et 12% pour les CN3

[13] Car il nous accuse publiquement de « manipuler les chiffres et leurs interprétations »

[14] Gérard et Nicole Delépine, « Hystérie vaccinale – Vaccin Gardasil et cancer : un paradoxe », paru chez Fauves Editions en octobre 2018.

[15] Qui oublie ce groupe des rattrapages en prétendant :ce qui invalide totalement le raisonnement

[16] Nombre de nouveaux cas annuels pour 100000 femmes

[17] Le cancer invasif du col est rare à cet âge et pour cette raison la différence n’est pas statistiquement significative mais passer de 2 à 4 cas annuelsl après un vaccin censé supprimer le risque constitue un signal inquiétant aux conséquences dramatiques pour les jeunes filles concernées.

[18]Alejandra Castanon, Peter Sasienia : Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in

England a cause for concern  ? Preventive Medicine 107 (2018) 21–28 https://doi.org/10.1016/j.ypmed.2017.12.002

[19] Nationellt Kvalitetsregister för Cervix cancer prevention (NKCx), http://nkcx.se/templates/_rsrapport_2017.pdf [en suédois]

[20] http://www-dep.iarc.fr/NORDCAN/english/frame.asp

[21] A ce jour, plus de 200 millions de doses de vaccins anti HPV ont été vendues, rapportant près de 25 milliards de dollars.

[22] Alejandra Castanona, Peter Sasieni Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in

England a cause for concern ? Preventive Medicine 107 (2018) 21–28

[23] https://www.youtube.com/watch?v=KAzcMHaBvLs

[24] Reportage d’Arte https://info.arte.tv/fr/vaccin-anti-papillomavirus-la-fronde-danoise

[25] www.youtube.com/watch ?v=GQruoHLG4NE

[26] https://www.francetvinfo.fr/sante/cancer/vaccin-gardasil/si-ce-nest-pas-le-gardasil-d-ou-vient-ma-maladie_576721.html

[27] http://www.alterinfo.net/Des-centaines-de-victimes-protestent-contre-le-vaccin-anti-HPV-dans-les-rues-de-Dublin_a140733.html

[28] https://vaccineimpact.com/2016/irelands-hpv-vaccine-injured-fight-for-human-rights-in-dublins-high-court/

[29] http://www.wikistrike.com/2018/03/vaccins-un-rapport-parlementaire-italien-explosif.html

[30] Ce qui a déjà malheureusement été le cas de Sarah Taite, championne olympique d’aviron aux JO de Londres décédée depuis du cancer du col après avoir été vaccinée avec au moins 1 risque/ 2 de la responsabilité vaccinale.

[31] Le palmarès des tueurs en série atteint rarement 50 victimes. Le Vioxx a tué plus de 30000 américains même si cette catastrophe sanitaire aurait soit disant épargné notre pays comme le nuage de Tchernobyl. ,

 

 

via Rumeurs de « fake news » sur Gardasil et cancer, au sujet de données officielles des registres des cancers de pays étrangers ! – AgoraVox le média citoyen

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