L’agence Frontex obligée de le reconnaître : Soros et ses ONG favorisent le trafic de migrants

Sur l’immigration de masse qui submerge le continent européen en provenance de l’Afrique et du Moyen-Orient, les grands médias français taisent la complicité des ONG liées aux puissances financières visant à l’homogénéisation de peuples déracinés. En témoigne leur silence sur la colère des autorités italiennes au sujet des organisations non-gouvernementales qui participent délibérément au transport d’êtres humains depuis les côtes d’Afrique vers l’Europe, à la suite de la publication d’un rapport de l’agence Frontex.

 

L’agence de surveillance des frontières extérieures de l’UE établit que les équipages de bateaux d’ONG, cofinancées par le milliardaire George Soros, se comportent en véritables complices des trafiquants d’êtres humains : en prenant le relais durant la traversée maritime, ils permettent aux passeurs professionnels de diminuer leurs coûts de transport. Frontex relève que les passeurs contournent ses propres bâtiments et de ceux de la Marine italienne, se rapprochant des navires de ces ONG qui vont leur assurer le passage vers l’Italie.

 

Les « secours » des ONG prodigués sans qu’elles aient reçu d’appels de détresse

Le rapport de l’agence Frontex Analyse des risques pour 2017 indique que « depuis juin 2016, un nombre important d’embarcations (transportant des clandestins) ont été interceptées ou secourues par des navires appartenant à des ONG sans qu’aient été lancés des appels de détresse et sans information officielle sur la localisation du secours ». Le rapport est encore plus accablant : « La présence des bâtiments des ONG près, voire à l’intérieur, des 12 miles des eaux territoriales libyennes a quasiment doublé en une année, totalisant 15 éléments (14 maritimes et un aérien). Parallèlement, le nombre total d’incidents a augmenté de façon exponentielle. »

Quelles sont ces ONG et surtout qui les finance ? Carmello Zuccaro, premier procureur de Catane, qui évoque une éventuelle complicité avec des groupes criminels, a déclaré dans un entretien avec le quotidien milanais Il Giornale, que leurs opérations en mer exigent un financement considérable : « Pour certaines d’entre elles, on évoque la somme de 400 000 euros par mois, comme pour les navires de MOAS. » Il précise : « Nous pourrions nous retourner contre ses financiers par des enquêtes accusatoires, avec le lancement d’une procédure dans le cadre d’une inculpation criminelle, mais à ce jour (le 25 mars 2017 NDLR) nous n’avons que des suspicions et pas encore d’indices suffisants pour la justifier. » L’enquête, susceptible de mener à des saisies bancaires, « ne sera pas facile car certains de ces navires battent des pavillons d’États non collaboratifs ».

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