Lettre de la Présidente d’Info Vaccins France à François Asselineau
Info Vaccins France
Le Breuil
36210 ORVILLE
tel : 09 54 71 74 52
infovaccinsfrance@gmail.com
Orville, le 10 août 2017
Objet : Vaccination
Monsieur,
Le 07 juin 2017, vous avez répondu à diverses questions des Internautes sur Youtube, en particulier celles qui demandaient votre avis sur la politique vaccinale en France. De toute évidence, vous ne maîtrisez pas ce dossier, ce qui est compréhensible, il est bien vaste. Vous avez aussi affirmé qu’il y avait « des ayatollahs anti-vaccins qui disent que les vaccins ne servent absolument à rien. »
Je suis une des ces « ayatollahs » que vous semblez décrier. Je vais vous expliquer comment je suis devenue anti-vaccins, alors que rien ne m’y prédisposait. Française moyenne, avec un bac D en poche, convenablement élevée, convenablement
informée, je ne me suis jamais posée de questions sur la vaccination. Je connaissais le principe d’inoculer des microbes affaiblis pour éviter une maladie grave qui se présenterait plus tard. Tout naturellement, j’ai vacciné mes trois enfants, selon les recommandations du médecin.
C’est devant les troubles autistiques de ma dernière que j’ai dû me pencher sur la question. En effet, en recherchant des informations pour lui offrir les meilleurs soins possibles, j’ai découvert que de nombreux scientifiques, médecins et parents accusaient les vaccinations de déclencher des autismes et d’autres maladies auto-immunes. J’ai été choquée d’apprendre qu’on mettait du mercure, de l’aluminium et du formaldéhyde dans les vaccins, alors que je veillais à éliminer ces poisons dans
mon environnement.
Bien sûr, cette affirmation me semblait trop grave, j’ai vérifié sa véracité. Et en effet, les
notices indiquent qu’il y a bien du thiomersal (composé de mercure), des sels d’aluminium et du
formaldéhyde. Je ne suis pas naïve, je sais que ce sont des neurotoxiques, reprotoxiques et
cancérigènes, à n’importe quelle dose. Ce que je ne savais pas, c’est qu’il y en avait dans les vaccins.
J’ai laissé injecter ces substances toxiques à mes bébés.
De là, j’ai approfondi mes recherches. Ce ne sont pas les seuls poisons qu’ils contiennent :
du phénoxyéthanol (retiré des lingettes pour bébés)
du borax (mort aux rats – Gardasil) des OGM (Hépatite B ; Gardasil), de la béta-propiolactone (cancérigène), du phénol (corrosif), etc.
Dernièrement, il a été mis à jour la présence de nanoparticules dont on démontre de plus en plus le caractère pathogène.
J’ai découvert que les laboratoires qui les produisent n’étaient même pas tenus légalement d’indiquer la composition exacte des vaccins. C’est ainsi que la notice anglaise du Gardasil mentionne la présence de phénol et non la notice française.
J’ai découvert que les microbes des vaccins étaient cultivés sur toutes sortes de cellules : animales, humaines, cancérisées, avec toutes les contaminations que cela comporte. En effet, une cellule peut produire spontanément des dizaines de virus. C’est ainsi que le vaccin contre la poliomyélite a inoculé à 60 millions d’Américains un virus oncogène, le SV40, transmissible à la
descendance, virus lui-même actuellement utilisé pour fabriquer les vaccins OGM (Gardasil,
Cervarix et hépatite B).
J’ai découvert qu’il n’y avait pas de réelles études sur la sécurité des vaccins : pas d’études sur le devenir des produits dans l’organisme, d’interaction entre les différents composés ou du pouvoir cancérigène. Quand on sait que le suivi des vaccinées par le Gardasil a duré 2 semaines pour les études avant commercialisation, on ne peut que crier au scandale. Sans compter celui des
faux-placebos, car on ne compare pas les réactions d’un vaccin à celle d’un produit neutre comme le sérum physiologique, mais à un autre vaccin ou le vaccin sans les microbes, déjà source d’effets secondaires.
J’ai épluché le rapport de l’OMS sur l’éradication de la variole et bien compris que la vaccination de masse a été un échec. Une bonne vieille quarantaine, à l’ancienne, en est venue à bout. J’ai regardé dans les Bulletins Epidémiologiques Hebdomadaires (BEH) et relevé constamment qu’il y avait des échecs vaccinaux, pour toute maladie. Dernièrement pour la rougeole,
montrée en épouvantail par notre ministre, sur les quelques 300 personnes malades depuis le début de l’année, 10% étaient vaccinées aux 2 doses recommandées, 16% avec une dose et 1% à des doses indéterminées, soit 27% au total ont reçu le vaccin ou un quart d’échecs vaccinaux.
J’ai découvert que certaines maladies, comme le tétanos ou la tuberculose, n’étaient pas immunisantes, alors que le principe même du vaccin est d’immuniser. Il n’est pas nécessaire d’avoir un bac+15 pour comprendre que le vaccin sera absolument inutile dans ces cas-là. D’ailleurs, les autorités sanitaires reconnaissent que le BCG (qui vise la tuberculose) est inefficace à enrayer l’épidémie mondiale. Affirmation déjà relayée par les promoteurs de cette vaccination dans les années 70 ! Il a fallu 40 ans pour qu’on en suspende la vaccination systématique des nourrissons. A titre personnel, j’ai eu la tuberculose malgré mon vaccin et ce n’est pas lui qui a empêché les complications, mais une antibiothérapie. J’avais moins de 5 ans. Vous avez affirmez que la baisse de la tuberculose était due à la généralisation de la vaccination du BCG. Vous vous trompez, d’une part parce qu’elle n’est pas immunisante, d’autre part, parce que les cas de cette maladie ont continué à diminuer après l’arrêt de cette vaccination
systématique en 2007, sauf en région parisienne, où la recommandation persiste. Les preuves ne manquent pas pour montrer son échec.
J’ai approfondi mes recherches, j’ai lu, écouté, visionné depuis 6 ans. Et j’ose affirmer que j’en sais plus que la majorité des médecins sur le sujet. Non sans mal, je suis arrivée à la conclusion que la vaccination est une arnaque médicale. Se tait-on devant une escroquerie, surtout si elle vise la santé, en particulier celle des enfants ? Non. J’ai cofondé une association dont je suis actuellement la présidente. Tous les jours, je réponds aux questions que se posent les parents sur la vaccination, les lois en vigueur, les limites des vaccins. Je leur donne des armes pour résister aux pressions, tant médicales que scolaires ou professionnelles.
J’ai recueilli des milliers de témoignages, la plupart de personnes perdues dans le dédale des vaccins obligatoires ou recommandés, utiles ou non. Souvent des témoignages de pressions, insultes, menaces, mensonges de la part des médecins. La plus courante des tromperies est de soutenir qu’un vaccin est obligatoire alors qu’il ne l’est pas. Parfois des drames, des personnes qui ont fait des effets secondaires ou pire qui ont perdu la vie. Et trop souvent, le déni des accidents vaccinaux, même lorsqu’ils sont arrivés très peu de temps après l’injection. La fameuse « coïncidence » qui ne passe plus auprès des victimes. Notre groupe Facebook permet la libération de la parole autour du vaccin alors qu’il était tabou auparavant. N’assimile-t-on pas ceux qui refusent un ou des vaccins aux membres d’une secte ? Une manière habile de bloquer la discussion et de décrédibiliser ceux qui transmettent une information indésirable et pourtant vraie.
Je pourrais vous raconter des centaines d’anecdotes. Je vais simplement vous relater l’entretien que j’ai eu avec M. Benoît Vallet, Directeur Général de la Santé (DGS). Aux victimes des vaccins qu’on lui citait, il a objecté l’éternel laïus que « corrélation ne voulait pas dire causalité », alors que l’événement s’était passé dans les jours qui ont suivi la vaccination. Peu après, il nous a
montré un graphique où la baisse de la rougeole, semblait liée à l’augmentation de la couverture vaccinale. Je lui ai rappelé que corrélation ne voulait pas dire causalité, que ce n’était pas parce que deux événements se produisaient en même temps qu’ils étaient liés. Cette remarque ne lui a absolument pas plu. Je lui ai démonté son raisonnement à géométrie variable : on ne peut pas refuser une causalité sur quelques jours et accepter une autre sur quelques années, bien plus aléatoire. Un autre propos m’a choquée : il a affirmé qu’on ne mourrait pas du vaccin. Comment un Directeur Général de la Santé peut ignorer qu’on a retiré la recommandation des vaccins contre le rotavirus suite au décès par Invagination Intestinale Aiguë (IIA), notifié sur les notices, de deux nourrissons ? Nous aurions pu lui montrer un autre graphisme bien plus inquiétant, montrant que l’augmentation des vaccinations, surtout du ROR, était corrélée à celle des cas d’autisme chez les enfants. J’imagine qu’il aurait dit que « corrélation ne voulait pas dire causalité ». Géométrie variable toujours. Pourtant, aujourd’hui, plus d’un enfant sur 100 devient autiste en France, les chiffres les plus pessimistes parlent d’un enfant sur 80, soit de 8 000 à 10 000 enfants, par an. Bien sûr, ce n’est pas la priorité du gouvernement, qui est déjà dépassé par cette épidémie-là. J’aimerais vous en dire davantage sur toutes les tricheries médicales et intellectuelles qui entourent la vaccination, surtout que le ministère souhaite en rendre 11 obligatoires, avec tous les accidents et échecs vaccinaux que cela comporte, payés sur le dos des contribuables. C’est une manne financière assurée pour les laboratoires pharmaceutiques qui sont les seuls à profiter de la balance bénéfices/risques des vaccins : ils ont tous les bénéfices et aucun risque. Seulement voilà, ce sont nos enfants qui prennent tous les risques, sans aucune garantie. Pensez-vous que nous laisserons ce projet aboutir, alors qu’il s’agit de la santé de ce que nous avons de plus précieux ?
J’espère que ces quelques lignes vous auront permis de comprendre pourquoi je me suis lancée dans ce combat difficile. Nous avons besoin d’hommes politiques courageux et intègres pour nous aider, et surtout loyaux envers les Enfants de France.
J’espère que vous en ferez partie.
Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.
Marie Werbrègue
Présidente
Info Vaccins France – Association loi de 1901 non soumise à la TVA, déclaration le 17 septembre 2014
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