Quand Bono, le leader de U2 devenu figure de proue internationale du combat « humanitaire », passe par Paris, c’est généralement pour rencontrer le nouveau président français et lui extorquer, pardon, lui rappeler l’importance de la « lutte contre la pauvreté » et l’existence de son ONG « ONE ».
Cette année, c’est l’urgence de la « crise des réfugiés » qui a primé lors des discussions et Bono s’est dit satisfait d’avoir trouvé en Brigitte et Emmanuel Macron des interlocuteurs de choix qui comprennent de quelle manière doit être utilisé l’argent public.
Mais l’histoire ne nous dit pas si la domiciliation de la société U2 Limited dans des paradis fiscaux fut citée par Bono comme exemple à suivre…
Rappel : Bono et l’évasion fiscale